Harmonie des sphères

renforce l'idée de ténèbres ; " nuit " vers 4).        - Une idée d'enfermement : ces trois quatrains sont renfermés sur eux-mêmes : anaphore avec " quand ". Le " couvercle " et le " cercle " (rime riche) enferme le lecteur. On est dans une sorte de sphère, de laquelle rien ne peut s'échapper (" couvercle ", " cachot ", " murs ", "plafonds ", " barreaux ", " prison ", " filets ", tous ces mots désignent notre Terre). Même l'horizon n'ouvre à rien. On est dans une sorte de huis-clos avec soi-même.    

les amoureux du voyage. Il vous qui permettra de s’échapper le temps d’une journée dans un monde féérique. En arrivant au parc, le premier sens que vous solliciterez sera votre ouïe : musique, rire, enfants et adultes se divertissant s’élèvent en harmonie au dessus du parc et vous transportent instantanément dans une ambiance de fête. Une fois la première barrière passée, vous arriverez sur une immense esplanade. Vous ressentirez instantanément une sensation de grandeur et de surprise. Une musique

sont allumées, dans cet ordre, par le Maître des Cérémonies. Elles représentent respectivement le Vénérable, le Premier et Second Surveillant : la Sagesse préside les travaux qui sont exécutés avec Force et Beauté, c’est-à-dire avec une parfaite harmonie participative des frères de la loge. La beauté est en bas comme en haut, c’est-à-dire qu’elle est aussi bien matérielle et physique qu’intellectuelle et morale. Kant, dans La critique du jugement, a écrit « le beau est le symbole du bien moral »

dogmatique du bonheur ( qui impose des normes et des modes de réalisation du bonheur qui sont standard, totalisante et uniformisante de sorte que le bonheur n'est plus une affaire privée mais d'état… ). cela implique que l'état interfère dans des sphère privée. -2 ème danger : ce qui ne rentre pas dans la norme dans cette conception standardisé sont éjecter du cercle social. néanmoins si le bonheur roi rester une affaire privé l'état doit assurer les conditions du bonheur ( matériel: sécurité alimentaire

personnalité collective (chacun est ce que le groupe est). On va donc vérifier si on est vraiment ce qu'on paraît être (// es tu vraiment un nazi ou un juif ?). Le mal de cette société : le narcissisme. Il y a une abolition de ce qui appartient à la sphère du moi. Si le narcissisme disparaissait, il y aurait une dépression. Il y a donc une difficulté d’exister différemment qu’avec le narcissisme. Il est évidemment question aussi du politique. Il analyse des discours de leader politique au XIXe. Exemple

éprouve dans la réalité dans se cadre l'ataraxie est un bonheur s'inscrivant sur la durée, avec pour le sage la certitude de la retrouvé si un trouble survient. Ainsi Epicure fait du bonheur une question privée qui laisse de coté la politique, et la sphère public. D’où le mot d'ordre «  Pour vivre heureux, vivons caché ». C'est pourquoi aussi Epicure réunissait ses disciples pour philosopher et être heureux ensemble en un lieu appeler le jardin. Le bonheur comme vertu. Approche générale.

que nous portons en nous – où s’expriment des consonances et s’exaspèrent des dissonances. La citoyenneté qualifie une communauté de vie et de conscience, des valeurs qui s’articulent sans se neutraliser, une « sympathie » en somme qui déborde la sphère des affects privés pour s’articuler à la réalité complexe et opaque de l’entrelacs social. En quoi chercher à comprendre ce qu’est « être citoyen », c’est tenter de comprendre la citoyenneté en excluant les deux figures partielles du subjectif et

protecteurs. Dans le shintoïsme, la nature tout entière est une manifestation du divin. Le positif découle de la pureté et de l’harmonie, le négatif coïncide avec l’impureté. Le croyant se doit donc de rechercher la pureté intérieure pour vivre en harmonie avec la nature et préserver l’ordre naturel. Il doit vénérer la nature et les esprits qui l’habitent. C) Les sectes shintoïstes À côté du shintoïsme religion d’état (Jinja Shinto), il existe treize grandes sectes shintoïstes qui existaient

plus pertinente qu’on sait que par la culture les hommes n’ont pas les mêmes pratiques , que les coutumes sont diffèrentes , que les croyances s’opposent , les valeurs et les références sont totalement différentes. Pour qu’il y ait une entente, une harmonie, et si possible, une solidarité entre les hommes, il faudrait des valeurs et des références communes ; or justement de telles valeurs communes sont rendues problématiques par la diversité de culture. L’expression «unité du genre humain » signifie

poètes Lamartine (Jocelyn, 1836 ; Chute d'un ange, 1838), Musset (La Confession d'un enfant du siècle, 1836 ; les Nuits, 1835-1837) et Vigny (Stello, 1832 ; Chatterton, 1835). Victor Hugo (Châtiments, 1853) et de Lamartine (Recueillement poétique, 1839), dépassant la sphère de la sensibilité individuelle, s'ouvrent au monde et expriment leur volonté de le transformer politiquement et socialement. Au lendemain de la bataille d'Hernani, la littérature traduira avec eux l'aspiration à la Liberté politique que partagent