Hector Malot

Pyrrhus ; c’est d’autant plus tragique que la plupart d’entre eux sont prononcés par lui-même. c- Hermione le double d’Andromaque V 1329 «  ………………………………………………………………………………………………………. » ce vers rappelle l’épisode de la victoire d’Achille sur Hector, au terme de laquelle il traîne le corps du troyen avec son char pour célébrer son triomphe. Andromaque était alors la veuve pleurant son mari décédé. Ici, le terme «  char » rappelle cet épisode , sauf que la femme pleurant l’homme perdu est Hermione

sont de plus sûrs garants de la vue perçante de nos maris que l’autre cible, que le cœur de l’ennemi emprisonné dans sa cuirasse. Chaque fois que j’ai vu tuer un cerf ou un aigle, je l’ai remercié. Je savais qu’il mourait pour Hector. Pourquoi voulez-vous que je doive Hector à la mort d’autres hommes ? PRIAM – Je ne veux pas, ma petite chérie. Mais savez-vous pourquoi vous êtes là, toutes si belles et si vaillantes ? C’est parce que vos maris et vos pères et vos aïeux furent des guerriers. S’ils avaient

: L’aveuglement d’Andromaque, registre épique Dans la première tirade, on assiste à l’état d’aveuglement d’Andromaque. Princesse déchue de Troie, Andromaque ne se console pas de l’effondrement de sa patrie. Sa fidélité envers Hector se double d‘un patriotisme aussi douloureux qu’aigu ; et ses propres malheurs se confondent avec ceux de sa nation. Andromaque porte le deuil de son « peuple » pour qui la « nuit cruelle » qui vit la chute de Troie fut « une nuit éternelle » (v. 997-998)

Hector vient défendre son point de vue, suite à la discussion d’Andromaque et de son père au sujet de la guerre. HECTOR : Je vous ai entendu parler avec Andromaque. Elle vous a annoncé son point de vue mais vous n’êtes pas convaincu. PRIAM : Je ne suis pas complètement convaincu par les raisons pour laquelle Andromaque veut condamner la guerre. Car lors d’une guerre, il faut bien défendre le pays, défendre une cause,… HECTOR : C’est vrai que s’il n’y avait pas de défense, la patrie serait détruite

pièce se déroule dans une ville d'Epire,Buthrote, la capitale du royaume de Pyrrhus. Les évènements du récit découlent de la chute de Troie par les Grecs un an auparavant. Lors de cette défaite de la ville de Troie, Andromaque, veuve du prince troyen Hector et leurs fils Astyanax deviennent prisonniers de Pyrrhus. Pour pérpétuer l'entente avec les Grecs (anciens alliés à Pyrrhus lors de la guerre de Troie), Pyrrhus doit épouser Hermione, la fille du roi de Sparte, Ménélas ; mais Pyrrhus s'éprend de

Après la guerre de Troie, au cours de laquelle Achille a tué Hector, la femme de ce dernier, Andromaque, est recueillie avec son fils Astyanax par Pyrrhus, fils d’Achille. Pyrrhus tombe amoureux d'elle alors qu'il doit en principe épouser Hermione, fille du roi de Sparte, Ménélas. Acte 1 (4 scènes) : Oreste, ambassadeur des Grecs, parvenu en Épire au palais de Pyrrhus, y retrouve un ami fidèle, Pylade. Oreste vient au nom de la Grèce exiger de Pyrrhus qu'il lui livre Astyanax, le fils d’Hector et

: c’est un coureur remarquable, il court très vite. Pendant ses combats, Achille n’a jamais peur, c’est un homme courageux. Achille s’énerve quand il apprend la mort de son ami Patrocle, c’est la colère d’Achille. Il reprend les armes et affronte Hector, le meilleur des Troyens mais il meurt peu de temps après à cause d’une flèche reçut dans le talon, son seul point faible tiré par Pâris. Achille est considéré comme un héros demi-dieu pour son invulnérabilité, son courage et demi humain pour ses

» ; « si elle avait lieu » ; « n’aura pas lieu » ; « aura lieu ». Toute la pièce est construite autour de cette phrase, qui l’ouvre, la rythme et la clôt. La guerre apparaît comme absurde, puisque ses défenseurs apportent des arguments ridicules. Hector sait que la guerre n’a pas de sens (I, 1) ; il fait d’ailleurs remarquer à son père et ses acolytes que celle qu’ils préparent est particulièrement absurde (I, 6). Les préparatifs de la guerre achèvent la percée du non-sens. Certains comme Ulysse

à provoquer le conflit. Face à eux, les pacifiques veulent éviter la guerre à tout prix. Le plus déterminé d’entre eux, Hector, fils aîné du roi de Troie, entreprend tout pour assurer la paix et réussit à persuader les Troyens de fermer enfin les « portes de la guerre ». À l’arrivée des émissaires grecs, Oiax, un Grec brutal, gifle Hector. Mais, fidèle à son désir de paix, Hector refuse de céder à la provocation. Il a une entrevue avec Ulysse, l’ambassadeur des Grecs, et les deux hommes, malgré l’imminence

soudain, une voie retentit, c’était celle d’Astyanax caché sous le bouclier de son père. Au lieu de s’enfuir, cette femme a préféré voir le visage meurtri de son défunt mari et cacher son fils et en la regardant de plus près, je compris pourquoi Hector était tombé amoureux d’elle, sa beauté était plus grande que celle d’Hélène, son amour à l’égard de sa famille était aussi grand que celui de mille Achéens, on pouvait lire dans ses yeux qu’elle était prête à se sacrifier pour que son fils ai la vie