Guillaume du Bellay

|Les Amours | |1566 |Bonaventure des Périers |Cymbalum Mundi | |1549 |Joachim Du Bellay |Défense et illustration de la langue | | | |française | |1509 |Erasme

Mouvements en poésie La Pléiade (XVIe siècle) La Pléiade est un groupe (d'abord nommé « la Brigade ») de poètes rassemblés autour de Ronsard : du Bellay, Guillaume des Autels, Pontus de Tyard (1525-1605), Remy Belleau, Jean Dorat, Jean de la Péruse. Ils défendent en même temps l'imitation des auteurs gréco-latins et la valeur culturelle de la langue française. Ils imposent l'alexandrin et le sonnet comme des formes poétiques majeures. Pierre de Ronsard : Le « Prince des poètes » de la Renaissance

jour idolâtre, j’adore : Mais ma plaie, et pointure, et le Nœud qui me serre, Est plus verte, et poignante, et plus étroit encore Que n’est le vert laurier, ni le houx, ni le lierre. Villes « Nouveau venu qui cherches... » Joachim du Bellay Nouveau venu, qui cherches Rome en Rome Et rien de Rome en Rome n’aperçois, Ces vieux palais, ces vieux arcs que tu vois, Et ces vieux murs, c’est ce que Rome on nomme. Vois quel orgueil, quelle ruine et comme Celle qui mit le monde

notre âme depuis ce temps tremble et s’étonne. Paul Verlaine, Fêtes galantes Le Chat Je souhaite dans ma maison : Une femme ayant sa raison, Un chat passant parmi les livres, Des amis en toute saison Sans lesquels je ne peux pas vivre. Guillaume Apollinaire La lune blanche… La lune blanche Luit dans les bois ; De chaque branche Part une voix Sous la ramée… Ô bien-aimée. L’étang reflète, Profond miroir, La silhouette Du saule noir Où le vent pleure… Rêvons, c’est l’heure

au cours de ses voyages et à la connaissance des plantes médicinales : grand savant en botanique, en pharmacie et en cuisine Geoffroy d’Estissac, évêque de Maillezais rend visite à Rabelais. Il demande à Rabelais de l’embaumer à sa mort. Guillaume du Bellay a été embaumé par François Rabelais Rabelais avait un pouvoir : les mots. Il peut jouer avec leur origine, leurs sens, leurs références Calvin : réfugié à Genève. Ami avec Rabelais il y a 10 ans Rabelais veut faire une nouvelle traduction

hypothétique. Il séjour a Rome il fait étape a Ferrare ou Clément Marot et d’autres exilés font refuges auprès de René de France. Il participe à un banquet donné l’honneur d’Etienne Dolet poursuivi pour homicide. Il accompagne à Turin le frère du cardinal Guillaume de Langey. Les œuvres Pantagruel et Gargantua remaniée paraissent a Lyon mais ils sont ensuite censurés par le parlement sur la demande des théologiens. Rabelais obtient un privilège royal pour les Tiers Livre des faictz et dicts héroïque de Pantagruel

nourrie d’allégories, l’autre mobile, instable, mais capable d’articuler le sort d’un sujet singulier à celui de ses “frères humains”. Pendant la Renaissance, l’espace du lyrisme s’élargit. Légèreté de Marot, allégresse de Ronsard, mélancolie de Du Bellay, virtuosité de Louise Labé et de Maurice Scève: la poésie multiplie alors ses sources d’inspiration et ses formes. La relecture des poètes de l’Antiquité et l’influence de la littérature italienne, conjuguées à l’enthousiasme d’inventer une nouvelle

1)5 poèmes écrit à l’ordinateur (plus biographie de leur auteur) < François Villon> François de Montcorbier (François Villon) est né à Paris en 1431 ou 1432. Issu d’une famille pauvre, il est orphelin très jeune. Villon est recueilli par Guillaume de Villon, un chanoine de l’église Saint-Benoît-le-Bétourné.Il fréquente des brigands et devient très vite un « mauvais garçon » : il est condamné à plusieurs reprises. Il ira jusqu’à blesser mortellement un prêtre au cours d’une rixe…Les deux œuvres

François Villon offre un regard plus personnel sur le monde. Le XVIe siècle : Le renouvellement de l’écriture poétique Les poètes de la Pléiade : Le genre poétique connaît un essor important sous l’influence des poètes de la Pléiade comme Joachim du Bellay (« les Regrets » : poésie à la fois intime et satirique) et Pierre de Ronsard (« La Franciade » : poésie amoureuse) qui veulent succéder à la poésie antique en proposant une poésie en langue française. Ambition encouragée par François protecteur des

parent de Bayard et de la reine Elizabeth d’Angleterre était né au château de la Possonnière dans la paroisse de Couture-sur-Loir en 1524. Devenu sourd très jeune, il se consacra alors à la littérature. Fondateur du groupe de la Pléiade avec Joachim du Bellay, il a renouvelé l’inspiration et la forme de la poésie française (Odes, Amours, Hymnes, etc.) Les Italiens le mettent au-dessus de leurs plus grands poètes ; dans l’Europe entière, il est lu et admiré. Lorsqu’il traverse Paris, la jeunesse l’acclame