Grégoire Polet

spirituel, Dieu, et le pouvoir temporel, le Roi. Il s'agit d'une distinction nécessaire, mais qui reflète des similitudes. Ce document soumis à exercice est un extrait de Dictatus Papae, un recueil de vingt-sept articles, rédigé en 1075 par le Pape Grégoire VII. Il s'agit de droit canonique car emprunt de la religion, dont le but est de légitimer la suprématie du Pape, pour retrouver la liberté qu'ils possédaient à l'époque romaine. Il est intéressant de savoir que ce document marque l'essor de l’Église

orthodoxe, date où l’Eglise se sépare en deux : d’un côté les orthodoxes en orient et la catholiques, chrétiens en occident. Alors l’Eglise catholique cherchera a rassembler le plus de croyants possible. Ensuite, le Moyen-âge sera aussi composé du pape Grégoire VII qui exécutera de nombreuses modifications au sein même de l’Eglise. On peut se demander alors, quelle est la place qu’occupe la religion chrétienne dans l’Europe occidentale du XIe au XIIIe Siècle ? Il s’agit de commencer en premier lieu par

seule voix. Comprenant son échec, Jean XXIII[->4] s'enfuit le 20[->5] mars[->6] 1415[->7]. Les Pères conciliaires adoptèrent le 6 avril[->8] le décret Hæc sancta, affirmant la supériorité du concile sur le pape. Jean XXIII[->9] fut arrêté et déposé. Grégoire XII[->10], après avoir reconvoqué le concile[->11] par la voix de son légat[->12], démissionna par procurateur le 4[->13] juillet[->14] 1415[->15] au sein du concile[->16]. Sigismond[->17] fit avancer ses troupes en Espagne[->18] et au Portugal[->19]

Songe de Constantin, bataille du pont Milvius, invention de la vraie Croix. Illustration des Homélies de saint Grégoire de Nazianze Manuscrit à peinture, vers 879-882, fol. 440 © Bibliothèque nationale de France. Promulgation de l'edit de Milan En février 313, Licinius, en son nom propre et au nom de Constantin, adressa de Nicomédie au gouverneur de Bithynie la fameuse circulaire (mandatum) que nous appelons « Édit de Milan ». Par cette circulaire, dont le texte nous est conservé en grec

patrimoine pendant les Lumières[modifier | modifier le code] Dès le xviiie siècle, on commence à considérer le patrimoine. C'est la Révolution française qui lance la protection des biens culturels. Lors d'un de ses rapports à la Convention, l'abbé Grégoire (1750-1831), juriste et homme politique révolutionnaire, affirme que « le respect public entoure particulièrement les objets nationaux qui, n'étant à personne, sont la propriété de tous (…) Tous les monuments de sciences et d'arts sont recommandés

l'évêque gallo-romain Grégoire de Tours, et dont l'Histoire des Francs est riche d'enseignements, bien que ce texte semble essentiellement à visée édifiante. Clovis est considéré dans l'historiographie comme un des personnages historiques les plus importants de l'histoire de France ; la tradition républicaine reconnaît en lui le premier roi de ce qui devint la France, et la tradition royale voit en lui le premier roi chrétien du royaume des Francs L'Histoire des Francs de Grégoire de Tours La chronologie

ers 580, le chroniqueur Grégoire de Tours parle d'un peuple de Pannonie qui aurait remonté le Danube puis se serait installé sur les bords du Rhin, pour ensuite envahir la Gaule1,2. Vers 660, La chronique de Frédégaire, suivie par le Liber Historiae Francorum vers 725, affirme que les Francs sont issus de rescapés de la ville de Troie, prise par les Grecs2. Contestée dès le XVIIe siècle, cette théorie est maintenant totalement abandonnée. Article détaillé : Légende de l'origine troyenne

LE BAPTÊME DE CLOVIS Cet extrait de Histoires des Francs (également appelé Dix Livres d’Histoire) est un document narratif écrit par Grégoire de Tours entre 574 et sa mort en 594. Histoire des Francs est une histoire universelle du monde et de l’Eglise. Elle a été écrite dans une perspective eschatologique. Grégoire de Tours (539-594) fut évêque de Tours, et historien des Francs, de l’Eglise et de l’Auvergne. Issu de l’aristocratie, diacre à Brioude, il fit élu évêque de Tours en 573. Il

est bafouée par des prêtres vivants comme des laïcs avec femme et enfants. B. La réforme grégorienne Clercs et laïcs. Pour lutter contre ces abus, une réforme de l’Église s'engage au XIème siècle. Appelée réforme grégorienne, du nom du pape Grégoire VII, elle vise à restaurer la dignité et l'autorité du clergé, en le séparant plus nettement des laïcs. Le mot Église tend alors à désigner le clergé, qui dirige la chrétienté. Il est exalté comme le premier ordre de la société, menant une vie exemplaire

auxquels s'ajoutent cisterciens, dominicains et franciscains) multiplie les abbayes. C'est à travers cette multiplication que la société commence à ressentir l'ampleur que prend l'Eglise à cette époque. Au XIe siècle, la réforme Grégorienne (du pape Grégoire VII) à uniformisé les pratiques (sacrement gratuit et célibat obligatoire). La chrétienté connaît cette phase d’expansion dont témoigne également l'architecture des bâtiments (églises romanes et gothiques), cela prouve aux chrétiens que l'Eglise