Habib Thiam

signe de la non-violence. De nombreux partis, futurs cadres politiques de l’action nationaliste, se créent également : dans les Indes néerlandaises, le Parti nationaliste indonésien (PNI), fondé par Sukarno en 1927 ; en Tunisie, le Néo-Destour, par Habib Bourguiba en 1934 ; en Algérie, l’Étoile nord-africaine (1926), puis le parti du Peuple algérien (1936), par Messali Hadj. Dans le même temps, l’essor du communisme dans les colonies entraîne la fondation de nombreux partis communistes, tel celui du

le 20 mars 1956, le pays prend l’appellation officielle de Royaume de Tunisie à la fin du règne de Lamine Bey qui, cependant, ne porta jamais le titre de roi. Avec la proclamation de la république, le 25 juillet 1957, c’est le leader nationaliste Habib Bourguiba qui devient le premier président de la République tunisienne et modernise le pays. Toutefois, au terme de trente ans à la tête du pays dont la fin est marquée par le clientélisme et la montée de l’islamisme, le Premier ministre Zine el-Abidine

des services, des infrastructures. * En 1920, plusieurs groupes nationalistes s’unissent pour former la Constitution, qui prône de profondes réformes démocratiques. * En 1934, une scission provoque la création du Néo-Destour, dirigé par Habib Bourguiba. Ce mouvement regroupe les nationalistes favorables à une ouverture sur l’Occident. Les deux mouvements sont interdits en 1938, après des émeutes à Tunis. Bourguiba est alors incarcéré durant cinq ans. * Durant la Seconde Guerre mondiale

Nord et la première banque privée en Tunisie. HISTORIQUE • Mars 1979, la BIAT s’est dotée d’un siège social construit aux lieux et place de l’ancienne agence de la BBME et du local mitoyen du magasin “Maison modèle”, tous deux situés à l’avenue Habib Bourguiba à Tunis. C’était suffisant pour abriter à partir de cette date les services centraux et la Direction Générale. • En 24 février 2005 La BIAT a fêté ses trente années d’existence. Le réseau d’agences, en évolution régulière depuis la création

L2 SEG TAILLEUR kathleen La Révolution Tunisienne SOMMAIRE Introduction I.La situation prérévolutionnaire 1.L’avant Ben ALI 2. Ben ALI A. Bilan positif B. Bilan négatif, les Causes de la révolution II.Le mouvement révolutionnaire 1. Bouazizi 2 . La révolution A. La propagation de la révolution B. Le rôle de l’armée

Canal de Suez de Nacer qui soutenait également le FLN La France après avoir feint juste après la 2ème GM une volonté d’ouverture et de libéralisation a conduit une politique de répression dans les protectorats avec l’arrestation de l’indépendantiste Habib Bourguiba en Tunisie en 1952 et en 1953 la déposition du Sultan Mohamed VI symbole de l’indépendance du Maroc. L’ONU invite la France à évoluer vers plus d’autonomie. En 1954 Pierre Mendès France annonce l’autonomie interne de la Tunisie dans son

novembre 1987 au 14 janvier 2011. Après divers postes au sein de l'armée et de la sûreté nationale, il devient ministre de l'Intérieur dans le gouvernement de Rachid Sfar puis remplace ce dernier comme Premier ministre. Il finit par déposer le président Habib Bourguiba « pour raisons médicales » et lui succède en sa qualité de dauphin constitutionnel. Son accession au pouvoir intervient à une époque où le pays est en proie aux luttes de succession, dont il fait partie, aux tensions politiques et économiques

Politique : les grandes lignes 1.1 Bref aperçu historique Phase I (1956 - 1960) - Décolonisation menée par l’État dans un cadre économique libéral Après avoir atteint l’indépendance (en 1956), la priorité immédiate établi par le président tunisien Habib Bourguiba, était de décoloniser l’économie du contrôle français qui avait favorisé l’agriculture et l’extraction minérale mais avait, en grande partie, négligé l’industrie. Ces années ont de ce fait été caractérisées par un processus de Tunisification

(PSD) et élu secrétaire general adjoint. En septembre, il est promu premier ministre tout en conservant son statut de ministre de l’interieur puis devient secrétaire general du PSD . 1987 : Ben ali prend pacifiquement la place de son prédécéseur, Habib Bourguiba, le 7 novembre. Il annonce une ere nouvelle pour le pays et appelle les tunisien a œuvrer a une l’edification d’une soiété juste, equilibrée, olidaire démocrarique et resolument tournée vers le progres et la modernité : Revolutin « tranquille

merveilleux, la langue française", aimait à répéter le poète Léopold Sédar Senghor, ancien président du Sénégal. Une formule qui reflète la philosophie des pères fondateurs de la Francophonie institutionnelle, Senghor et ses homologues tunisien, Habib Bourguiba et nigérien, Hamani Diori, ainsi que le Prince Norodom Sihanouk du Cambodge et qui consiste à mettre à profit le français au service de la solidarité, du développement et du rapprochement des peuples par le dialogue permanent des civilisations