Guillaume de Prusse

30 juillet 1898, est un homme politique prussien puis allemand. Personnage associé à ses débuts politiques parmi les Junkers, nobles propriétaires terriens de Prusse, Bismarck se montre depuis toujours conservateur, favorable à la monarchie et partisan de la monarchie prussienne de Fréderic Guillaume IV. D’abord ministre-président de Prusse de 1862 à 1890 puis chancelier allemand de 1871 à 1890, il acquiert des pouvoirs très larges à la tête d’un empire grandissant, l’Empire allemand. L’Allemagne

exister que si l'Autriche et la Prusse s'entendent. À partir de 1834, l’union douanière appelée Zollveiren commence à se constituer à l'initiative de la Prusse. Il construit un espace économique sans douane intérieure et définit une même politique commerciale vis-à-vis de l'extérieur. Cet espace exclue délibérément l’Autriche. Une assemblée élue au suffrage universel se réunit à Francfort et propose la couronne d'une Allemagne unifiée au roi de Prusse, Frédéric-Guillaume IV, qui la refuse, soucieux de

française (Napoléon Ier). Fin du Saint Empire romain germanique. François II, empereur du Saint-Empire et « empereur élu des Romains » devient le premier empereur d'Autriche sous le nom de François Ier 1814 (18/9/14 - 09/06/15).Congrès de Vienne : - La Prusse est séparée en deux parties socialement, économiquement et confessionnellement distinctes. Elle assume la « garde du Rhin » contre la France. - Création de la Confédération germanique sur la proposition de Metternich. L’article 2 prévoit le maintien

pape Pie IX puis des défaites militaires du roi de Piémont-Sardaigne, Charles-Albert, face à l'Autriche qui amènent à la réoccupation du Nord-Est du pays. En Allemagne, malgré l'octroi d'une constitution prussienne en 1850, le refus de Frédéric-Guillaume IV d'accepter la couronne des mains du Parlement conduit à la fin du rêve démocratique tandis que la reculade d'Olmütz marque l'impossibilité du projet de Grande-Allemagne avec l'Autriche. Malgré ces revers, le projet d'unification des deux pays

HISTOIRE DE L’ALLEMAGNE Le nationalisme allemand est remis à l'honneur en 1862 par le nouveau minister-präsident de la Prusse, Otto von Bismarck. Conservateur et patriote, ce dernier est déterminé à assurer l'hégémonie de la Prusse sur une Allemagne unifiée. La guerre contre le Danemark, menée conjointement avec l'Autriche, en 1864, se solde par la cession du Schleswig à la Prusse et par celle du Holstein à l'Autriche. Une querelle au sujet de l'administration du Holstein fournit à Bismarck le prétexte

Congrès de Vienne partage l’Europe entre les puissances après la chute de Napoléon Bonaparte. Comme se sont les grandes puissances qui se repartage le monde, c’est l’équilibre européen vu par les 4 grandes puissances (l’Angleterre, l’Autriche, la Prusse, la Russie, la France n’est pas inclue car c’est la grande perdante à la chute de napoléon B.). Cet équilibre ne respect pas le mouvement national et le mouvement libéral. Il provoque aussi un retour à l’Ancien Régime (puisque que les 4 grandes puissances

puissance pivot au centre de l’Europe. Les personnalités présentes : Le chancelier Metternish d’Autriche mène le Congrès. <on retrouve les autres vainqueurs de Napoléon : Pitt le second est le premier ministre anglais, l’empereur de Prusse Frédéric Guillaume II et le Tsar Alexandre 1er. La France est représentée par le Prince de Talleyrand. Ordre du jour : rétablir le monarque légitime dans chaque pays ou Napoléon est passé. C’est ainsi qu’en France la Royauté des bourbons est rétablie. Louis

.......................................... …............................................................................................................... III. LES FORMES DU NATIONALISME Document 1. "Qu'on ne parle plus d'Autriche et de Prusse, de Bavière et de Tyrol, de Saxe et de Westphalie mais de l'Allemagne (...). Quelle est la patrie de l'Allemagne ? Nommez-moi cette grande patrie ! Aussi loin que résonne la langue allemande, aussi loin que les chants allemands se font entendre pour

siècle en Europe est dominée par les aspirations libérales et nationales. Après l’échec des révolutions de 1848, les aspirations nationales des Italiens et des Allemands sont portées par les rois de Piémont Sardaigne, Victor-Emmanuel II, et de Prusse, Guillaume Ier. Dans les deux cas, l’unité se fait par la guerre car il faut réduire les résistances de certaines puissances et unir le peuple autour d’un ennemi commun. Avec l’aide de la France, le Piémont s’empare de la Lombarde aux dépens de l’Autriche

de Napoléon , le sort de nos régions est réglé au Congrès de Vienne. Les anciens Pays Bas et la principauté de Liège sont réunis aux Provinces-Unies pour former le Royaume des Pays Bas sous la souveraineté de Guillaume d'Orange. Les cantons d'Eupen, Malmédy et Saint-Vith sont cédés à la Prusse. Le Luxembourg est donnée au Roi à titre personnel. 1831 : prestation de serment de Léopold 1er ( roi des belges ) Le nouvel état. l'indépendance. Les fondements de la Belgique. - Elus par environ 30000