Guerre de Corinthe

Sarcophage provenant de la nécropole royale de Sidon. Dimensions impressionnantes (1,95m de haut), objet d'un décor riche, daté de fin 4e s, réalisé peu de temps après la mort d'ALG. Scène du haut : scène de chasse (lion), en bas scène de bataille, de guerre. La scène de bataille représente une version d'ALG, à cheval, côté héroïque, muni d'une tunique = pas la vraie vie, on ne combat pas en toge. Pas réaliste, tête de lion juchée sur son crâne, qui renvoie à la représentation d'Héraclès, grand héros

des!CORYBANTES!et!nourris!du!bon!lait!de!la!chèvre!AMALTHÉE.!Les! CORYBANTES!faisaient!beaucoup!de!vacarmes!pendant!leurs!fêtes!et!grâce!à!eux!on! n'entendait!plus!le!cris!des!bébés.!! TITAN!s'aperçoit!de!la!ruse!et!accuse!Saturne.!Il!lui!déclare!la!guerre,!est!victorieux,!fait! prisonnier!Saturne.!Jupiter!avait!grandit,!aidé!des!géants,!il!bat!TITAN!et!remets!son! père!sur!le!trône.!Mais!Saturne!se!méfie!de!Jupiter.!! CeluiIci!s'en!rend!compte,!aidé!de!ses!frères!Neptune!et!et!Pluton,!il!chasse!Saturne

C). La démocratie est née d’une réforme, celle de Christhène en – 508 et se termine en - 322. Athènes est une cité Etat «polis» qui couvrent la région de l’Attique (Sud Est de la Grèce). La Grèce regroupe + 1000 cité Etats «polis» (Sparte, Thèbes, Corinthe…) A. Athènes une «polis» isonomique. 1. Une communauté puissante d’hommes libres et autonomes. Polis : Communauté d’hommes libres qui ont les mêmes droits, communauté d’égaux ( eunomie )à Athènes ils se nomment - citoyens - Ils sont autonomes

début du Ve s. à la fin du IVe s. av. J.-C. C’est à partir de cette période que les principales institutions et habitudes religieuses, héritières de pratiques accumulées au cours des siècles qui précèdent, sont en place. C’est aussi le moment où les Guerres Médiques donnent l’occasion aux Grecs de mesurer l’importance qu’ils accordent à leurs dieux, responsables de la victoire, non seulement à l’échelon local, mais aussi à l’échelle de la Grèce entière. Cependant, chaque cité retourne ensuite à ses dieux

fait percer les chevilles pour l’accrocher à un arbre : c’est de là que lui viendrait son nom, Œdipe, « pieds enflés » [4] . Œdipe est contre toute attente sauvé et adopté par Polybe et Mérope, le roi et la reine de Corinthe, qui l'élèvent comme leur fils. 2.2 Départ de Corinthe et consultation de l'oracle de Delphes Œdipe et le Sphinx de Gustave Moreau, 1864, Metropolitan Museum of Art. L'histoire reprend lorsque Œdipe est un jeune adulte. D'après l’Œdipe roi de Sophocle et les Phéniciennes

il est considéré comme le créateur de la tragédie. Appartenant à la famille des Eupatrides, donc de souche aristocratique, il participa aux guerres médiques et se battit à Marathon et à Salamine. Cette période de sa vie l’a beaucoup marqué puisqu’il s’inspire directement des événements qu’il a vécus en tant que soldat pour donner une large place à la guerre dans son œuvre. C’est donc comme témoin et acteur des batailles qu’il rend compte des événements. La tragédie Les Perses se fait l’écho de cette

les spartiates de cette révolution militaire. La phalange = principe qui fait que ce n’est plus le guerrier individuel qui compte mais le rang de l’infanterie, donc l’arme principal est le guerrier qui est à pied ( pas la cavalerie, ni le char de guerre), l’homme dont tout l’entrainement va lui apprendre à marcher en rang. Ce rang vous devez y garder votre place, Grecque porte bouclier lourd et large (bras gauche) amure en bronze (coute cher). Le guerrier lourdement armé s’appel hoplite. 10 rangs

| | | |Et hais tant le travail, que, les yeux entrouverts, | |Là, sans me soucier des guerres d’Italie, |Une main hors des draps, cher Baudoin, à peine | |Du comte Palatin, ni de sa royauté, |Ai-je pu me résoudre à t’écrire ces vers. |

d’Orphée, il perd son amoureuse pour toujours. Cela rend sa vie misérable par la suite. Il y a aussi le mythe de Médée, où cette dernière se fait trahir par l’homme qu’elle aime puisque Jason décide de délaisser Médée pour épouser la princesse de Corinthe (Sénèque, 1997). Médée qui n’accepte pas cette perte tuera ses propres enfants pour se venger (Sénèque, 1997). Ceci montre très bien que l’amour n’a pas de possibilité de bien se terminer dans les œuvres de l’Antiquité puisqu’il y a toujours quelqu’un

Athènes et Platées[74]. Elle apparaît relativement tard, en 520 av. J.-C., soit un siècle après les autres épreuves gymniques, ce qui ne s'accorde guère avec l'hypothèse selon laquelle elle serait un vestige d'un temps où l'athlétisme préparerait à la guerre[81]. Les premiers honneurs sont décernés après chaque épreuve. Le nom du vainqueur est proclamé par le héraut en même temps que le nom de son père et celui de la ville pour laquelle il concourt[76]. Il reçoit le bandeau de la victoire et une palme