Hathor

l’avoir vue hier à l’entrée du Pharaon. – Si ma maîtresse va bien, tu dois le savoir mieux que tout autre, répondit Nofré : car elle s’est enfuie de la maison sans confier ses projets à personne, et l’asile qu’elle s’est choisi, j’aurais juré par Hâthor que tu le connaissais. – Elle a disparu ! que me dis-tu là ? fit Ahmosis avec une surprise qui certes n’était pas jouée. – Je croyais qu’elle t’aimait, dit Nofré, et quelquefois les jeunes filles les plus retenues font des coups de tête. Elle n’est

partagent des préoccupations ou des sentiments humains. Parmi les exemples innombrables, on peut citer Ganesh, le dieu indien des voyageurs et des marchands, qui porte une tête d’éléphant, ou Quetzalcoatl, le serpent à plumes des Aztèques. [...] Ainsi Hathor, déesse du bonheur, figurée comme une vache ou une femme pourvue d’oreilles de vache  ; Bastet, déesse de la musique et de la danse, figurée comme chatte ou femme à tête de chatte ; Anubis, dieu des cimetières, figuré comme chien ou homme à tête de

associada a uma vaca, com um disco solar e duas plumas entre os chifres; foram encobntradas também representações em forma de uma mulher com chifres na cabeça portando o disco solar; em forma de uma mulher com cabeça de vaca. Era a Deusa local de Per-Hathor (a grega Afroditópolis, atual Guebelin) e de Dendera, mas acabou sendo adorada um pouco em toda parte: em Mênfis, como Deusa da árvore "Senhora de Sicócomoro", espécie "ficus sicomorus"; em Tebas, como Deusa da necrópole (Hator-Imentet), "Senhora

de la mylh. japonaise, p. 21-22). Mais il a aussi son correspondant dans une anecdote égyptienne : Ra- Harakhti, le Maître de l'Univers, a été insulté; il se retire dans son pavillon et y passe tout un jour, étendu sur le dos, seul; la déesse Hathor arrive; dressée devant son père elle dévoile la partie la plus secrète de son corps; Ra-Harakhti alors éclate de rire et se réconcilie avec les dieux (voir, par exemple, I. Lévy, Autour et qui, à la mort, y retourne » dit le Boundehesh. «

Khepfi, scarab, who was the “god” of insects. The plague of beetle, a scarab, was an emblem of Re (Ra), the sun god. 5. The fifth plague was livestock (dever) - Exodus 9.1-7. This was an attack on Apis, who was the bull “god.” His counterpart was Hathor, the cow goddess. Their place of worship was at On (Heliopolis). The Egyptians held many beasts in idolatrous veneration. The lion, wolf, dog, cat, ape, and goat were very sacred to them; but especially the ox, heifer, and ram (Khnum). The soul of

Ashtart ou Athirat) ; ou sous les traits des trois déesses Qudshu, ‘Anat et Astarté (où Quadsnu s’identifiait à Asherah et désignait «la Sainte» ou «la Pure» - personnage représenté, dans la religion/mythologie égyptienne, par une vache [son nom est Hathor] qui enserrait le soleil, son petit, dans ses cornes - et qui, en qualité de Potnia Theron, se dressait sur un lion, comparée à une Anat incarnant «la Forte» ou «la Guerrière», et comparée à une Astarté incarnant??) ; une déesse triple qui était représentée

familias, como el Cleón del que se nos habla en el poema. 54. Atir era el tercer mes del calendario egipcio, correspondiente al período de tiempo comprendido entre el 28 de octubre y el 26 de noviembre. Su denominación procede de la divinidad egipcia Hathor, personificación del cielo y diosa tutelar de la muerte y el amor, por esto último los griegos la identificaron con Afrodita. Cavafis recurre formalmente en este poema al procedimiento de simular una inscripción medio borrada, con el sistema habitual

ses mains l’œil Oudjat d’Horus, symbole du Soleil et de la Lune. Ce porte-bonheur rappelle qu’il a guéri Horus, et lui vaut d’être vénéré par les médecins. © Groupe Eyrolles Thot 69 Partie II La Méditerranée au cœur des civilisations Hathor, déesse vache céleste, représente la fécondité, l’arrivée de l’inondation bénéfique, la joie, la musique, la danse, les fêtes. On l’assimile parfois à Isis, elle est la déesse des vivants mais aussi des morts heureux. Thouéris, déesse hippopotame populaire