Guaraní

neoliberalismo.  Los pueblos indígenas -que son mayoría de la población boliviana-, para la prensa internacional, para que los invitados sepan: de acuerdo al último censo del 2001, el 62.2% de aymaras, de quechuas, de mojeños, de chipayas, de mulatos, de guaraníes. Estos pueblos, históricamente hemos sido marginados, humillados, odiados, despreciados, condenados a la extinción. Esa es nuestra historia; a estos pueblos jamás los reconocieron como seres humanos, siendo que estos pueblos son dueños absolutos

absoluto saber hablar el idioma que estudia desde el punto de vista científico, aunque a menudo lo aprenda, para facilitarse la investigación. Así, por ejemplo, un lingüista que no conozca el guaraní, podrá, sin duda, escribir una gramática científica del guaraní, mientras que ninguno de los individuos que hablan guaraní podrá hacerlo si no es lingüista. Estas distinciones pueden parecer triviales, pero no lo son si se piensa en las confusiones a que los términos lingüista y lingüística comúnmente se prestan:

sociodémocrates au pouvoir. → Le complexe de Malitzin existait du côté de l’Amérique espagnole. Trois éléments majeurs sont nécessaires pour comprendre l’Amérique latine : le rôle de la langue face aux langues vernaculaires (en Uruguay, le guarani continue d’être majoritaire, ce qui est l’exception) le rôle de l’Église avec l’évangélisation, mais l’envie de l’Église de créer un panaméricanisme, avec l’idée de Napoléon de créer des États-Unis d’Amérique latine catholiques pour faire face

une liste de « mythologies », par région du monde : * mythologies d’Afrique : berbère, dogon (voir Dogons), égyptienne, kabyle, malgache (voir Madagascar), touareg (voir Touaregs) ; * mythologies d’Amérique : abénaquise, aztèque, chilote, guarani, inuit, précolombienne ; * mythologies d’Asie : chinoise, coréenne, japonaise, hindoue, māori, nauruane ; * mythologie d’Australie : mythologie aborigène ; * mythologies d’Europe de l’Est : arménienne (voir Paganisme arménien), estonienne

Pouvoir pol de manière intermittente. Cette vision de sté sans pouvoir permanent est assez commune des anthropologues. Pierre Clastres va aller plus loin : ces sté s’opposent à un pouvoir pol permanent, qui perverti la sté. Tribu des indiens Guarani. Il y a bien des chefs de tribu, mais qui s’opposent à tte forme de pouvoir politique permanent. Il n’a pas vraiment les capacités de diriger la tribu. Il a plus de contraintes que de pouvoirs. Il a pr rôle d’empêcher l’émergence d’un vrai chef.

rôle de l’UJC dans cette défense d’une identité construite par l’élite et excluante. L’UJC défend un statut autonomique qui place à l’écart de tout bénéfice les indiens de Bolivie, et qui ne reconnaît que 5 peuples qui sont les peuples Chiquitano, Guarani, Guarayo, Ayoreo et Mojeño49, peuple d’Amazonie, en opposition au peuple indiens de la cordillère, nouveaux arrivants. L’Union Juvenil Cruceñista est née durant les années 1950, créée par le CPSC, mais ne développe un véritable rôle qu’à partir

exemple une liste de « mythologies », par région du monde : mythologies d’Afrique : berbère, dogon (voir Dogons), égyptienne, kabyle, malgache (voir Madagascar), touareg (voir Touaregs) ; mythologies d’Amérique : abénaquise, aztèque, chilote, guarani, inuit, précolombienne ; mythologies d’Asie : chinoise, coréenne, japonaise, hindoue, māori, nauruane ; mythologie d’Australie : mythologie aborigène ; mythologies d’Europe de l’Est : arménienne (voir Paganisme arménien), estonienne, hongroise

feuille du Paraguay », « herbe douce ». /D6WpYLDGHYLQWSOXVODUJHPHQWFRQQXHKRUVGHO¶$PpULTXHFHQWUDOe après sa « découverte » par le botaniste Antonio Bertoni ORUV G¶XQH étude portant sur les plantes herbacées utilisées par les indiens Guarani du Paraguay en 1887 (M.C. Carakostas et al., 2008 (4)). En 1906, la stévia prend le nom scientifique de Stevia rebaudiana (Bertoni), du nom du Dr Rebaudi, chimiste paraguayen. La « nouvelle plante sucrée avec un potentiel commercial important

l’expression – Lexique des langues : el español, la lengua oficial, el gallego, el catalán, el vasco, el euskera, hablar, castellanohablante, expresarse, los idiomas, el francés, el portugués, el maya , el tzotzil, el quiché, el aymara, el quechua, el guaraní, etc. – Lexique du pouvoir : la Constitución, las leyes, el Estado, el Senado, la Cámara Alta, oficial, aprobar, el gobierno, la bandera oficial, la justicia, las naciones, los pueblos, las autoridades Objectifs méthodologiques : les savoir-faire

une langue mythique, déterritorialisant toutes les fonctions précédentes, mais opérant une reterritorialisation sur une terre spirituelle ou religieuse. On peut penser par exemple aux analyses de Clastres sur la parole prophétique chez les Tupi-Guarani au XVe siècle, les vastes mouvements de migration qu’elle soulève, détruisant les structures sociales traditionnelles mais non sans effectuer une ultime reterritorialisation sur une « Terre sans Mal » comme idéal terrestre et destination spirituelle26