Gustave Thibon

XIX°s : Stendhal : « Un roman est un miroir qui se promène sur une grande route. Tantôt il reflète à vos yeux l'azur des cieux, tantôt la fange des bourbiers de la route. Et l'homme qui porte le miroir dans sa hotte sera par vous accusé d'être immoral ! Son miroir montre la fange, et vous accusez le miroir ! Accusez bien plutôt le grand chemin où est le bourbier, et plus encore l'inspecteur des routes qui laisse l'eau croupir et le bourbier se former ». Stendhal : « Un roman est comme un archet

members of the respectable social order. The complexity that lies beneath Maupassant's imagery, his representation of humanity, and his ability to convey vibrant humor separates him from his contemporaries, placing him in a class only matched by Gustave Flaubert. Author Biography Guy de Maupassant, a nineteenth-century naturalist author, is one of France's most distinguished and celebrated writers of short stories. An incredibly productive writer, Maupassant achieved recognition quickly in

univ-rouen.fr/flaubert /01manus/presentations /0_noms. htm L’éducation d’Emma : www.univrouen.fr/flaubert/bovary /bovary_6/accueil-0.html L’Orient rêvé du jeune Gustave VOYAGE EN ORIENT de Gustave Flaubert. Edition de Claudine Gothot-Mersch et de Stéphanie Dord-Crouslé, Gallimard « Folio », 738 p., 10,90 ¤. « Jamais on ne m’illustrera » GUSTAVE FLAUBERT Un monde de livres d’Eric Le Calvez. Ed. Textuel, « Passion », 192 p., 49 ¤. E tre œil, tout bonnement. » Dès son arrivée en Egypte, Flaubert

Le roman est un genre littéraire caractérisé par une narration importante. Ce qui le distingue de la nouvelle est sa longueur. C’est actuellement le genre littéraire dominant. Le but du roman pour le lecteur est de distraire, de permettre l’évasion. Le roman a-t-il pour vocation de définir la place d’un individu dans la société ? Certes le roman défini la place d’un individu dans la société. En effet, il en a la possibilité au niveau de la longueur, comme on peut le voir dans

independant de son createur, et c’est aux lecteur de le comprendre à leur aise. Guy de Maupassant- qui etant son eleve a bien compris les principes de son maitre, a illustre cette envie de Flaubert de « ne pas se sentir « dans son oeuvre dans « Pour Gustave Flaubert » : « On sait ce que devait penser Dickens, ce que devait penser Balzac. Ils apparaissent a tout moment dans leurs livres [...]Flaubert n’ a jamais ecrit les mots je, moi.[...] Il est le montreur de marionettes humaines qui doivent parler

était bijoutier, « air satisfait de propriétaire », p. 33) et les moqueries de sa femme et de ses fils montrent aussi sa bêtise (« ils sont frais ceux-là !) ; on peut retrouver quelques unes de ses répliques dans le Dictionnaire des idées reçues de Gustave FLAUBERT (posth. 1880.) Son intérêt pour la pêche lié à son incompréhension des femmes (« j’aime me trouver avec elles et puis (…) je ne pense plus qu’au poisson ») en font un personnage totalement ignorant des réalités amoureuses (infidélité de sa

conjugales -Les affrontements sociaux entre les différentes classes sociales Ces sujets montrent la vie quotidienne. Grands noms de ce mouvement : -Stendhal, précurseur de la littérature miroir, La Chartreuse de Parme, Le Rouge et le Noir -Gustave Flaubert Madame Bovary -Maupassant Bel-Ami, Une vie -Champfleury œuvre à trouver -Baudelaire Les Fleurs du Mal L’École réaliste est apparue grâce aux théories exploitées dans le livre de Champfleury Le réalisme et grâce également à la revue

définition du réalisme stricto sensu avec Le Rouge et le noir. Honoré de Balzac paradoxalement père du bovarisme avec La Femme de trente ans, du réalisme social avec Splendeurs et misères des courtisanes, et pourtant relativement à part du réalisme. Gustave Flaubert, il a refusé l'étiquette de réaliste. Il a même renié le titre de chef de file du réalisme. Guy de Maupassant (Bel-Ami, Une Vie, Pierre et Jean) qui est à la limite du naturalisme. Champfleury (Le Réalisme en 13 points). Émile Zola, et

n'aura de cesse de clamer son admiration pour l'écrivain américain et deviendra son traducteur attitré. La connaissance des œuvres de Poe et de Joseph de Maistre atténue définitivement sa "fièvre révolutionnaire"8. Plus tard, il partage la haine de Gustave Flaubert et de Victor Hugo pour Napoléon III, mais sans s'engager outre mesure dans son œuvre (« L'Émeute, tempêtant vainement à ma vitre / Ne fera pas lever mon front de mon pupitre » - Paysage dansTableaux parisiens du recueil Les Fleurs du mal)9

l'Homme. Parmi les artistes et leurs tableaux, on distingue : Emile Troncy pour son "Cœur simple" (XIXème siècle) peint pour le livre de Gustave Flaubert, Gustave Caillebotte : "Jeune homme à la fenêtre" (1875) Gustave Courbet : "Un enterrement à Ornans" (1849-1850) qui a inspiré à Pascal Mérigeau le début de sa nouvelle Quand Angèle fut seule. Gustave Courbet : Etre à même de traduire les mœurs, les idées, l’aspect de mon époque, selon mon appréciation […] en un mot, faire de l’art vivant