Harpagon De Molière

l’écriture et la représentation, indéfectiblement attaché à l’écrivain, au metteur en scène et à l’acteur ? I. Un destinataire passif de la pièce et du spectacle qui pourtant dicte ses lois « Les comédies ne sont faites que pour être jouées », dit Molière. Jouées devant un public destinataire final du spectacle. Qu’en est-il du statut de cet étrange personnage collectif ? 1. Destinataire passif du spectacle, le spectateur est mort • Condamné au silence… Le spectateur, dès que le rideau se lève

; celui de droite est une réécriture de Molière : |Acte I, scène 1 |Acte I, scène 3 | | | | |EU. Exi, inquam, age, exil exeundum hercle tibi hinc est foras |HARPAGON : Hors d'ici tout à l'heure, et qu'on ne

Les dramaturges vivent pleinement dans leur époque et se penchent sur le problèmes de leur société. C'est la logique de la comédie des moeurs. Par exemple, dans Le jeu de l'amour et du hasard, Mariveaux dénonce les femmes dépendantes de leur mari. Molière, lui, critique les partisans dans Le misanthrope ou encore l'éducation des jeunes filles de son temps en mettant en scène Agnès, jeune fille inocente qui se fait manipuler par un homme d'âge mûr, Arnolphe, dans L'école des femmes. Il se sert également

manifestation physique: gaieté, moquerie, cruauté ? Alceste répliquait sur un ton sans appel à Célimène qui amusait sa petite cour par les portraits cruels qu’elle dressait : « les rieurs sont pour vous, Madame, c’est tout dire ». Le célèbre Misanthrope de Molière ne dénonce-t-il pas le rire mal employé? Sujet : Ainsi, nous pouvons nous demander si les aspects comiques d’une pièce de théâtre ne servent qu’à faire rire. Il est nécessaire, ici, de distinguer la comédie du registre comique, les dissensions

Dissertation Dissertation de Littérature (niveau Lycée) ayant comme sujet : "Dans la préface de l'une de ses pièces, Molière écrit : "Tout le monde sait que les comédies ne sont faites que pour être jouées." Dans quelle mesure partagez-vous ce jugement ? Vous fonderez votre réflexion sur les textes du corpus et les oeuvres théâtrales que vous avez lues ou vues ? Plan : I) On peut tout à fait comprendre que les lecteurs, qui deviennent alors spectateurs pensent que les comédies ne sont destinées

La comédie puise ses origines en Grèce au Vème siècle av. JC. Elle a toujours suscité le rire de la part d’un public avenant de grands auteurs de Plaute à Molière en passant par Marivaux. La comédie est aussi très critiquée comme le philosophe Aristote qui l’explique comme "l'imitation des hommes de qualité morale inférieure, non en toute espèce de vice, mais dans le domaine du risible, lequel est une partie du laid". Mais la comédie n’a-t-elle pas une autre visée que le rire ? On peut dans un première

L’Avare de Molière. En effet, cette pièce parle entre autres d’Elise, la fille d’Harpagon, dit l’avare, qui est amoureuse et fiancée en secret à Valère, l’intendant de son père. Or, Harpagon, étant trop avare pour payer un dot pour sa fille, décide de la marier à Anselme, un vieillard. La jeune fille refuse alors énergiquement et Valère se voit contraint de tenter de la convaincre d’épouser Anselme, sur la demande d’Harpagon. Mais à la fin, Valère est obligé d’avouer son amour pour Elise à Harpagon et Anselme

déceptions en pénétrant le domaine artistique et ses Résumé d'A l'ombre des jeunes filles en fleurs de Marcel Proust. Notre fiche de résumé sur A l'ombre des jeunes filles en fleurs a été rédigée par un professeur de français. Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière, né à Paris, baptisé le 15 janvier 1622 en l'église Saint-Eustache, et mort le 17 février 1673 à Paris, est un dramaturge auteur de comédies, mais aussi un comédien et chef de troupe de théâtre français qui s'est illustré au début du règne de Louis

Biographie Molière Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière, né à Paris, baptisé le 15 janvier 1622 à l’Eglise Sainte Eustache et mort à Paris le 17 février 1673, est un dramaturge et acteur de théâtre français. Grand auteur comique, il a peint les vices de ses contemporains et les plaies de la société de son temps et a créé des personnages immortels : Harpagon, Tartuffe, Don Juan, Alceste. Provocateur, il a osé critiquer, dans Tartuffe et Don Juan, une société qui ne permettait pas l’expression

jaillissent des caractères qui ont depuis toujours inspiré la comédie : cupidité ( le barbier de Séville), Cynisme ( Dom Juan) et l’avarice que montre la pièce de Molière. Simmel la définit comme une forme de volonté de puissance qui, pour se maintenir intacte, renonce à s’exercer. De là sa fréquence chez les vieillards comme Harpagon qui « aime l’argent plus que réputation, qu’honneur et que vertu » (II, 4) Ils ne peuvent connaître d’autres jouissances, à l’image de Gundermann « qui triomphe parce