Haemophilus influenzae

semble donc normal que les chimpanzés et l’Homme possèdent en commun une part importante de leur information génétique. 2 Doc. 1 et 4 (Argumenter en s’appuyant sur un arbre de parenté). • La drosophile est un insecte (arthropode) et Haemophilus influenzae est une bactérie. •La drosophile est plus proche de l’Homme (mammifère) que la bactérie et elle partage avec l’Homme une part bien plus importante de son ADN (36 % contre 7 %). 3 Doc. 1, 3 et 4 (Argumenter en s’appuyant sur un arbre

humaine: il semble donc normal que les chimpanzés et l’Homme possèdent en commun une part importante de leur information génétique. 3 Doc. 1 et 4 (Argumenter en s’appuyant sur un arbre de parenté). • La drosophile est un insecte (arthropode) et Haemophilus influenzae est une bactérie. •La drosophile est plus proche de l’Homme (mammifère) que la bactérie et elle partage avec l’Homme une part bien plus importante de son ADN (36 % contre 7 %). 4 Doc. 1, 3 et 4 (Argumenter en s’appuyant sur un arbre de parenté)

note signalant la possibilité d’association : « Utiliser, au besoin, un code supplémentaire (B95–B98) pour identifier l’agent infectieux ». Exemples : – endocardite subaigüe à streptocoques D : I33.0, B95.2 ; – sinusite maxillaire chronique à Hæmophilus influenzæ : J32.0, B96.3 ; 18 L’importance de leur enregistrement tient entre autres au fait que la réduction de la iatrogénie fait partie des objectifs nationaux de santé publique (loi n° 2004-806 du 9 aout 2004, objectifs n° 26 à 29). Retour sommaire

- 65 ans Rappels : DT Coq, Polio tous les 10 ans À partir de 65 ans Grippe Rappels : DT Polio DT Coq : Vaccin contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche. Polio : Vaccin contre la poliomyélite. Hib : Vaccin contre les infections à Haemophilus influenza B (méningite…). Pn : Vaccin contre les infections à pneumocoques. HPV : Vaccin contre le Papillomavirus humain à l’origine du cancer du col de l’utérus. DOC 3 Le calendrier des vaccinations, en France. PARTIE 3 • RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION

Rhizobium meliloti (RHIME), Bacillus halodurans, Listeria monocytogenes, Escherichia coli (ECOLI), Lactobacillus casei (LCASEI) et Streptococcus pneumoniae (SPNEUM), et les séquences des glucosamine-6-phosphate déaminases d’Escherichia coli, Haemophilus influenzae (HAEIN), Borrelia burgdorferi (BORBU), Caenorhabditis elegans (CAEEL), Homo sapiens (HUMAN), Candida albicans (CANAL) et Bacillus subtilis. p. 173 Figure 59 : Modélisation du site actif de la glucosamine déaminase d’Escherichia coli (en bleu

coli, Yersinia enterocolitica, Klebsiella pneumoniae, Klebsiella oxytoca, Streptococcus agalactiae, Streptococcus mutans, Staphylococcus aureus, Salmonella spp., Shigella sonnei, Listeria monocytogenes, Acinetobacter spp., Neisseria spp., Haemophilus influenzae, Campylobacter jejuni, Aeromonas hydrophila, Pseudomonas aeruginosa, Capnocytophaga ochracea, Selenomonas sputigena, Wolinella recta, Enterobacter cloaca, des virus, tels que Herpès simplex, virus d’immuno-déficience, virus respiratoire syncytial

contre-indiqués en cas de déficit immunitaire très sévère (CD4 < 10 %) ; en revanche, ils peuvent et doivent être pratiqués après amélioration de l’état immunitaire sous traitement ARV. Les vaccinations contre les infections à pneumocoque et à Haemophilus influenzae sont fortement recommandées. En cas d’infection à VIH confirmée ou fortement suspectée, il est déconseillé d’administrer le BCG ; néanmoins, dans les pays où le BCG est pratiqué systématiquement après la naissance, y compris chez les enfants