Hamlet Et Lorenzaccio

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David Bobee qui veut représenter cette fournaise et réaliser ainsi cette volonté du dramaturge de voir s’affronter, dans le clos d’une société de superbe architecture et d’idéologie sclérosée, le fanatisme de la mort et la liberté du désir. Après Hamlet, recommence alors pour le traducteur Pascal Collin, rejoint par Antoine Collin, le même défi : faire resurgir l’actualité, non pas de Roméo et Juliette au XVIe siècle à Vérone, mais de la brûlante contradiction entre leur existence et l’ordre du

pas d’autre but qu’elle même et ne peut en avoir d’autre. » La lecture des Fleurs du Mal vous paraît-elle justifier ce jugement ? * En 1898, après les premières représentations de Lorenzaccio, Jules Lemaître écrivait : « Le personnage de Lorenzaccio est aussi riche de signification qu’un Faust ou qu’un Hamlet ; comme eux, il figure dans une fable particulière, l’homme, l’éternel inquiet et l’éternel déçu, sous un de ses plus larges aspects. Et ce personnage est une créature vivante, il est de

part intemporelle de l’Homme que Musset s’est employé à décrire dans un large empan de son œuvre que critique Baudelaire quand il voue notre poète aux gémonies. Son tableau du mal du siècle dans La Confession, sa peinture des vanités humaines dans Lorenzaccio et dans nombre de poèmes relèvent bien de cet « élément invariable » constitutif du Beau. Quand Baudelaire critique le « dandynisme » mussétien, c’est bien plus à l’aspect circonstanciel de certaines poésies de Musset qu’il s’attaque. En effet,

littérature. Femme féministe, libre, qui fait d’elle encore à l’heure actuelle une figure controversé. Sa littérature montre le pouvoir, la puissance, l’aura de la femme. Très engagée politiquement. Musset : Son œuvre la plus intéressante est Lorenzaccio. Musset est également un grand poète, très connu pour ses poésies. Il montre l’autodestruction, notamment en laissant paraître sa liaison tumultueuse avec George Sand. Lamartine : Premier grand poète romantique, qui plus tard se verra détrôné

contemporaine de Montherlant ; on comprend mieux dès lors qu'un tel jugement, comme d'ailleurs celui de Molière, tienne plus du rapport qu'entretient l'auteur avec son époque que d'un jugement absolu et transgressif. Shakespeare ne comparait-il pas dans Hamlet le théâtre à un miroir de la nature ? Si tel est le cas c'est alors aussi le prisme d'une époque donnée qui se regarde elle-même. Pourtant, et puisque le sujet nous impose de dépasser les subjectivités historiques, n'y a-t-il pas dans la phrase de

mais avec un cadre. » 80. SERRAULT Michel, Extrait du journal Le Figaro Magazine - 31 mars 2001 :« Si l'acteur  ne  bouscule pas la réalité pour aller plus loin dans les émotions ou dans le rire, ce n'est plus un artiste. » 81. SHAKESPEARE William, Hamlet : « Où la joie a le plus de rires, la douleur a le plus de larmes.» 82. SHELLEY Percy Bysshe, Rabbe « Un peu de poésie» : « Notre rire le plus  sincère  De  souffrance  est toujours chargé ; Nos chants les plus exquis Sont les plus désolés. » 83

endroit normal . Critique des unités. La disposition du principe de l’action sur scène : problème de l’action sur scène qui disparait, action qui disparait pour la narration. Le lieu réel est essentiel. Unité de temps absurde. La temporalité longue dans Hamlet joue beaucoup. Hugo réaffirme l’unité d’action, la seule vraie. -La Théorie du drame Le drame doit illustrer l'idée chrétienne de l'homme composé de deux être, l'un périssable, charnel, l'autre immortel, éthéré. -Le mélange des genres Séparer

écrivit de nombreux drames, comme Hernani(1830) ou Ruy Blas (1838), dans lesquels il respecta plus ou moins les théories énoncées dans sa préface. Aussi n’est-il pas le seul auteur français à prendre goût à ce courant puisque Alfred De Musset écrit Lorenzaccio(1834) dans lequel aucune règle n’enchainera son génie. En effet, aucune convention scénique ne l’entrave et il laisse libre cours à son inspiration dans cette pièce où le mélange des tons apparaît clairement et dans laquelle, il offre, tel un grand

de la terreur Page 26 Qu’est ce que le terrorisme par Jürgen Habermas Page 28 Qu’est ce que le terrorisme par Jacques Derrida Page 30 Extraits de l’œuvre de Camus Page 35 Discours de Suède Page 38 Ateliers pour la classe - Les Justes – Lorenzaccio Page 40 Lecture analytique de l’extrait Page 41 Contacts et tournée 3 LES JUSTES d’Albert Camus Mise en scène Guy Pierre Couleau Dramaturgie Guillaume Clayssen Scénographie Raymond Sarti Costumes Laurianne Scimemi Création sonore