Guerre Et Amour

mot : Lou). Guillaume Apollinaire, poète du XXe siècle, célèbre pour ses Calligrammes, part à la guerre en 1914. Alors qu’il est au front, il compose de nombreux poèmes en l’honneur de Lou, la femme qu’il aime. Cette lettre intitulée Adieu !, qui est aussi un poème, a été écrite le 4 février 1915. Dans celle-ci nous voyons combien Apollinaire est amoureux de Lou, mais également combien la guerre a séparé les deux amants. Ce poème, comme tous ceux de l’auteur, a bénéficié d’une liberté totale de

de l’auteur. Ces poèmes sont écrits en 1914-1915 pendant une période difficile de sa vie au moment de la Première Guerre mondiale quand il s’est engagé dans l’armée française. Sur fond d’une réalité dure de la guerre, il vit sa guerre intérieure dont la belle aristocrate Louise de Coligny–Châtillon, dite Lou, est la cause. Il l’a rencontrée à Nice en 1914. Cette femme et la guerre lui inspirent de nombreux poèmes et lettres. Ce poème, un vrai récit d’amour, nous montre la dureté et une fin inévitable

affirme son amour, lui aussi ; elle évoque la nécessité de l’engagement, d’abord en tant que condition sine qua non de son affection, ensuite en tant que moyen de donner un sens à sa vie et d’agir. Évocation du prolétariat (PCF), des victimes de la guerre (2de Guerre mondiale) et des amis disparus (Résistance). * Engagement + lyrisme, complémentaire et pas contradictoire ; mêlés. Développement I. Fonction d’engagement 1. Engagement nécessaire, indispensable * amour résultat de

Plan Dès lors; si ce texte nous montre des images de la guerre, il s'agit également d'un poème lyrique qui va permettre un dépassement de la réalité. I). Les images de la guerre • lexique de la guerre : "obus" v 3, "galop" v5. • lexique de la lumière "lueur tremblante" v1, "feu de bois" v2 mais aussi "noirceur" v9. C'est cette pénombre qui va développer le côté auditif. Cette pénombre s'associe à l'angoisse "tremblante" v1, "lamente" v3. • perception auditive : o "l'obus qui se lamente " v3

personnages, puis le double statut de père et de roi d’Agamemnon. Lorsque Iphigénie fait son entrée sur scène, elle est joyeuse, montre un amour pour son père qui n’a d’equivalent que la froideur qu’il lui oppose. En effet, ce dernier est froid, renfermé, et semble désespèré. Il ne peut lui avouer qu’elle va être sacrifiée pour permettre au Grecs de partir en guerre, a Troie. La pauvre fille est naïveRacine est un dramaturge du XVIIe siècle qui a écrit de nombreuses tragédies inspirées de l’histoire

|Pour toi mon amour | | |  | | | | | | | | |Je suis allé au marché aux oiseaux

ses Lais. 4. L´amour chez Marie de France. 1. L´époque de Marie de France. On situe Marie de France au XIIe siècle, un siècle avec beaucoup de bouleversements produits par des nombreux conflits politiques, des nombreuses guerres et par les croisades à Jérusalem où les chrétiens font face aux arabes. Le système social est un système fondé sur la féodalité. Le roi est la personne la plus importante et les nobles doivent lui être fidèles et lui prêter de l´aide en cas de guèrre, en échange

un poète français. Il rencontre Louise de Coligny-Châtillon à la fin de l’année 1914, et signe un engagement pour la durée de la Première Guerre Mondiale. Le recueil Poèmes à Lou a été publié en 1969. Il contient la correspondance entre Guillaume Apollinaire et Louise de Coligny-Châtillon, qui s’étend sur une durée d’environ deux ans, pendant la Première Guerre Mondiale. Le poème Adieu a été écrit le 4 février 1915. Guillaume Apollinaire l’écrit à Nîmes, peu avant sa mobilisation au front, et après

Guillaume Apollinaire est un poète qui est devenu célèbre notamment à cause de ses amours malheureux. C'est sa rencontre avec Louise de Coligny-Châtillon, surnommée Lou, à Nice en 1914 peu avant son engagement pour la Première Guerre Mondiale qui lui inspire ce poème. "Adieu" est un poème tiré du recueil Poèmes à Lou, il a été écrit le 4 février 1915. Ce poème est un acrostiche, composé de 5 tercets d'alexandrins, sans aucune ponctuation. Le titre "Adieu" représente pour Apollinaire un départ définitif

l'existence ; de ce que l'on ne se trouve pas, en fin de compte, au Paradis, mais bel et bien, comme d'habitude, sur Terre.» (p. 193-194) «- Tu aides à faire la guerre, alors ? dit Saffie en reculant. Ces mains elles touchent des clarinettes...et des fusils ? Elles tuent, ces mains ?Je te déteste ! - Saffie... - Ne me touche pas ! Je hais la guerre ! András ! (Elle crie. Hystérique pour de vrai, cette fois.) Je vais te dénoncer à la police ! Il la gifle. De toutes ses forces. Juste une fois. Juste pour