Guerre Froide Propagande Embrigadement

Chapitre 1 : La Première Guerre Mondiale (1914-1918) |G | | |U |Mobilisation des hommes (au front, les poilus pour combattre ; à l’arrière, les civils qui travaillent, | |E |prêtent de l’argent, écrivent des lettres de soutien) | |R |

Les Régimes Totalitaires dans l’entre deux guerre : points communs et spécificités ——> ——> ——> ——> ——> ——> ——> ——> ——> ——> ——> Réunion des 3 pouvoirs ==> Société hiérarchisée, encadrée, éduquée (endoctrinement) Idéologie Objectif : ordre nouveau fondé sur une pensée unique Embrigadement de la population. Fanatisme Propagande, censure La terreur : organes spécialisés, police politique Élimination des opposants Lieux d’internement Culte de la personnalité : Chef Collectif > Individu Négation Système

traits. Chap. 11 - Nathan Terminale 1998 p.184. I. UNE ALLIANCE DIFFICILE : 1941-47 A. UNE ENTENTE "NÉCESSAIRE" APRES 1941 1. pour gagner la guerre : • entente économique : prêt-bail, livraisons d'armes... • entente militaire : partage des zones d'intervention, Grande Alliance Cf. Conférences : Téhéran 1943, Yalta 1945 2. pour régler l'après guerre : 1. accords sur les traités : Conférences sont tri ou quadripartites : ex. Potsdam 2. accord sur la responsabilité des dictatures : Nuremberg

politique pour étudier les faits et gestes de la population. Dans les deux partis, les dirigeants ont engagé des polices secrètes pour surveiller les actions du peuple. De plus à cette époque la dénonciation était un acte encouragé et valorisé par la propagande de ces régimes totalitaires .En Urss la Tcheka, la police politique du dictateur surveille les habitants du pays et chaque personne suspecte était immédiatement arrêtée et emmenée dans le « commissariat ». Pour ; aucun autre chef d'accusation que

Yougoslavie 1949 : naissance de la RDA et du CAEM (ou COMECON) 1953 : émeutes à Berlin-Est 1956 : insurrection à Budapest 1961 : édification du mur de Berlin 1968 : « printemps de Prague » 1975 : acte final de la conférence d’Helsinki 1981 : « état de guerre » en Pologne 1989 : chute du mur de Berlin Corrigé Attention, aucun titre ne doit figurer dans les devoirs rédigés. Travail préparatoire ■ Analyse du sujet Géographiquement, les démocraties populaires correspondent aux États d’Europe centrale

Chapitre 1 : La Première Guerre Mondiale (1914-1918) |G | | |U |Mobilisation des hommes (au front, les poilus pour combattre ; à l’arrière, les civils qui travaillent, prêtent de l’argent, | |E |écrivent des lettres de soutien) | |R |

qui s'installe. Les terres, les banques et les moyens de productions sont nationalisés afin d'obtenir un contrôle total. Pour atteindre les objectifs de productivité et asseoir un contrôle toujours plus fort sur les travailleurs, une campagne de propagande est mise en place. C'est par le récit d'un mineur nommé Aleksei Stakhanov, que les travailleurs sont encouragés par le gouvernement à repousser leurs limites. En effet, l'histoire de Stakhanov décrit un employé dévoué et très productif qui aurait

Chap. 11 - Nathan Terminale 1998 p.184. une ALLIANCE difficile : 1941-47 1 UNE ENTENTE "NÉCESSAIRE" après 1941 1 pour gagner la guerre : entente économique : prêt-bail, livraisons d'armes... entente militaire : partage des zones d'intervention, Grande Alliance Cf. Conférences : Téhéran 1943, Yalta 1945 2 pour régler l'après guerre : 1. accords sur les traités : Conférences sont tri ou quadripartites : ex. Potsdam 1. accord sur la responsabilité des dictatures : Nuremberg

LA GUERRE FROIDE EST ELLE UNE GUERRE TOTALE ? La Seconde Guerre Mondiale marque une rupture réelle dans l'histoire de l'humanité, et ce à l'échelle de la planète puisqu'elle a fait 60 millions de morts et qu'elle a provoquée des destructions d'ampleurs considérables. Le choc moral qui découle de la brutalisation des combats entraîne de fait ,la promotion d'un avenir meilleur au sein d'un espace mondial pacifié. Ainsi, au lendemain de 1945, la Grande Alliance unis dans la lutte contre le nazisme

scrupule comme celui que l’on a, pour cela, appelé le « malin ») ; la méchanceté est une forme de perversité. La question se pose donc forcement de savoir si la méchanceté est naturelle, innée, instinctive, produit d’un traumatisme ou d’un embrigadement ou, au contraire, volontaire, c’est-à-dire sciemment et librement décidée comme dans un crime qu’on qualifie de prémédité Mais il faut se demander qui est méchant pour qui ? C’est-à-dire opposer à l’universalité de l‘affirmation une conception