Hans Jonas Le Principe Responsabilité Chapitre 1

développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre à leurs propres besoins. Sommaire 1 Définition 2 Historique 2.1 Histoire du mot 2.2 Chronologie 3 Enjeux et objectifs du développement durable 3.1 Crise écologique et sociale 3.2 Responsabilité à l'égard des générations futures 3.3 Une nouvelle démarche : « agir local, penser global » 3.4 Trois piliers : écologique, social

rapports que la technique nous permet de tisser avec la nature sont possibles car en réalité la technique est l’expression du pouvoir qu’ont les hommes de ………. et de s’abstraire du réel immédiat et brut. C’est cette aptitude qu’Aristote nomme dans Le chapitre 2 du livre I des ………., , le ………. . Notre rapport au monde est un rapport d’ordre ………….. c’est-à-dire un rapport qui spiritualise la matière, lui donne un sens et une fonction qu’elle n’a pas immédiatement ou spontanément. Cette aptitude à la …………

Joël Ernult, Arvind Ashta / Cahiers du CEREN 21(2007) pages 4-31 Cahiers du CEREN 21 (2007) www.escdijon.com Développement durable, responsabilité sociétale de l'entreprise, théorie des parties prenantes : Évolution et perspectives J. Ernult1 et A. Ashta2 1 Département Gestion – Droit - Finances - Groupe ESC Dijon Bourgogne, BP 50608 – 21006 Dijon cedex – France – jernult@escdijon.eu Département Gestion – Droit - Finances - Groupe ESC Dijon Bourgogne, BP 50608 – 21006 Dijon cedex – France

reconsidérée à l'échelle mondiale afin de prendre en compte les aspects environnementaux généraux d'une planète globalisée. Selon la définition proposée en 1987 par la Commission mondiale sur l’environnement et le développement dans le rapport Brundtland[1], le développement durable est : « un développement qui répond aux besoins des générations du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs. Deux concepts sont inhérents à cette notion : le concept de « besoins »

fr « L’ontologie comme fondement de l’éthique fut le principe originel de la philosophie. Leur divorce, qui est le divorce des domaines « objectif » et « subjectif », est la destinée moderne. Leur réunion ne peut être effectuée, si elle le peut jamais, qu’à partir de la fin « objective », c’est-à-dire à travers une révision de l’idée de nature. Et c’est la nature en devenir plutôt qu’immuable qui pourrait tenir une telle promesse ». Hans Jonas, Le phénomène de la vie, Vers une biologie philosophique

technique n’est pas (ou n’est plus) une habileté, un tour de main, ni un tâtonnement heureux qui aboutit à des inventions indépendamment des progrès scientifiques : pour être transmissible il lui faut être fondé sur des savoirs, des règles, des principes et non sur un talent (qualité individuelle difficilement transmissible). La technique et la science ont un rapport étroit, elles se nourrissent l’une l’autre, en particulier à partir de la révolution scientifique du 17ème siècle. Il faut donc distinguer

technique n’est pas (ou n’est plus) une habileté, un tour de main, ni un tâtonnement heureux qui aboutit à des inventions indépendamment des progrès scientifiques : pour être transmissible il lui faut être fondé sur des savoirs, des règles, des principes et non sur un talent (qualité individuelle difficilement transmissible). La technique et la science ont un rapport étroit, elles se nourrissent l’une l’autre, en particulier à partir de la révolution scientifique du 17ème siècle. Les procédés techniques

durable par rapport aux limites naturelles et aux exigences d’équité ? Si la croissance de la société industrielle ne peut être prolongée durablement, il semble que, pour être soutenable, son développement doive être fondé sur de nouvelles valeurs. 1. La croissance de la société industrielle ne peut être prolongée durablement 1.1. La société de croissance - « la notion classique de progrès suppose une ascension qui rapproche indéfiniment d’un terme idéal » (Sartre). Le progrès issu des Lumières

Schnyder Jonas Théories des relations internationales Note de cours Unil – SSP 2011 Théories des relations internationales (Jean - Christophe Graz) Objectifs généraux: Acquisition des connaissances de base du champ disciplinaire des relations internationales ; compréhension et différenciation des principaux cadres conceptuels et thématiques des relations internationales ; développement des capacités d'analyse critique et de synthèse sur les grands enjeux de la scène internationale contemporaine

de conceptualiser un besoin d’éthique 7 I - Généalogie d’un besoin d’éthique 16 1) De l’utilité régulée - Généalogie philosophique 17 2) Ainsi parlait Karamazov - Généalogie théologique 21 3) L’éthique médicale et l’esprit du prométhéisme - Généalogie épistémologique 28 4) Un mal sans frontières ni limites - Généalogie morale 38 Conclusion - L’homme sans éthique 43 II - Ecce Ethica 48 1) Un contrat social - Une consistance philosophique 50 2) Une « religion dans les limites