Gustave Courbet

suivit par le réalisme, manifesté par Courbet et Millet ; le réalisme donne naissance au naturalisme des peintres de l'Ecole de Barbizon (Daubigny, Rousseau, Troyon, Corot). Courbet, Corot et Delacroix, représentent alors l'avant-garde de la peinture française, et vont constituer les modèles dont tous les impressionnistes vont s'inspirer à leurs débuts. Le mouvement impressionniste est marqué par plusieurs peintres comme : Frédérique Bazille (1841-1870), Gustave Caillebotte  (1848 -1894),Paul Cézanne (1839 –

vraisemblables et le milieu ainsi que le physique des personnages sont évoqués avec minutie et objectivité (→ importance de la documentation, des descriptions). Exemples : Auteurs : BALZAC La comédie humaine FLAUBERT Madame Bovary Peintres : COURBET Gustave (cf peinture) DAUMIER Honoré Les jardins : c’est au XIXe siècle que les jardins ont véritablement commencé leur expansion, pleine apogée du style paysager puisque l’on prend exemple sur le remaniement de paris avec les grands travaux fait par

Père Goriot, Eugénie Grandet), Gustave Flaubert (Madame Bovary), Guy de Maupassant (Bel-Ami) , Stendhal (Le Rouge et le Noir), Victor Hugo (Les Misérables). Le réalisme littéraire est né en France avec certaines œuvres d'Alfred de Musset et de Balzac et prit une forme plus achevée avec les romans de Gustave Flaubert, les nouvelles de Guy de Maupassant et les romans d'Émile Zola. Le concept du réalisme se manifeste aussi bien en littérature qu’en peinture avec Courbet. En effet, ce terme fut utilisé

artistique des années 1850-70. Situé entre le romantisme et le symbolisme. L’adjectif « réaliste » a d’abord servi à qualifier les œuvres de Gustave Courbet (1819-1877), par Ses adversaires. « Celui-ci naquit du besoin de réagir contre le sentimentalisme romantique et contre "la sottise, le Poncif et le bon sens" » explique Baudelaire. Lecture du tableau de Courbet : L’Enterrement à Ornans (1849) [pic] Exposé au Salon de 1850-1851 et dans son exposition de 1855 intitulée « Le Réalisme ». Contexte

Le legs Caillebotte, Les Raboteurs de parquet, Gustave Caillebotte, 1875, 102 x 146,5cm, huile sur toile, musée d’Orsay, Paris. Introduction : Renoir sut imposer à l'État une partie du don qu’avait collecté son ami disparu en 1894 Gustave Caillebotte, qui permet aujourd'hui à la France de disposer dans son patrimoine des œuvres majeures de Monet, Degas, Sisley, Renoir... Trente-huit œuvres seront sélectionnées sur les soixante-cinq. La collection ne sera intégrée au Louvre qu'en 1928, et

indissociable des écrits théoriques et des romans de Zola. C’est une doctrine matérialiste qui fait de la nature la seule réalité existante, qui la valorise et le considère come un guide. Les peintres dans ce courant cherchent à représenter la nature (Courbet). Le roman naturaliste cherche à expliquer et à décrire la réalité afin que le lecteur comprenne la société dans la quelle il vit. C’est un mouvement de « l’intelligence moderne « qui depuis le XIX et les Lumières recherche le progrès et le bonheur

encore à la confusion. Les Maupassant étaient une vieille famille venue de Lorraine qui s’était installée en Seine-Maritime (Normandie) au milieu du XIXe siècle. Son père, Gustave de Maupassant, avait épousé en 1846 Laure le Poittevin, une demoiselle de la bonne bourgeoisie. Avec son frère Alfred, elle avait été l’amie de Gustave Flaubert, le fils d’un chirurgien de Rouen, qui devait exercer une certaine influence sur la vie de son fils. Elle fut une femme d’une culture littéraire peu commune, aimant

conjugales -Les affrontements sociaux entre les différentes classes sociales Ces sujets montrent la vie quotidienne. Grands noms de ce mouvement : -Stendhal, précurseur de la littérature miroir, La Chartreuse de Parme, Le Rouge et le Noir -Gustave Flaubert Madame Bovary -Maupassant Bel-Ami, Une vie -Champfleury œuvre à trouver -Baudelaire Les Fleurs du Mal L’École réaliste est apparue grâce aux théories exploitées dans le livre de Champfleury Le réalisme et grâce également à la revue

qu'ils se donnent pour mission de décrire fidèlement, sans en adoucir l'âpre réalité ; en cela, ils entendent atteindre à la même sincérité que la photographie naissante. L'école réaliste éclot autour des vives réactions suscitées par les toiles de Courbet (l'Après-dîner à Ornans en 1849 et l'Enterrement à Ornans en 1850). Peintres et auteurs se réunissent alors autour de l'artiste pour défendre ce courant artistique en devenir contre une critique virulente. La théorie du mouvement prend forme avec

en Europe et aux États-Unis entre 1840 et 1890 (époque où le réalisme céda la place au naturalisme). Le réalisme littéraire naquit en France avec certaines œuvres d'Alfred de Musset et de Balzac et prit une forme plus achevée avec les romans de Gustave Flaubert, les nouvelles de Guy de Maupassant, et les romans d’Emile Zola, qui sera par la suite qualifié de « chef de file du réalisme ». En Russie, Anton Tchekhov se fit l'ambassadeur du réalisme dans ses pièces et dans ses nouvelles. La littérature