Hegel Esthétique Les Choses De La Nature

l’art contemporain. Dès lors, faut-il admettre que tout peutêtre de l’art ? Pourtant, intuitivement nous sentons bien la différence entre une œuvre d’art et un simple objet. L’art et la nature L’art est-il au service de la beauté naturelle ? L’art doit-il se contenter d’imiter le plus exactement possible la nature ? Son œuvre serait alors une simple reproduction, et non pas une création. Et les productions naturelles seraient toujours des modèles indépassables, inégalables. Pourtant, si nous admirons

l'être, Il y a en tant que déploiement de présence. ». L'attitude requise est donc la contemplation, le détachement qui laisse advenir à l'être. D'emblée, on comprend que le vrai n'est pas résultat d'une praxis mais requiert un abandon à l'attitude esthétique. Pour expliciter le sens de l'être, il faut interroger l'étant qui possède la compréhension de l'être, c'est-à-dire l'homme, que Heidegger nomme Dasein pour rompre avec la tradition humaniste. L'homme se rapporte toujours à son être. L'homme

DISSERTATION DE PHILOSOPHIE: L'oeuvre d'art nous apprend – elle quelque chose ? L'art est une activité spécifiquement humaine. Toutes œuvres d'arts, qui sont une déclinaison de l'art, ont pour objet de provoquer, communément, une satisfaction esthétique. Nous ne sommes pas tous artistes, pour autant nous y sommes sensibles. Pourquoi l'homme crée – t – il des œuvres d'art ? L'artiste nous associe à son imaginaire. L'œuvre d'art se présente comme un désir ou une satisfaction qui provoque en l'homme

création de belles œuvres, c'est à dire les Beaux Arts tandis que les arts au pluriel ne renvoient qu'aux métiers techniques. L'art au sens large ne figure donc qu'un ensemble de compétences techniques et l'art au sens limité la création d’œuvres esthétiques. Il est donc question ici de l'art au sens restreint. Et nous pouvons d'ailleurs remarquer qu'il n'y a pas que le sens de ce terme qui est limité car les artistes eux mêmes sont peu nombreux. Stendhal, écrivain français du XVIIIe siècle, les qualifiait

expression mathématique. Ainsi, devant l'amplitude du langage humain, il semblerait non seulement que le langage puisse tout exprimer mais doive tout exprimer : « En donnant à la pensée son existence la plus haute et le plus vraie », selon la pensée de Hegel. Mais

individuelle) * photo de reportage (portée collective +fonction d’information : utilité) …étudiant chinois face aux tanks sur la Place Tien-an-Men, en 1989 ; la « jeune fille à la fleur » de Marc Riboud, en 1967 à Washington. * photo d’art (valeur esthétique : émouvoir ; faire passer quelque chose à propos du réel qui échappe à l’ordre du discours) I. Qu’est-ce qu’être vrai pour l’Art ? C’est regrettable, mais il faut commencer par le constat d’un malentendu, d’une incompréhension entre la philosophie

dangereuses (je pense ici à peinture de propagande par exemple). Elles n'évoquent rien de plus que ce qui y est présenté et confinent le spectateur dans une seule voie. Pour Hegel dans Esthétique, la liberté définit l'art, ce qui suppose que l'art doit se détacher de tout asservissement quel qu'il soit. Le bel art selon Hegel n'est possible que si l'artiste fait preuve d'autodétermination et qu'il créé librement. De plus si on considère l'évolution que l'art moderne a connu, on constate qu'il s'est

constitue notre être en soi est de nature simple: elle ne fait que vouloir et ne connaît pas". Résultat: l'homme mène une vie sans fin, sans finalité , dépourvue de toute signification. Vivre sans raison, une abîme de souffrance vouée à la mort: même l'amour perd son sens , simple acte générateur , il n'aboutit qu'à vouer au malheur et à la misère de l'existence un être qui n'a pas demandé à naître. Puisque la vie est abîme de malheur, la contemplation des choses et des idées grâce à l'art est

qu’il ne sait pas et cela suscite un étonnement et un caractère de provocation. L’étonnement peut être la naissance de la philosophie. En disant « je ne sais pas », il montre que l’ignorance est une autre forme de savoir car on se sait ignorant. La nature de la question de savoir en philosophie c’est l’ignorance. Quand il dit qu’il ne sait pas, il met en évidence son autre savoir, l’ignorance. Les savoirs ont toujours été équivalents de connaissances. Mais les connaissances c’est de la quantité, du

  plaisir  esthétique  (de  ​ aisthésis  en  grec  qui  signifie  ​ sensation​  :  l’art  comme ce  qui s’adresse aux  sens en  vue de susciter un sentiment  de  plaisir) et celui de la prouesse  et de  l’habilité du  technicien.  ​ D’abord​ ,  il  désigne  un  ensemble  de  procédés,  mobilisant  savoir­faire  et  habileté,  permettant  d’obtenir  certains résultats et d’atteindre certaines fins.   Ensuite​ ,  il  désigne  aussi  la  création  de  belles  choses,  d’objets  esthétiques.  Aussi  parle­t­on