Hallucinogène

exemple : LSD. Ces molécules prennent la place des neurotransmetteurs au niveau du cerveau et active de façon plus importante le cortex visuel. Ceci se traduit par une vision altérée et des hallucinations. On qualifie ces drogues des substances hallucinogènes. A long terme, l’usage de ces drogues peut avoir des effets psychotiques et provoquer des perturbations graves. La photographie ci-contre est un IRMF représentant les zones du cortex visuel activées lors de la vision d’un mouvement. L’imagerie

étaient toujours utilisées pour leurs effets mais cette fois pour leurs côtés « magiques ». L’usage de plantes à effets hallucinogènes par exemple, plongeait les hommes en transe et cette pratique s’apparentait à une sorte de magie. La vertu des plantes est alors convertie en pouvoirs magiques. La médecine indienne comprenait entre autres, l’usage de certaines plantes hallucinogènes ou à effets soporifiques et antalgiques mais qui étaient utilisées selon des pratiques « magiques » et spirituelles.

Ces produits favorisent temporairement un état d'éveil et d'excitation et masquent la fatigue. Ils induisent un sentiment trompeur d'assurance et de contrôle de soi. L'effet est généralement suivi d'un état d'épuisement et de dépression. Les hallucinogènes ou perturbateurs: Cannabis et produits dérivés, produits volatils (colles et solvants, anesthésiques volatils), Kétamine, L.S.D, champignon halucinogène etc... Ces produits provoquent une perturbation de la perception de l'environnement et de

permettent en théorie de régulariser, de normaliser l’humeur. Les psychodysleptiques sont des médicaments qui possèdent la propriété d’entraîner des troubles mentaux comme une déviation du jugement etc. C’est le cas par exemple du haschisch et des hallucinogènes psychédéliques et onirogènes en général. Le psychotrope le plus connu du grand public semble-t-il est l'alcool. Mais nous allons nous intéresser plus précisément à un autre type de psychotrope : LA CIGARETTE 2. EN QUOI NOTRE CHOIX CORRESPOND

Le psychédélisme (du grec ψυχη = psyche, âme et δηλειν = dẽlein, visible, clair, signifiant « révélateur de l'âme ») est un mouvement de contre-culture apparu dans le milieu des années 1960, valorisant les perceptions sensorielles des drogues hallucinogènes. 3. Le stimulateur cardiaque, ou pacemaker, ou pile est un dispositif implanté dans l'organisme délivrant des impulsions électriques au coeur et permettant par exemple d'accélérer ce dernier lorsqu'il est trop lent. 4. nom d'un collectif de graphisme

l’angoisse et l’anxiété, flash (forte détente psy et phy) : Médicaments tranquillisants, notamment les benzodiazépines Somnifères comme les barbituriques Antalgiques Alcool en grande quantité Opiacés comme la morphine ou l’héroïne -Effet hallucinogène : euphorie, détente, délires, excitations, modif. des sensations visuelles, olfactives, auditives : Cannabis (marijuana) LSD (abréviation de acide lysergique diéthylamide) Cactus Peyote, qui contient de la mescaline Champignons magiques

drogue. II L’Afrique a) Présentation L’Afrique est un lieu de production pour : les drogues naturelles (Khat, cannabis). Le Khat est une plante d’origine Yéménite qui pousse en Ethiopie et en Somalie. C’est un coupe-faim et a des vertus hallucinogènes. Il est grandement consommé par les adolescents africains. En parallèle, il y a les drogues de synthèse (LSD, Ecstasy...) au Nigéria (1er producteur de pétrole d’Afrique Subsaharienne) et en Afrique du Sud (1ère puissance économique du continent)

n'étaient pas toujours aussi bien informés qu'aujourd'hui. La consommation de drogue va petit à petit inquiéter les hippies. Ce phénomène est accompagné par la multiplication d'accidents graves causés par des personnes sous l'emprise de puissants hallucinogènes. Charles Manson (Artiste musicien des années 1960), sous l'emprise d'une drogue très puissante, assassina la femme du célèbre cinéaste Roman Polanski en août 1969. Pour une communauté se revendique pacifiste et en paix avec soi-même, le message

amphibiens, mais violents6. On la retrouve dans l'urine ou le sang des patients pour toutes les grandes maladies psychiatriques, au point de la proposer comme indicateur de diagnostic7.La toxine est identique à celle qu'on trouve parmi les bufotoxines (hallucinogènes et provoquant des symptômes évoquant une psychose de type schizophrénie) du venin des nombreuses espèces de crapauds. Mais on ignore encore si le même processus est en jeu dans les deux cas8 et à déterminer si cette molécule est à l'origine des

dépresseurs, qui ont pour effet de ralentir l’activité générale du cerveau. Les stimulants, qui contrairement au dépresseurs vont augmenter le niveau d’éveil, d’attention et d’euphorie tout en réprimant la sensation de fatigue. Les perturbateurs ou hallucinogènes qui altèrent la perception de la réalité et du temps. Ils ont à la fois un rôle stimulant et un rôle dépresseurs. Toutes les drogues reprises dans le tableau ont comme point commun d’agir sur l’activité neuronal du système nerveux centrale entraînent