Gynécologue

l’un des premiers examens à faire il est simple, non-invasif. Des l’ovulation, le col de l’utérus sécrète une substance transparente, la glaire cervicale, qui permet aux spermatozoïdes de remonter dans l’utérus. On prélève de la glaire chez un gynécologue 6h à 12h après un rapport sexuel. Ce test est fait pour vérifier la qualité de la glaire cervicale de la femme ainsi que de la pénétration des spermatozoïdes dans cette dernière. Examens effectués pour la femme : • Prise de sang : Prescrit par

l’un des premiers examens à faire il est simple, non-invasif. Des l’ovulation, le col de l’utérus sécrète une substance transparente, la glaire cervicale, qui permet aux spermatozoïdes de remonter dans l’utérus. On prélève de la glaire chez un gynécologue 6h à 12h après un rapport sexuel. Ce test est fait pour vérifier la qualité de la glaire cervicale de la femme ainsi que de la pénétration des spermatozoïdes dans cette dernière. Examens effectués pour la femme : • Prise de sang : Prescrit par

l’un des premiers examens à faire il est simple, non-invasif. Des l’ovulation, le col de l’utérus sécrète une substance transparente, la glaire cervicale, qui permet aux spermatozoïdes de remonter dans l’utérus. On prélève de la glaire chez un gynécologue 6h à 12h après un rapport sexuel. Ce test est fait pour vérifier la qualité de la glaire cervicale de la femme ainsi que de la pénétration des spermatozoïdes dans cette dernière. Examens effectués pour la femme : • Prise de sang : Prescrit par

règles est : 07/06/2012). Selon l’OMS le diabète gestationnel est un trouble de la tolérance glucidique conduisant à une hyperglycémie de sévérité variable, diagnostiqué pour la première fois pendant la grossesse. Madame est adressée par son gynécologue, son HbA1c a été mesuré à 10,9% le 09/10/2012. (Objectif de l’HbA1c pour cette patiente : Inferieur à 7%). Ensuite elle a subit une hyperglycémie provoquée par voie orale la 20/10/2012. Actuellement, elle est accueillie à l’hôpital de jour pour

quand un couple ne parvient pas à avoir d’enfant, c’est toujours la femme qui, en premier, vient consulter un médecin. C’est donc à travers sa démarche que l’on peut atteindre l’homme pour savoir lequel des deux est stérile », explique M. Bennis, gynécologue spécialiste du traitement de la stérilité à Casablanca. Pourtant, « l’infertilité est répartie quasi-équitablement entre les hommes et les femmes », atteste le docteur Bennis. Enfin, l’infertilité d’un couple, est parmi les premières causes de

plateau qui héberge les salles d’examen de la plupart des spécialités dispensées au sein de l’établissement : stomatologie, ORL, cardiologie, échographie… Les ostéopathes entendent collaborer étroitement avec les médecins, comme les obstétriciens et gynécologues de la maternité. « Par exemple, nous pouvons soulager les femmes enceintes », illustre David Bourgoin.

devenir mère célibataire, la peur de dépendre de la famille (grands-parents).( peur de la responsabilité, peur d’être abandonnée par leur partenaire, de perdre leur emploi ; peur de devoir interrompre leur formation. ) Le Dr. Werner Förster, gynécologue à Einsielden, ne pratiquant pas d’avortement, dit à ce sujet : « Aujourd’hui, les gens raisonnent non plus en pensant à l’enfant, mais se cantonnent à l’aspect utilitariste. La cause d’avortement la plus fréquente est le partenaire qui ne convient

permettent de bien connaître vos seins, de détecter toute anomalie et de la signaler à vote médecin.L'auto-examen constitue un atout de plus pour votre santé mais ne se substitue en aucun cas à votre visite régulière (au moins annuelle) chez votre gynécologue ou médecin. Le dépistage « organisé » : ( Plan Cancer 2004 mis en place par l’État ) Femmes de 50 à 74 ans Mammographie tout les 2 ans prises en charge à 100 % / la sécurité sociale Différentes techniques de dépistages : * Mammographie :

marocain punit les relations sexuels hors mariage et interdit l’avortement, qui est passible de 2 ans de prison, pourtant près de 800 avortements clandestins seraient réalisés quotidiennement au Maroc estime le professeur CHRAIBI un obstétricien gynécologue qui a été le premier à briser le tabou de l’avortement terrifié par ce qu’il découvrait. Infections, hémorragies importantes, rupture de la poche des os ou même des tas d’empoisonnement sont dues à la non légalisation de l’avortement. Il est

financer, quelque soit leur choix, toutes les démarches nécessaires (échographie, IVG…) et à les soutenir dans leur importante décision. • Si la mère choisi de garder l’enfant, les professionnels de santé (sage-femme, médecin, psychologue, gynécologue…) expliquent précisément toutes les futures obligations que cela implique. En attendant qu’une situation stable s’instaure, la mère peut confier la charge de son enfant au service enfance et famille de son département pour une durée de 6 mois renouvelables