Gustave Doré Fable

 LITTÉRATURE DE JEUNESSE Circulation et variation des contes européens : Perrault, Grimm, Afanassiev Dossier Le Petit Chaperon Rouge de Perrault et Grimm. Le Petit Chaperon rouge Illustration de Gustave Doré qui aurait très bien pu s'intituler « La vision avant la dévoration ; entre fascination, tentation, perversion et épouvante » I- Le Commentaire comparé « Le Petit Chaperon Rouge » Chez Perrault, Grimm et dans la tradition orale. « Promenons-nous

l’humanise. - (Illustration de Gustave Doré page 240) : Registre épique (grossissement épique du héros qui vient de l’épopée) Personnification du chat par les habits (bottes, cape chapeau avec les plumes, ceinture) (ressemble à un mousquetaire) l’attitude humaine ; il est debout sur deux pattes. Contraste entre l’ombre et la lumière (le chat est éclairé et non le maître) Décor réaliste et épique : Doré joue sur le fantastique. Le moulin

maintenir les femmes « à leur place », dépendante de l’aide d’un homme fort. La version de Perrault [modifier] « En passant dans un bois elle rencontra compère le Loup ». Illustration de Gustave Doré de 1867. « Il se jeta sur la bonne femme et la dévora en moins de rien ». Illustration de Gustave Doré. La plus ancienne version retranscrite et figée est celle de Charles Perrault, parue dans Les Contes de ma Mère l’Oye en 1697. Cette version sera plus malheureuse et moralisatrice que celles

qu’il a vu et la musique devient plus grave ».   « Le philosophe en méditation », de Rembrandt. « Ce tableau pose la question de la contemplation. Où regarde-t-on quand on contemple ? En haut, devant, à l’intérieur de nous ? »   Une gravure de Gustave Doré représentant le Petit Poucet qui se retourne pour disposer les miettes sur son chemin, alors que ces frères avancent comme un seul homme dans la forêt sans se poser de questions sur leur avenir. Musique A vos MP3 ! Véronique Bonnet a sélectionné

- probablement la France proto-historique d'après une illustration de Gustave Doré pour le Gargantua de Rabelais nature - géant autres noms - Gargan, Gargantois, Gargantuas, Grand-Tuard, Gurgiunt, Jarjan, Jorjon, Brise-Chênes, Tord-Chênes (Marne), Bras-de-Fer (Brière), Bringuenariles (Normandie), Hok-Bras, Kawr ou Grand'Tua (Bretagne), Gargountoun (Charente) ... substituts - Jean de l'Ours, Roland, Charlemagne, Tartaro (Pays Basque), Duguesclin, le Géant - Hercule, Jupiter - le Diable

Gustave Doré I. Sa vie : Gustave Doré est le plus grand illustrateur du XIXe siècle mais a également été graveur, peintre et sculpteur. Il fut reconnu internationalement de son vivant. Il est né à Strasbourg le 6 janvier 1832 et mort le 23 janvier 1883 à Paris . En 1843, il s’installe à Bourg en Bresse avec ses parents. Gustave Doré est un très bon élève mais il se fait encore davantage remarquer par ses caricatures et ses dessins inspirés du monde bressan : à douze ans un imprimeur local

l'école par exemple. En relisant les contes pour leurs enfants, les parents peuvent alors découvrir de nouveau aspect de ceux-ci qu'ils ne pouvait pas remarquer lorsqu'ils étaient plus jeunes. Aussi, nous pouvons nous demander si les sculptures de Gustave Doré, qui illustre bien souvent les contes de Charles Perrault ne serait pas parfois choquante a la vu des enfants.Comme celle qui illustre le petit poucet, lorsque l'on aperçoit l'ogre prêt a couper la gorge de ses filles.

gigantesque de récritures, d’adaptations ou encore de détournements. Ces différentes versions vont pour la plupart conserver la tradition qui consiste à accompagner le texte d’illustrations. C’est le cas des éditions Hetzel en 1862, avec des gravures de Gustave Doré, qui passeront à la postérité et deviendront indissociables, dans les esprits, de l’œuvre de Perrault. Hans Fischer, auteur et illustrateur, proposera également dans les années 1950, sa version du célèbre conte de Perrault. Chaque illustrateur

Dès son enfance, Gustave Doré, doté d'un sens pointu de l'observation, démontre un talent singulier pour le dessin. Sa grande curiosité lui permet de multiplier les croquis éclectiques (scènes intimes ou urbaines, mythologiques ou de l'Antiquité). Son imagination fertile est le résultat de lectures et d'inspirations précoces exceptionnelles pour son âge. Ses premiers albums de dessins connus sont datés de 1842. Influencés par Grandville, les éditions Hetzel, avec Scènes de la vie privée et publique

messin. On y trouve aussi des allusions aux usages, aux coutumes et aux légendes de la ville, notamment celle du Graoully. Epoque : Renaissance Mise en réseau avec d’autres types d’images, d’autres œuvres d’art : - lien avec les illustrations de Gustave Doré (1832-1883), qui illustrera de nombreuses illustrations de chefs-d’œuvre de la littérature - lien avec d’autres contes, d’autres histoires de géants : par exemple : « Le géant de Zéralda » de Tomi Ungerer, « Le bon gros géant » de Roald Dahl, «