Guillaume de Prusse

l'unification italienne à l'unification allemande et expliquer les conséquences de ces unifications sur l'empire d'Autriche. En 1815, défaite de Napoléon à Waterloo. Après cette défaite, on réunit les 4 vainqueurs de la France : Angleterre, Prusse, Autriche, Russie, au congrès de Vienne. ↓ Les buts de ce congrès consistaient à se partager les territoires conquis de la France à assurer une paix durable en Europe et surtout à restaurer le pouvoir des rois. Conséquences :

1813-1815 - Les Guerres de libération  * Réformes prussiennes : Deux hommes furent à l’origine d’un vaste programme de réformes destiné à faire de la Prusse un Etat moderne : le baron von Stein et le prince de Hardenberg : * Création de 5 ministères spécialisés * Städteordnung : accorde aux villes une large autonomie administrative. * Abolition du servage (Unterhängigkeit) * Possibilité donnée aux paysans de devenir propriétaires terriens. * Industrie : réformes favorisent

Son père a reçu une commission d'officier pendant la guerre de Sept Ans, mais il est démis de ses fonctions à l'issue du conflit, en raison de son extraction modeste. Sur la base de l'œuvre de Clausewitz, cette noblesse est reconnue par Frédéric Guillaume III en 1827. Jusqu'à l'âge de douze ans, il reçoit une éducation médiocre dans une école latine (Lateinschule) locale. Grâce aux relations de son père, il entre en 1792 comme porte enseigne (Fahnenjunker ou cadet) au 34ème Régiment d'Infanterie

Unification Allemande La Prusse était un pays qui dominait par sa puissance et son intelligence. 1815 39 Etats forment la confédération germanique. La Prusse était vue comme le chef, avec comme roi Guillaume 1er et comme premier ministre Otto Von Bismarck, mais était en froid avec l’Autriche. 1834 Les différents Etats allemands créent un marché intérieur unique, le Zollverein. Cette union économique n’englobe pas l’Autriche, ce qui conduit à la solution de la solution petite-allemande

Clausewitz : Du contexte au texte I – Histoire : notions et expansions 1 – Les guerres révolutionnaires et l'Europe 1763 : fin de la guerre de 7 ans Il y a 3 puissances (Russie/Prusse/Autriche) contre la France. La France est une puissance assez forte mais fragile à cause de l'éventualité d'une guerre contre l'Angleterre et son indépendance vis à vis des USA. A cette époque, la guerre n'est pas l'affaire du peuple mais celle des princes et des nobles. 1792 : Abolition des privilèges de la

l'Autriche dans le cadre du Saint-Empire romain germanique (de 962 à 1806) puis de la Confédération germanique (de 1815 à 1866), en 1871, à la fin de la guerre franco-prussienne, les divers États allemands furent réunis dans un État dominé par la Prusse, donnant ainsi naissance à l'Allemagne unifiée moderne, dite également Deuxième Reich ou Reich Wilhelminien. La défaite allemande qui suivit la Première Guerre mondiale provoqua en 1918 l'avènement de la République, puis en 1933 celui du Troisième

Otto von Bismarck :Bismarck est la figure de majeure de la modernisation de la Prusse et de l’unification AllemandePour cela il faut situer la situation économique et politique de la Prusse. Au milieu du 19éme siècle, l’Allemagne se composait de 38 états souverains rassemblé en une confédération germanique sous la domination de l’empire d’Autriche, résultat du congrès de Vienne. La Prusse s’émancipant et se développant de plus en plus souhaite imposer sa loi au autre États. Il y eu dans ce sens

Le Traité de Tilsit (petite ville de Prusse-Orientale devenue aujourd'hui Sovetsk en Russie) met fin en 1807 à une guerre entre la France et la Prusse, membre de la quatrième coalition européenne contre la France. Ce traité intervient dans une période de 1805 à 1809 correspondant à une série de campagnes victorieuses contre les Anglais et leurs alliés européens qui se sont unis face à la politique envahissante de Napoléon. En fait, en ce début du XIXème siècle, une paix apparente

ensuite les États allemands. De nombreux souverains, dont le roi de Prusse, promettent des constitutions libérales. Une assemblée constituante représentant tous ces États allemands est élue : le parlement de Francfort siège à partir de mai 1848. Quelle forme donner à la future Allemagne unifiée ? En janvier 1849, il est décidé d'en exclure l'Autriche ; enfin, en mars 1849, une constitution est adoptée : le roi de Prusse Frédéric-Guillaume IV (1840-1861) est élu « empereur des Allemands ». Les troubles

pour un siècle. Dépopulation, ruine financière et paralysie politique face aux particularismes des princes éparpillés. La dynastie des Hohenzollern va tenter de construire une Allemagne forte, au XIXe siècle, à partir d’un puzzle de 39 Etats, dont la Prusse est le chef de file. L’unification tardive de l’Allemagne, en 1871, ne l’empêche pas de rattraper en quelques années ses concurrents européens à la fois sur le plan industriel et sur le plan militaire. Ses atouts (qualité du système scolaire, de la