Hector Mallot

belliqueux, précède l'ambassade grecque menée par Ulysse. Il provoque Hector , qui veut absolument éviter la guerre et tourne habilement la situation à son avantage et à l'encontre de Démokos, le poète troyen belliqueux. Il y a durant ces trois scènes un comique de geste avec trois gifles. Hector gagne alors l'admiration d'Oiax. Puis arrive l'ambassade grecque et les dieux interviennent via Iris la messagère pour éloigner la foule. Hector et Ulysse sont ainsi en tête-à-tête, et ce dernier, qui apparaissait

d'exclamatives et d'interrogatives dans les répliques d'Andromaque, illustrant son désarroi et sa volonté d'éviter la guerre: "quand ce ne serait que l'orage !" Ses deux interventions s'achèvent sur une interrogative : "pourquoi voulez-vous que je doive Hector à la mort d'autres hommes ? Comment un pays pourrait-il gagner dans son honneur et dans sa force en les perdant tous les deux ?" Dans sa supplication, elle emploie l'impératif : "écoutez, laissez-nous". Giraudoux fait une comparaison associant les

vers992 « dois je les oublier, s'il ne sent souviens plus ? » et d'ailleurs ici l'hémistiche est marqué pour faire une pause sur « les oublier », le déterminants « les » qui représente les Troyens .Puis ensuite Andromaque rappelle à Céphyse son mari , Hector , l'homme qu'elle aime le plus, qui fut « privée de funérailles » (v.993) qui fut « trainé sans honneur » (v.994) autour des murailles de Troie ce qui bien sûr est dur à accepter pour Andromaque. Et elle rappelle ensuite au vers 995 et 996 , le père

Patrocle en tuant Hector. Patrocle est l'ami d'Achille. Il sera tué par Hector. Achille ne voulait pas qu'il se batte contre les Troyens. Hélène est l'épouse de Ménélas. Elle s'enfuie avec Pâris. Elle est très belle. Ménélas est le roi de Sparte et le frère d'Agamemnon. Il est l'époux d'Hélène. Il engagea la guerre aux Troyens. Agamemnon est le roi d'Argos, frère de Ménélas. - Les Troyens : Priam est le roi de Troie. Il a trois fils et une fille avec Hécube : Hector, Pâris, Polydor et

visions : elle sait grâce à elles que le destin des hommes est scellé et que rien ne peut s’y opposer. Cependant, Hélène peut faire preuve de compassion et d’humanité ; ainsi, elle ménage Hector dans la scène 9 en lui disant que « personne n’est infaillible » tout en acceptant d’aider à la paix. Elle va également soutenir Hector face à Ulysse dans la scène 12 de l’acte II. La manière dont elle nous décrit son enfance nous montre qu’elle connaît bien le malheur et la souffrance mais refuse la pitié qui ne

relancée par Céphise, elle évoque l'impossibilité de voir son fils mourir. 2. Le déchirement du personnage vient d'une impossibilité à oublier le passé et l'homme aimé. Ainsi, Hector est trahi dans les deux cas, épouser Pyrrhus, c'est trahir en épousant son ennemi, et laisser tuer Astyanax, c'est voir mourir Hector une deuxième fois. Andromaque le note explicitement, son fils est « l'image d'Hector ». Elle revit son amour pour son mari par le fils. On comprend ainsi le côté insoluble de ce dilemme

entre Hélène et le jeune Troïlus Sujet : Hector revient d'une campagne militaire, victorieux, et trouve sa femme Andromaque en discussion avec sa sœur Cassandre à propos de l'ambassade grecque qui réclame Hélène, en levée par Parîs. Une grande partie des Troyens, fascinés par la beauté d'Hélène ou avides de guerre, refusent de la rendre. La guerre de Troie aura-t-elle lieu ? Personnage principaux : Andromaque, Hélène, Hécube, Cassandre, Hector, Parîs, Priam, Ulysse et Demokos. Les personnages

Andromaque Intro : Comment ose t il ce traitre me laisser si peu de temps POUR CETTE DEMANDE EN MARIAGE qui remet tout en question, mon enfant, mon Hector, les troyens ..? Je dois être devenu une simple ingrate à ses yeux, mais je suis si fragile depuis que je suis veuve… Que faire ? De toute façon il n’y a que deux solutions, soit je laisse mourir mon fils et devient la servante de Pyrrhus donc d’Hermione car il se mariera avec. Ou bien je me marie avec Pyrrhus mon fils reste en vie et je deviens

une « même proportion de braves et de peureux » chez les morts, comme chez les vivants. Il ne porte pas la même admiration à tous les morts, même pas en « faveur d’une cérémonie ». Cela montre, qu’après une grande différence entre morts et vivants, Hector avoue tout de même constater une égalité de jugement d’honneur entre les deux opposés. Il critique l’honneur que nous donnons aux morts lors d’une cérémonie, honneur, qui d’après lui est distincte : les peureux et les braves. Les morts ne devraient

envoyé des Grecs a raison. On va bien le recevoir. On va bien lui envelopper sa petite Hélène, et on la lui rendra. CASSANDRE. — On va le recevoir grossièrement. On ne lui rendra pas Hélène. Et la guerre de Troie aura lieu. ANDROMAQUE. — Oui, si Hector n’était pas là !… Mais il arrive, Cassandre, il arrive ! Tu entends assez ses trompettes… En cette minute, il entre dans la ville, victorieux. Je pense qu’il aura son mot à dire. Quand il est parti, voilà trois mois, il m’a juré que cette guerre était