Guerre Froide Opposition De Deux Modèles

- Staline Les mots de vocabulaire qu’il faut savoir définir : - les deux sens du mot « bilan » : ( « faire les comptes » d’une époque qui s’achève (la guerre) ( percevoir le nouvel ordre du monde qui se met en place et annonce l’avenir - génocide - crime contre l’humanité La problématique du chapitre : entre ruines et espoirs, quel monde nouveau est-il sorti de ce chaos que constituent les six années de guerre ? Les grandes idées : - Lorsque la 2GM s’achève, le monde est meurtri :

Chap. 2. Les grands modèles idéologiques et la confrontation Est-Ouest jusqu’au début des années 1990 Introduction (La 2nde GM = fin de la prépondérance des deux grandes démocraties libérales d’Europe de l’W : GB et FR. Elles sont ruinées et affaiblies par la guerre et par la progression des mouvements nationalistes dans leur empire. > elles ne sont plus capables de tenir leur rang sauf à se tourner « vers le large » comme le fait la GB avec les USA. FR quant à elle est devenue une puissance

Les Etats-Unis et le monde depuis 1918 Jusqu’à la première Guerre-Mondiale, les Etats Unis sont une puissance isolationniste (les Etats-Unis refusent de s’impliquer dans les relations internationales  Doctrine Monroe 1823. Les Etats-Unis se limite sur le continent Américains : « chasse gardée », refuse d’intervenir en Europe et ailleurs encore. Il reste en retrait par rapport aux autres villes. • Au déclanchement de la première guerre mondiale, les Etats-Unis n’interviennent que parce qu’un bateau

bien définir le sujet. Si ce sujet ne comporte pas de termes difficiles à définir, le terme « ET » invite à réfléchir non pas sur l’évolution du modèle chinois en lui-même, mais bien sur les relations entre la Chine et les autres pays du monde. Votre composition doit donc aborder les relations entre la Chine et les deux superpuissances de la Guerre Froide, l’URSS et les Etats-Unis, mais également avec les autres continents : l’Europe, l’Afrique, l’Asie… N’oubliez pas non plus de bien définir les bornes

romancier ou chroniqueur, il avait tourné le dos à l’impérialisme britannique en Birmanie, connu l’extrême pauvreté à Paris et à Londres, et assisté aux ravages des totalitarismes nazis et soviétiques, après la guerre d’Espagne. Quand George Orwell écrit 1984 au sortir de la Seconde Guerre mondiale, dans Londres ravagée par les bombardements et exsangue, il a sous les yeux les atrocités de totalitarismes, tant nazi que stalinien, qui au nom d’un idéal social ont aliéné des peuples entiers. C’est

d'une uniformité du peuple que ce soit dans la culture, l'histoire, les valeurs. Et ce qui peut être initialement motif à différence, devient motif à divergence puis à conflit. Enfin, la nature du monde de l'après 1945, voire même, de l'après Guerre Froide, semble dessiner de nouveaux horizons en relations internationales, la prééminence des États-Nations et empires ( France, Allemagne, États-Unis, Russie/URSS) ne semble plus autant d'actualité et questionne par là même la pérennité de la notion

entre les Deux Grands que sont les États-Unis et l’URSS. Ce conflit américano-soviétique porte le nom de Guerre Froide. En effet cette affrontement n’est pas direct, les deux superpuissances utilisent tous les moments dont ils disposent c’est à dire intimidation, doctrines ou encore guerres interposées pour prendre le dessus sur l'adversaire créant des tensions. Comment évoluent alors les tensions américano-soviétique lors de la Guerre Froide entre 1947 et 1962 ? La Guerre Froide commence par

négociation (protectorats) ou par la guerre, l’Europe, Royaume-Uni et France en tête, part à la conquête du monde à travers ses colonies dès 1870. Ces territoires, Africains et Asiatiques pour la plupart, sont en totale dépendance vis-à-vis des métropoles européennes. Cette course aux colonies engendre des rivalités entre puissances européennes et les tensions se généralisent, encouragées par le nationalisme. A côté de l’Europe, deux puissances émergent en suivant leur modèle : les Etats-Unis qui ont achevé

ère de guerres mondiales également sans précédent ». XIXe siècle : Progression rapide de la mondialisation. XXe siècle : Dynamique beaucoup plus ambiguë (période de turbulence de la mondialisation). Première mondialisation : années précédent la 1ére guerre mondiale. (Libéralisation des échanges économiques, contradiction entre : ouverture économique/fermeture identitaire.) Août 1914 à 1991 (chute de l’URSS) : Conséquence de ces contradictions, leçon ambigüe pour le XXIe siècle. Deux types

approprié en raison du statut incontesté de superpuissance sans rivale depuis la fin de la Guerre froide qui s'exprime dans le domaine culturel, dans le concept de « Destinée manifeste » et de l'exceptionnalisme américain. Ils invoquent également, à tort ou à raison, des ingérences politiques du gouvernement américain ou des interventions militaires dans des États étrangers, notamment lors de la guerre froide, comme : la tentative(s) d'assassinat de Fidel Castro, la tentative d'invasion de la Baie