Guerre Froide 62 91

précédant la limitation de l’emploi de la force dans les relations interétatiques, la notion de légitime défense n’avait pas de raison d’être invoquée; chaque État organisait sa défense, son autoprotection comme bon lui semblait et recourait à la guerre ou à l’emploi de la force pour se défendre quand il l’estimait nécessaire. Selon Antonio Cassese, étant donné qu’avant 1919, le droit international ne faisait aucune restriction à l’emploi de la force ou pour mettre en œuvre de manière coercitive

océan à un autre : canal de Suez (1869) écourte de 40% le voyage Londres-Bombay, canal de Panama (1914). L'automobile se développe, elle est devenue un produit standardisé et l'avion devient un moyen de transport intercontinental dans l'entre deux-guerres. L'industrialisation de l'Europe a entraîné des profits importants et lui assurent une puissance financière. L'Europe est le « banquier du monde » en 1914, elle détient les 2/3 des capitaux et de nombreux pays s'endettent auprès d'eux (Empire ottoman

sur ses marges de « l’étranger proche » § « L’étranger proche » de la Russie est constitué par les 14 nouveaux pays indépendants anciens membres de l’URSS. § Une nombre de bases russes limité hors frontières de la Russie : ú Port de guerre de Sébastopol en Ukraine ú Installations spatiales de Baïkonour au Kazakhstan ú Troupes dans le Caucase (Géorgie et Arménie) ú Quelques bases en Asie centrale (Kirghizstan, Tadjikistan) § La Russie y exerce

distributeur gobelet qu’en distributeur alimentaire. Ceci peut s’expliquer par la présence de produits non adaptés (trop gras et lourds). Nous savons que 80% des consommations en distributeur automatique se fait au gobelet (boissons chaudes ou froides) ce qui explique un plus fort taux d’équipement sur ce type d’automate comme le démontrent les précédents graphiques. Autre particularité, la consommation de produits nouveaux tels que les produits frais ne représentent que 2% des ventes (plats

historique de la naissance de l'art moderne.....................................................................9 III. Succession des mouvements artistiques..................................................................................10 A. Avant la guerre......................................................................................................................10 1. Le fauvisme – le droit de tout oser (1905 – 1908)...........................................................10 Henri Matisse

à ce sujet? ; - de quelle façon se termine cette histoire? le narrateur a-t-il échappé au Khédive et à ses amis par, comme il le prévoyait en 62 «une dernière astuce, une dernière lâcheté»? il faut évidemment qu’il ait survécu puisqu’il mentionne «à l’heure où j’écris ces lignes» et qu’il doive avoir à subir un procès, dans cette période de l’après-guerre qu’on a appelée l’Épuration, puisqu’il imagine «toutes ces horreurs que Madeleine Jacob écrira sur mon compte» (68), cette grande journaliste ayant

conciliables. Tantôt les visions sont compatibles, tantôt contradictoires. La richesse des points de vue sur la sécurité explique conséquemment la diversité des définitions et des approches. Cela est d’autant plus vrai que, depuis la fin de la guerre froide, les recherches sur la sécurité sont résolument éclectiques. Si le consensus existait, au moins superficiellement, dans la vision traditionnelle d’une sécurité essentiellement militaire et fondée sur les rapports entre États, cet accord aujourd’hui

précédant la limitation de l’emploi de la force dans les relations interétatiques, la notion de légitime défense n’avait pas de raison d’être invoquée; chaque État organisait sa défense, son autoprotection comme bon lui semblait et recourait à la guerre ou à l’emploi de la force pour se défendre quand il l’estimait nécessaire. Selon Antonio Cassese, étant donné qu’avant 1919, le droit international ne faisait aucune restriction à l’emploi de la force ou pour mettre en œuvre de manière coercitive

précédant la limitation de l’emploi de la force dans les relations interétatiques, la notion de légitime défense n’avait pas de raison d’être invoquée; chaque État organisait sa défense, son autoprotection comme bon lui semblait et recourait à la guerre ou à l’emploi de la force pour se défendre quand il l’estimait nécessaire. Selon Antonio Cassese, étant donné qu’avant 1919, le droit international ne faisait aucune restriction à l’emploi de la force ou pour mettre en œuvre de manière coercitive

naissance des relations internationales comme discipline et objet scientifique 8 B. La puissance : capacité des États 10 C. La puissance et ses modes d’action 15 D. Les critères de puissance 18 II. La notion de puissance dans un environnement post-Guerre froide 23 A. De la superpuissance à la notion d’hyperpuissance 24 B. Entre unilatéralisme et soft power 26 III. L’exercice de la puissance dans un environnement post-11 septembre 28 A. Une vision stratégique à Washington qui influence la notion de