Henri Konan Bédié

sénégalais Abdoulaye   -7- Wade, du cap-verdien Pedro Pires, du Premier ministre portugais, José Socrates, du Secrétaire général de l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF), Abdou Diouf ainsi que de l’ancien président ivoirien Henri Konan Bédié. Invité le même mois à Syrte, en Libye, pour assister au sommet de l’Union africaine, il a rappelé l’absence de passé colonial du Brésil et a invité l’Afrique à renforcer son partenariat « pour promouvoir une véritable révolution verte ». Frédéric

démocratisation : adoption du multipartisme (effets positifs / effets négatifs : création de dizaines de partis politiques), création d’un Premier Ministre, intronisation d’un certain nombre de successeurs possibles, parmi lesquelles Alassane OUATARRA et Aimé Konan BÉDIÉ. Ralentissement de la croissance (chute des cours des produits agricoles) => tensions à l’intérieur de la population entre les populations ivoiriennes et les populations immigrées venant notamment du Burkina Faso. Exacerbation des problèmes

mauvais. Cela obéit à la loi de l’offre et de la demande. Aujourd’hui les Etats viennent sur le marché financier où il y a une offre assez importante qui peut donc amener ce renchérissement, mais nous apporterons les correctifs nécessaires. Philippe-Henri Dacoury-Tabley : « Effectivement de nouvelles banques viennent dans nos pays. C’est la compétition qui l’exige et c’est plutôt un signe de dynamisme de l’espace UEMOA. » « Il ne faut quand même pas qu’on se focalise sur la crise économique mondiale

dès leur origine. Le conflit ivoirien de 2011, audelà des facteurs conjoncturels, s’inscrit dans le prolongement d’une crise de succession politique qui s’est ouverte à la mort du Président Houphouët Boigny. Depuis 1993, trois protagonistes, Henri Konan Bédié, Laurent Gbagbo et Alassane Ouattara, n’ont cessé de s’affronter politiquement et militairement pour s’emparer du pouvoir. Les élections organisées successivement pendant près de deux décennies n’ont fait que geler une situation conflictuelle

la dévaluation de 50 pour cent du franc CFA, monnaie des 14 pays composant l'UEMOA et la CEMAC ainsi que des Comores, a lieu le 12 janvier 1994, soit peu de temps après le décès d'Houphouët Boigny (fin 1993) et l'arrivée à la présidence de Henri Konan Bédié, président de l'Assemblée Nationale et ancien de la Banque Mondiale. Elle marque une nouvelle configuration du dialogue entre les autorités ivoiriennes, les autorités françaises et les institutions de Bretton-Woods. Sans pour autant « abandonner