Génie Folie

route" ; "Et tout ira bien", l'envie de partir à l'aventure et découvrir le monde : "Faudrait voir, faut qu'on y goûte ", et peut-être aussi les aventures 'amoureuses' avec la phrase "Des méandres au creux des reins" Dans le 2ème couplet, après la folie de l'aventure et les plaisirs et déconvenues qui peuvent en découler, le temps de l'espoir : "Ton message à la grande ourse... ", qui n'a jamais levé les yeux au ciel, en regardant les étoiles, en se perdant dans ses songes et en espérant que tout

repli sur soi. On retrouve dans cette catégorie la peur des esprits ou des manifestations paranormales. Extrait du « Horla », MAUPASSANT : * La peur Contrairement à l’angoisse, la peur à un objet déterminé Extrait : * L’angoisse de la folie C’est la crainte de ne plus pouvoir se contrôler soi-même, d’être prisonnier de son mal, de sa démence et de voir son état mental se détériorer en restant impuissant. Extrait de « Lui ? », MAUPASSANT : « […] J’ai peur surtout du trouble horrible

Dans la scène 2 de l’acte V, Médée se réjouit du succès à venir de sa vengeance mais elle ne s’en satisfait pas et c’est à ce moment que lui vient l’idée de sacrifier ses enfants. DANS QUELLE MESURE CE MONOLOGUE REVELE T’IL LE DECHIREMENT ET LA FOLIE DE MEDEE ? Dans un premier temps nous verrons comment ce monologue est un monologue délibératif et dans une deuxième partie nous aborderons la question du personnage ambiguë et déchiré. I) Un monologue délibératif a) Une tentative d’introspection

a l’impression, même sur un arbre haut perché avec la vision panoramique du lecteur, que rien ne peut extraire Ahouna de sa triste condition. On espère secrètement en lisant les pages de ce roman ne pas être confronté un jour à l’absurdité, à la folie de l’expérience du personnage central. En toile de fond, Olympe Bhêly-Quenum dépeint avec une maîtrise de la langue française la société coloniale, le monde rural, le bagne. Un coup de coeur dont le souvenir ne risque pas de s’estomper.

I - Les marques de la folie A) La situation d'énonciation On ne sait pas à qui elle s'adresse vraiment, multitude de destinataires. Elle parle à plusieurs personnes en employant souvent la deuxième personne du singulier. La lettre perd son fil directeur, il y a une multiplicité de destinataires mais rien est jamais claire : elle parle à Valmont, son mari, elle même.. On remarque une perte d’esprit critique de Tourvel, elle lance les paroles sans aucunes retenue chose qui ne lui ressemble pas, elle

parfaitement par rapport à la grande sobriété des décors. Le public a pu ainsi davantage s’imprégner des paroles des personnages. Dans le dénouement, Robin Palot l’acteur qui incarne Caligula, surjoue particulièrement son rôle. Cela accentue encore plus la folie de ce personnage qui effectue un monologue devant un immense miroir, l’objet maitre du dénouement. Effectivement dans cette dernière scène, tout ce passe autour de ce miroir qui est le seul objet présent sur scène avec un fauteuil en bois et un rideau

maladies, il a un pied estropié qui le fait boiter. Au fil de la lecture du roman nous pouvons observer que les valeurs de Grenouille sont l’égocentricité car il ne pense qu’à lui et à atteindre son but même si cela coute plusieurs vies humaines, la folie car les actions qu’il fait n’ont rien de normales et son dénués de raison, et la perfection car le meurtrier la recherche tout au long de l’histoire et tout ce qu’il fait doit l’être comme quand il capture les parfums. Lors de son existence, le personnage

est un vieux savant désespéré qui vend son âme au diable en échange de la jeunesse éternelle qui lui permettra de poursuivre ses recherches. Hamlet est le type de l'homme irrésolu, dont l'attitude incompréhensible sème le trouble, la mort et la folie autour de lui. Le monstre créé par le docteur Frankenstein, rappelle une vieille légende juive, celle du Golem : un vieux kabbaliste avait créé, avec de la terre et des formules magiques un être. Il avait gravé sur son front le mot « Emeth » (connaissance) ;

stratégique (« ruser avec la méchanceté désintéressée, […] la pousser dans son sens, attendre que cette logique soit devenue démence. »). Il apprend aux patriciens à lui faire confiance et faire preuve de patience dans la progression, l'évolution de la folie de Caligula. - Enfin, Cherea a le courage de s'opposer à l'empereur. Au début de la scène IV de l'Acte II, il dissimule le secret du complot lors de l'interrogatoire de Caesonia (« Nous ne nous battions pas »). Il ne se laisse donc pas impressionner

témoignent douloureusement et spectaculairement. Dans Le Horla précisément, qui est le journal d'un homme obsédé par son double maléfique, la névrose de Maupassant devient la matière même d'un récit brûlant qui s'enfonce progressivement dans la folie. Incapable d'exorciser ce dédoublement, de tuer "l'autre" qui l'habite, "le horla", le narrateur se résigne à son propre suicide : "Il n'est pas mort... Alors... alors... il va donc falloir que je me tue, moi !..." Résumé Sous la forme d'un journal