Groupe du Laocoon

LE GUERRIER. Ah oui ! Le cheval s'arrêta... tout le peuple de Troie, rassemblé sur la grand-place, le regardait. Quand tout à coup, affolé, arriva en courant, Laocoon, le grand prêtre de la Cité... Sur une autre partie du plateau apparaît le prêtre Laocoon, il est essoufflé, en transe, et gémit, sorte de sorcier sublime et grotesque. LAOCOON. Ououououou ! Mes fils ! petits Troyens ! petits Troyens ! Troyinoux mes frères, mes cousins ! Ne touchez pas ce monstre, oooo, c'est la mort, le feu et le sang

: la themis (l'ordre des choses, ce que l'usage commande ou interdit), la timè (marque d'honneur qui situe chaque guerrier au rang qu'il s'est mérité), et les obligations envers les dieux (ainsi les sacrifices). Ces valeurs assurent la cohésion du groupe, voire l'égalité de leurs prérogatives, même si la qualité particulière du guerrier peut les lui faire transgresser (ainsi la colère d'Achille contre Agamemnon). Mais dans l'ensemble, leurs relations sont commandées par le compagnonnage et la fidélité

d’avocat est ce qu’il y a de mieux, et il faut avoir du coffre. Virgile ne peut entrer dans la vie politique. Il sera donc plutôt dans des cercles d’intellectuels : l’épicurisme et le stoïcisme. Au départ Virgile est plutôt épicurien, il est dans le groupe de Siron. Ne s’occupe pas des affaires politiques, « carpe diem ». Il se trouve dans une mouvance philosophique épicurienne qu’il va quitter peu à peu et se retrouve dans l’entourage Asinius Pollion, homme très important à l’époque, et va lui servir

de l'histoire, c'est d'étudier la langue et la poésie primitive de chaque peuple, car « la poésie est la langue maternelle du genre humain ». C'est pourquoi Herder proclame la supériorité d'Homère, de la Bible, d'Ossian, des chants populaires qu'il groupe dans son recueil Stimmen der Völker in Liedern, premier monument de la science folklorique. Ce lyrisme primitif n'a rien de commun avec la poésie savante d'une humanité civilisée et rationalisée. Herder raconte qu'il en a compris la valeur au cours

époque hellénistique, nouveaux centres culturels plus en Orient : expression des émotions, davantage de violence. Exemple portrait d’Alexandre par Lysippe : cependant, pas encore individualisation (contrairement au portrait romain). Exemple du « Laocoon » : pathos, torsion du corps, musculature. 2) Pour la peinture (céramiques). Vase archaïque « Vivants pleurant les morts » : époque géométrique, décoration stylisée. Vase début époque classique, « Achille et Ajax jouant aux dames » : scène

Troie • Hector, fils aîné de Priam • Pâris, fils de Priam, séducteur d’Hélène • Cassandre, fille de Priam, prêtresse • Andromaque, femme d’Hector • Énée, fils d’Anchise • Sarpédon, chef des Lyciens • Glaucos • Laocoon, prêtre de Poséidon Divinités [modifier] • Zeus, roi des Dieux • Poséidon, frère de Zeus et roi des océans • Héra, sœur et épouse de Zeus • Océan, fils d'Ouranos et de Gaïa • Apollon, fils de Zeus et de Léto • Héphaïstos

donc était la solution requise pour rattaché le territoire par la suite au Royaume de France. 3. Un Tapis de privilèges et de coutumes En France tout le monde possède des privilèges, même les paysans. Cependant, se sont essentiellement les groupes sociaux dominant qui les possèdent. * Les nobles, Le clergé, La Bourgeoisie des villes * Les villes (Grandes villes surtout) * Les provinces Le privilège suprême à cette époque est d’être extradé d’impôt ou d’en avoir le moins

a forgé ou qui véhicule ces mythes : • la création du monde (cosmogonie) ; • les phénomènes naturels ; • le statut de l'être humain, et notamment ses rapports avec le divin, avec la nature, avec les autres individus (d'un autre sexe, d'un autre groupe), etc. ; • la genèse d'une société humaine et ses relations avec les autres sociétés. L'étude des mythes est appelée mythologie. Le terme mythe est souvent employé pour désigner une croyance manifestement erronée au premier abord, mais qui peut

excepté à la fin de sa vie lorsque il fut appelé à la cour de François Ier. La modernité qui lui était reprochée durant ses années de jeunesse est enfin accueillie à sa juste valeur. Il apporte une dynamique nouvelle dans ses représentations de groupes au sein desquels les personnages participent tous à une même action. Sa technique du sfumato lui permet d'intégrer parfaitement les figures aux paysages, qu'il aime insolites et mystérieux. Il laisse des œuvres magistrales à Milan avant d'être appelé

derrière le maitre-autel de l’église San Giovanni in Conca. Il prend la forme d’une statue équestre surmontant un sarcophage. Le cavalier et sa monture sont réalisés à partir de 1363, le sarcophage n’ayant été achevé qu’après la mort du prince. Le groupe est sculpté dans un marbre blanc, mais, à l’origine, la figure du cavalier était couverte de plaques d’argent et ses éperons et son bouclier étaient dorés. Impressionnante par sa haute taille, plus de 6 mètres, la tombe devait être placée perpendiculairement