Grosse Faim

et s'emparer de l'ennemi. Les « poilus », nom donné aux soldats français,vivent dans des conditions catastrophiques, outre les souffrances morales omniprésentes qui leur ronge leur cœur, les tranchées prennent l'apparence d'un charnier humain. La faim, la soif, le manque de sommeil, le froid, la boue, la nostalgie du foyer, la saleté et les poux endurcissent le séjour des soldats. Ils utilisent de nombreuses armes comme les obus, les canons, l'artillerie lourde, l'aviation ou encore la mitrailleuse

s'absente, ce qui nous animait hier semble avoir perdu sa saveur. on se sent lourd, sans énergie. ce qui mobilise l'être humain et dès son jeune âge, c'est avant tout de satisfaire ses besoins, notamment les besoins vitaux: quiconque a froid, soif ou faim, trouvera aisément l'énergie nécessaire pour combler ses désirs. compte tenu de l'aisance matérielle dont jouit notre société, nos aspirations dépassent de beaucoup la seule satisfaction de nos besoins vitaux. une multitude de nécessités plus sophistiqués

qu'ils ont représenté une part importante des naissances (1/3 des naissances en 1762). La grande pauvreté (et par conséquent le manque de nourriture) est une cause qui peut expliquer l'abandon d'enfants et il existe un lien entre les périodes de grande faim et la recrudescence des abandons. Troisièmement, les bébés nés hors mariage et abandonnés par leur mère représentent une grande part des cas. Dans les années 1760, une grande augmentation des abandons liés à une hausse du nombre des enfants déclarés

des femmes veuves , d'autre sont abandonnés , battus ou encore perdus . Il y a le racisme le d'injustices, les jugements , de tsunamis , des accidents , des rafales de vent . Des au revoir , des bonjours , des cris , de la haine , de la peur , de la faim , de la soif . L'étonnement , des inactifs , des fois , des viols , des dépressifs , des malades des handicapes . Des pleurs , des viols . Le malheur . Et puis toi cher lecteur. Tu seras la en pleine réflexion durant ta lecture . Pourquoi ? Car on

vivre Et de donner la vie à ceux que nous aimions Mais la mort a rompu l'équilibre du temps La mort qui vient la mort qui va la mort vécue La mort visible boit et mange à mes dépens Morte visible Nusch invisible et plus dure Que la soif et la faim à mon corps épuisé Masque de neige sur la terre et sous la terre Source des larmes dans la nuit masque d'aveugle Mon passé se dissout je fais place au silence. Paul Eluard Le poème de Paul Eluard est en strophes, alexandrins,il n'a pas de rimes

mon intervention en vous rappelant les éléments essentiels qui vous feront juger mon client coupable d’un vol avec circonstances atténuantes ; vous ne pourrez pas oublier durant votre délibération que mon client était affamé, n’ayant pas mangé à sa faim ni bu à sa soif depuis plusieurs jours parce que personne, aucun paysan, aucun artisan, aucun notable et encore moins le maire de ce village, n’ont daigné lui donner un bout de pain ! De plus, celle que vous voudriez considérer comme une victime

mon sac tout partout, mon lunch n'y est pas, je l'ai laissé sur la table à la maison. Je meurs de faim, mais pour me consoler je me dis qu'au moins je peux m'abreuver à l'une des buvettes de l'école. Je fais le tour de l'école et aucune buvette ne marche, il y a un petit panneau au-dessus de chacune d'entre elles qui indique : EAU CONTAMINÉE. L’école ayant fermé tous les circuits d'eau, je meurs de faim et de soif maintenant. Désespéré par ma journée, je décide de retourner chez moi à pied. Je sors

pauvre? Oh, peut-être vous la figure: la pauvreté = estomac vide + réfrigérateur vide. Bien sûr, parfois ma famille manque un repas, et le sommeil est la seule chose que nous avons pour dîner, mais, d'une façon étrange, la faim rend la nourriture plus savoureuse. Ainsi, la faim n'est pas la pire chose que d'être pauvres. Je vais vous dire la pire des choses. La semaine dernière, mon meilleur ami, Oscar, est tombé très malade. J'ai essayé de lui donner un peu d'eau, mais il ne voulait pas. Il était

trois sans se douter de ce qui va arriver. John avec sa boussole leur dit :``On s’est perdu ``.Ils arrivent à une cabane en bois où ils dînent. Un homme, Philippe, très grand barbu, aux yeux tordus, les mains remplies de sang leur dit :``Avez-vous faim ?Je viens de préparer un gigot d’agneau``. Sam répond``Non merci``.Mais Nico, affamé déclare : ``Je veux bien un morceau ``. Le grand homme s’exclame :``Viens avec moi ! Gaillard!``Ses amis lui crient : ``N’y va pas! Non!`` Le grand homme découpe

conditions précaires même en plein hiver ils sont obligés d'aller au chantier malgré le froid , ils sont épuisés « le froid devient vif , coupant. Les oreilles rougissaient ,bleuissaient, se congelaient » (p.130) , ils ne peuvent pas manger a leurs faim , ils n'avaient pour seul repas un bol de soupe froide et un morceau de pain noir , mais cela n’était pas suffisant par rapport au efforts fournis durant le chantier Tanguy en venait même a penser a la mort . De plus les déportés sont mal traités