Grozny

comme toute image, la photographie transforme le réel. - La photographie est alors considérée comme un symbole, rejoignant toutes les représentations conventionnelles du monde. Photographie de Stanley Greene, Empreinte d’un corps dans la neige, GROZNY, Tchétchénie janvier 1995 Stanley Greene est membre de l’agence VU. Durant dix ans, dans une forme classique qui privilégie l’émotion, Stanley Greene a documenté la guerre en Tchétchénie. Il était l’un des rares reporters à avoir photographié la petite

comme toute image, la photographie transforme le réel. - La photographie est alors considérée comme un symbole, rejoignant toutes les représentations conventionnelles du monde. Photographie de Stanley Greene, Empreinte d’un corps dans la neige, GROZNY, Tchétchénie janvier 1995 Stanley Greene est membre de l’agence VU. Durant dix ans, dans une forme classique qui privilégie l’émotion, Stanley Greene a documenté la guerre en Tchétchénie. Il était l’un des rares reporters à avoir photographié la

conscripts, Volkov thrived in the brutal atmosphere of Russian army life, and was quickly transferred to a special counterinsurgency unit charged with tracking down and neutralising Chechen guerrillas and Wahhabist fighters in the Chechen capital of Grozny. After an incident where his entire unit was ambushed and subsequently captured, Volkov was forced to witness the systemic executions of his friends. He endured three days of unspeakable torture before the Spetsnaz came to his rescue. After reading

toiles terribles au diagnostic de Célinien («Ce qui nuit, dans l'agonie des hommes, c'est le tralala...»). Il relit ‘’Hadji Mourat’’, le roman tchétchène de Tolstoï, curieusement négligé par les innombrables reportages sur les récents massacres de Grozny, et s'interroge : «Pourquoi le scandale de la répétition est-il sans cesse effacé par le scandale de l'oubli?» Il s'attaque aux «listes noires», sur lesquelles se retrouvent, au gré des modes et des courants, les noms d'écrivains autrefois célébrés

et République tchèque d’un dispositif antimissile américain ; intervention russe en Géorgie ; élection du 1er président noir des Etats-Unis, le démocrate Barack Obama 15 Lieux clés : Jérusalem / Ramallah Srebrenica au Kosovo Alger en Algérie Grozny en Tchétchénie Kaboul en Afghanistan New York (Ground Zero, emplacement des Twin Towers détruites) Bagdad en Irak Chemins de l’exode des réfugiés rwandais Personnages clés : AL QAÏDA KOFI ANNAN YASSER ARAFAT OUSSAMA BEN LADEN GEORGES BUSH (SENIOR)

(président élu en 1997 et mort en 2005), et s’inscrivait dans un changement de stratégie de la résistance, cette fois incapable de s’opposer de façon conventionnelle à la force militaire russe (les forces tchétchènes avaient en effet réussi à reprendre Grozny aux troupes russes, ce qui avait mené à la signature de l’accord de paix de Kassavyurt en 1996). Pour parvenir à établir un front pan-caucasien, Maskhadov aura dû s’appuyer sur « l’infréquentable » chef de guerre Shamil Bassayev, incontournable en

spéciales russes tuent 129 personnes. | | |- Décembre : un attentat suicide contre le siège du gouvernement tchétchène à Grozny fait plus de 60 victimes. | | |

accomplis sous le mode suicide avec la participation de femmes kamikazes, l’acte le plus médiatique reste l’élimination du Président pro russe Kadyrov et de l’état major soviétique en Tchétchénie lors d’une parade commémorative au stade Dynamo de Grozny le 9 mai 2004 (22 morts) Dans le reste du Caucase, la démarche est a l’imitation. Le phénomène remonte en fait à l’apparition en 1998 en Afghanistan du Mouvement Islamique d’Ouzbekistan (MOI). Son fondateur, Irmin Youldatchev, avait recruté d’autres

plus concentré dans les zones urbaines, la cité supplante la campagne comme zone d’action principale. Enjeu et théâtre des conflits, elle en est devenue le champ et les noms des batailles récentes sont essentiellement des noms de villes : Sarajevo, Grozny, Beyrouth, Bagdad, Mitrovica, Bassorah, Abidjan, Kaboul, Bint Jbeil… Mais la ville s’avère coûteuse à prendre, à tenir, à maîtriser. Elle enferme celui qui s’y bat au sein d’un espace clos et le contraint à agir autrement que dans les zones ouvertes

exemple, à la politique officielle d’assassinats ciblés de dirigeants palestiniens par les forces israéliennes dans la deuxième Intifada, ou à la stratégie de destruction de la capitale Grozny par les forces russes en Tchétchénie (les troupes russes étant désavantagées en milieu urbain, la décision a été prise de raser Grozny en janvier 2000). La « guerre au terrorisme » valide stratégiquement et légitime politiquement le recours à la guerre asymétrique du « fort au faible ». L’attaque du 11 septembre