Harran

de Suleymaniyyé. - 68 - écrire sous le nom de “Vahhabisme”. La fondation du Vahhabisme est écrite en détail dans le livre intitulé“les confessions de l’agent Britannique”. Il retrouva et lut le livre vicieux écrit par Ahmed İbni Taymiyya de Harran [661-728 [1263-1328] à Damas, incompatible avec Ahl-i sunna, il fut renommé comme “Cheikh-i Nedjdî”. Les savants de la Mecque écrivirent, en 1221 de l’Hégire, des réponses excellentes au livre “Kitâb-ut tawhîd” qu’il composa ensemble avec l’espion

afférents aux services associés au prêt pourvu que leur montant représente le coût des services rendus et non calculé sur la maturité ou le montant du prêt. Les prêts bénévoles sont un moyen d’établir des relations commerciales avec des clients. Al-Harran donne des exemples de cas où il est conseillé aux instituions financières islamiques de pratiquer de tels prêts : a) Un prêt bénévole peut être fourni aux clients faisant face à des problèmes de trésorerie. b) Enfin, les prêts bénévoles peuvent être

la ligne de l’Ecliptique Ce même soleil ayant quitté tour à tour Ur pour Harran, Harran pour Sichem et son chêne de Mamré, le chêne en question pour l’Egypte, il est, durant son déplacement le long de la ligne de l’écliptique, tour à tour : • dans la Voie Lactée située côté Sagittaire lorsqu’il demeure à Ur ; • entre la Voie Lactée située côté Sagittaire et celle située côté Taureau, lorsqu’il demeure à Harran ; • dans les Poissons ou le Bélier (soit près de l’amas d’Andromède) lorsqu’il

l’accompagnement technique et managérial nécessaire aux petits entrepreneurs. Ceci confirme la priorité donnée au contrat la Mourabaha, dans la pratique bancaire islamique par rapport aux autres formes de contrats participatives (Benzha, 2008). Al-Harran (1993) souligne que le fonctionnement idéal de la banque islamique est de mettre l'accent en premier lieu sur la faisabilité du projet ainsi que la fiabilité du porteur puis sur des garanties peu significatives en deuxième lieu. Ainsi le petit épargnant

Construction du château de Mshatta. 744 Révolte du clan arabe yéménite. 744 Z razfd III. 744 : Soulèvement dans les provinces de Syrie, Palestine et Iraq. 744-745 : Ibrdhim. 745-750 : Marwdn lI. 745 Z Marwân transporte sa capitale de Damas à Harran. 745-746 : Révolte de la Syrie contre Marwân. Juin 747 : Aboû Mouslim soulève le Khorasan en faveur d’Aboû l-’Abbas. 748-749 La Perse se déclare pour Aboû 1- ‘Abbas. 749 Révolte kharidjite en Iraq. 3o octobre 749 : Aboû l-’Abbas proclamé calife

son armée à ‘Abdallah Ibn ‘Ali qui parvint en Iraq. La bataille entre les Omeyyades et les Abbassides eut lieu à Zab et ‘Abdallah victorieux se dirigea vers la Syrie. Marwan Ibn Muhammad le Calife, suivit de près par ‘Abdallah, s’enfuit d’abord à Harran puis à Quinsirine et Homs toujours poursuivit par l'armée de ‘Abdallah Ibn ‘Ali. Les gens de Homs voyant la faiblesse du Calife et de sa f aible armée voulurent en finir avec lui pour mettre fin aux troubles. Marwan Ibn Muhammad doutant des gens de

passage de l'agriculture sèche à l’agriculture irriguée s'est opéré dans certaines plaines où s'intensifie la culture de plantes industrielles. En effet, la culture du coton connaît une véritable explosion dans la région, surtout dans la plaine de Harran et s'étend vers la frontière syrienne. C'est dans cette région où est cultivé le coton de la meilleure qualité de la région. Autre plante industrielle, le tabac est cultivé dans les zones d'Adiyaman, de Siirt et de Diyarbakir. Le tabac cultivé dans

document précieux dans son ensemble, et digne encore d’être étudié. » (nous soulignons) Renan, op. cit., p. 1 : « Toute l’Asie occidentale, à l’exception du peuple juif et de quelques survivants de l’antique culture indigène conservés à Babylone et à Harran, devint hellénique et chrétienne ; de là ce phénomène extraordinaire, que la littérature grecque est le plus vaste répertoire de renseignements sur les antiquités de l’Asie, et que, jusqu’aux découvertes de ces derniers temps, l’histoire de l’Orient

Islamic religion, although both had advantages. Similarly, in the first 100 years the conquerors seem to have been unconcerned with the remnants of Greek learning which were cultivated by scholars—often refugees from Christian persecution—in centres like Harran in Turkey and Jundishapur in Iran. The stage was set for a surprising union of cultures which took place in the late eighth and early ninth centuries. This was incidentally the period in which the religion of Islam took on most of its later form—the