Gudule

départ. Complainte du progrès Autrefois pour faire sa cour On parlait d'amour Pour mieux prouver son ardeur On offrait son coeur Aujourd'hui, c'est plus pareil Ça change, ça change Pour séduire le cher ange On lui glisse à l'oreille (Ah? Gudule!) {Refrain 1:} Viens m'embrasser Et je te donnerai Un frigidaire Un joli scooter Un atomixer Et du Dunlopillo Une cuisinière Avec un four en verre Des tas de couverts Et des pell' à gâteaux Une tourniquette Pour fair' la vinaigrette

remplacés par le plaisir de la consommation et la possession d'un maximum de choses. Il oppose le « autrefois » et le « maintenant », « ça change, ça change » pour bien insister sur le changement, les nouvelles modes. Boris Vian joue sur les mots (Gudule, prénom rarissime, démodé et ridicule), en invente (ciregodasses, ratatine-ordure...) Le fait qu’il répète plusieurs fois des équipements à la pointe de la technologie renforce l'idée de l'inutilité de tous les objets. Il utilise un orchestre de variété

chanteurs, comme Boris Vian qui a composé «  la complainte du Progrès » en 1956 donc pendant les 30 glorieuses. Il fait une critique humoristique et anti – conformiste de la société de consommation en utilisant des prénoms ridicules tel que ‘ Gudule ‘ et en inventant de nouveaux biens de consommation tels que ‘ un pistolet à gaufre’ ou ‘un aérateur’. Dans cette œuvre on peut voir la crainte de l’auteur de voir les sentiments amoureux remplacés par la possession d’un maximum de choses mais il

amoureux remplacés par le plaisir de la consommation et la possession d'un maximum de choses. Il oppose « autrefois » et « maintenant », « ça change, ça change »pour bien insister sur le changement, les nouvelles modes. Boris Vian joue sur les mots (Gudule, prénom rarissime, anachronique et ridicule), en invente (ciregodasses, ratatine-ordure...) et l'aspect énumératif des équipements à la pointe du progrès renforce l'idée de l'inutilité de tous ces objets. 2) La musique : L’orchestre de jazz, influencé

de la consommation et la possession d'un maximum de choses. Moyens utilisés par l’auteur : Il oppose « autrefois » et « maintenant », « ça change, ça change » pour bien insister sur le changement, les nouvelles modes. Boris Vian joue sur les mots (Gudule, prénom rarissime, anachronique et ridicule), en invente (ciregodasses, ratatine-ordure...) et l'aspect énumératif des équipements à la pointe du progrès renforce l'idée de l'inutilité de tous les objets. Il utilise un orchestre de variété (vents

chef des femmes était la mère d’Ernest.Tante Laure était une grosse femelle absolument stupide. Elle appartenait à l’oncle Vania. Elle aimait notre feu pour une raison de plus que nous: c’est qu’il nous ramenait l’oncle Vania. Il y a aussi la tante Gudule, Aglaé, Amélie et Barbe qui ont perduent leurs hommes. Edouard nous imposa ensuite à nous, ses fils d'aller chasser des jeunes femmes dans une autre tribu rompant ainsi avec les appariements familiaux. Ses fils, Oswald le chasseur, Ernest le spécialiste

qui a inventé la cuisine en faisant tombé par mégarde un morceau de viande dans le feu. - La tante Laure, femelle de l’oncle Vania, mais ce dernier l’avais abandonnée au reste de la famille car bête et incapable de monter aux arbres. - La tante Gudule, appariée à l’oncle Ian, elle était la seule qui le croyait encore en vie jusqu’à son retour. - La tante Aglaé, qui avait perdu son homme, mangé par un lion. - La tante Barbe, qui elle a perdu son Tony car il avait essayé de manger un boa constricteur

qui a inventé la cuisine en faisant tombé par mégarde un morceau de viande dans le feu. - La tante Laure, femelle de l’oncle Vania, mais ce dernier l’avais abandonnée au reste de al famille car bête et incapable de monter aux arbres. - La tante Gudule, appariée à l’oncle Ian, elle était la seule qui le croyait encore en vie jusqu’à son retour. - La tante Aglaé, qui avait perdu son homme, mangé par un lion. - La tante Amélie, veuve à cause d’un rhinocéros « velu ». - La tante Barbe, qui elle

CRIME CITY Auteur GUDULE Editions MIJADE Collection ZONE J Résumé Corentin possède un jeu virtuel « cream-city » où il a créé la famille rêvée : les Lovely. Ce jeu l’aide à s’échapper de son quotidien. Mais un jour, tout bascule et les personnages disparaissent. En voulant rétablir la situation, Corentin se retrouve piégé au cœur du jeu, Cream-city se transforme en crime-city. Couverture : Le village virtuel « cream-city) et l’ombre représente la « flaque du crépuscule » qui va faire disparaître

La bibliothécaire. Gudule Résumé . 1) Guillaume dort au cours de français, le prof veut l’humilier en le faisant aller raconter son rêve aux autres…et il narre l’histoire de la grand-mère d’en face qui écrit et puis quand elle éteint sa lampe rose, la jeune fille qui sort du portail et court… tous les élèves sont captivés pas l’histoire et il avoue à son meilleur ami que c’est vrai alors il lui conseille de lui parler. 2) Comme chaque soir, il