Groupe de bombardement Lorraine

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Le 22 juin, quatre jours après l’appel du 18 juin , le général De Gaulle énonce les trois raisons essentielles qui s'opposent à la capitulation (l'honneur, le bon sens, l'intérêt national), il annonce aussi sa volonté au peuple de « grouper partout où cela se peut une force française aussi grande que possible ». Dans son intervention du 24 juin, De Gaulle exprime la honte et la révolte des « bons Français », mais surtout sa conviction « que l'affaire n'est pas finie, que la cause n'est

champ de bataille est connu pour avoir une boue particulièrement gluante. Christopher R. W. Nevinson, Paths of Glory, 1917. 61 x 46 cm, Imperial War Museum, London. La bataille de la Somme est préparée du 24 juin au 1er juillet 1916 par un bombardement d'artillerie sur 45 km de front de part et d'autre de la Somme. Les assauts britanniques et français débutent le 1er juillet, pour se poursuivre jusqu'au 18 novembre 1916. Estimations des pertes lors de la bataille de la Somme États Royaume-Uni

au Rhin afin de reconquérir l'Alsace et la Lorraine, territoires perdus à l'issue de la guerre Franco-Prussienne. Cette revanche tant attendue depuis la défaite de 1870 n'a pas le succès escompté et seule une toute petite partie de l'Alsace est libérée. Puis, fidèle à sa doctrine de l'attaque à outrance, élaborée avant la guerre, le haut-commandement français déclenche une offensive généralisée sur l'ensemble du front. En Belgique, en Alsace, en Lorraine, les meilleures troupes d'active partent à

abandonnés d'un état-major loin des réalités de la guerre. Les lettres du front sont souvent censurées pour ne pas répandre l'horreur vécue vers l'arrière. En 1917, les mutineries sont sévèrement réprimées et laissent place à un défaitisme fataliste. Le bombardement de Paris par la "Grosse Bertha" allemande contribue à démoraliser l'arrière, dev même que l'épidémie de grippe espagnole de 1918 qui heureusement coïncide avec l'arrêt des combats. L'horreur des tranchèes permit au moins un mélange de la population

menées par les unités de Sturmtruppen. Ces petits groupes de soldats d'élite attaquaient les points vulnérables en évitant les points fortifiés et s'avançaient à l'arrière des tranchées adverses. Leur distance d'infiltration était limitée par leur capacité de communication et de ravitaillement. L'artillerie jouait un rôle important dans l'attaque en tuant ou en démoralisant la garnison adverse et en détruisant ses défenses. La durée de ce bombardement initial pouvait varier de quelques minutes à plusieurs

lieu à Stalingrad. À partir de septembre 1942, les Allemands tentent de s’emparer de cette ville située sur la Volga. Mais, les Soviétiques ont décidé de ne plus reculer et de tenir les positions coûte que coûte. Soumis par la Luftwaffe à des bombardements massifs, la ville devient un véritable champ de ruines. Chaque maison est alors transformée, par les Russes, en un réduit dont il faut s’emparer. Les combats sont féroces. En novembre 1942, les Soviétiques lancent une offensive de part et d’autre

l'Europe depuis 1950, de l’OTAN depuis 1955, et de l’ONU depuis 1973. Membre fondateur de l’Union européenne (1957), de l’Organisation de Coopération et de Développement Économiques (OCDE), de la zone euro et de l'Espace Schengen, elle fait partie du Groupe des huit (G8) et (G20). L'Allemagne est une puissance économique majeure, la première d'Europe. Actuellement, elle est classée quatrième puissance économique mondiale selon le critère monétaire traditionnel, derrière les États-Unis, la Chine et

général de sécurité sociale, le premier au monde. Mais il échoue à éliminer les socialistes. Le chancelier mène une politique étrangère plus habile que sa politique intérieure. N'ayant plus de visées territoriales depuis l'annexion de l'Alsace-Lorraine, , il entreprend d'assurer la stabilité en Europe. Travaillant à l'isolement de la France, dont il cherche à détourner le désir de revanche en cautionnant sa politique coloniale, il conclut la Triple-Alliance avec l'Autriche et l'Italie, en 1882

au Sud: slovène, croate, serbe de Bosnie, roumain de transylvanie Revendications de territoires Serbie – Bosnie Sur l'Autriche-Hongrie Roumanie-transylvanie Sur l'Autriche-Hongrie Italie-Trentin, Istrie, Haut Adige France-Alsace, Lorraine Sur l'Allemagne Rivalités - commerciales, économique et colonial entre le Royaume-Uni et l'Allemagne - stratégiques entre les Austro-Hongroie et les Russes dans les Balkans pour l'accès à la méditerranée - entre les grandes puissances

« ordre nouveau » dans une Europe unie, dirigée par la « race des seigneurs ». A) L’Europe est soumise Le Grand Reich comprend l’Allemagne et les régions habités par les peuples germaniques : Dantzig, la Posnanie, le Luxembourg, l’Alsace et la Lorraine. La Hongrie, la Roumanie, la Bulgarie, la Croatie sont devenues, volontairement ou par la contrainte, des alliées du Reich. Les états vaincus sont dirigés par l’Allemagne ou par des gouvernement dociles. * A l’ouest, une politique prudente