Henri Mendras La Fin Des Paysans

reconversion industriels se traduisent par une très forte demande de logements sociaux, de revenus,d'emplois et quand on regarde les investissements passe dans la réhabilitation de ce qui a été détérioré soit d'apporter des réponses à court terme. En fin de compte la priorité de l'autorité publique est de répondre à court terme à ces questions. On maintient une sociologie dominée par l'importance d'une population active peu qualifiée à qui il s'agit d'apporter des emplois, et qui contribue à maintenir

auquel ils appartiennent. La société occidentale moderne est issue des révolutions politiques de la révolution industrielle qui se sont déroulée entre la fin du 18° et le 19° siècles. Les inégalités de droit (privilège juridique, statut assigné à la naissance) on était abolie plus ou moins rapidement. Mais les nouveaux systèmes sociaux n’ont mis fin, ni aux inégalités, ni à une importante hérédité des positions en dépit du droit à la mobilité et de sa valorisation. Section1 : Les représentations

Les sociétés paysannes – Henri Mendras Avant-propos Introduction Le paysan et la nature La lecture d’un paysage permet de décrypter les différentes empreintes qui se sont succédés que un même sol. L’équilibre entre la population et les ressources qu’elle tire de la nature est toujours instable à partir du moment où est atteint un certain degré d’exploitation du milieu. Le paysan, l’éleveur et l’arbre Le paysan sédentaire lutte contre les hautes futaies et taillis. Le cultivateur itinérant essarte

individus rend les inégalités de moins en moins supportables. Les combats pour les réduire se font de plus en plus nombreux. De ce fait, à terme pour Tocqueville, la démocratie et ces combats permettront la disparition des inégalités, entraînant ainsi la fin des classes sociales. Pour autant, ces inégalités n’ont pas disparu puisqu’on continue, de nos jours, à en observer. Les frontières entre les classes sont toujours distinctes. Selon Pierre Bourdieu, la moyennisation engendre la création de stratégies

liberté Les serfs contre les seigneurs  passage de la société féodale à la société capitaliste avec 2 nouvelles classes sociales : prolétaires contre bourgeois 2) La société capitaliste donne naissance à la démocratie en mettant fin à l’aristocratie (fin des sociétés a pouvoir absolu) 3) Ce qui distingue la bourgeoisie du prolétariat c’est la place dans les rapports de productions. Les bourgeois sont propriétaires des moyens de production (le capital) et les prolétaires ne sont détenteurs

individus rend les inégalités de moins en moins supportables. Les combats pour les réduire se font de plus en plus nombreux. De ce fait, à terme pour Tocqueville, la démocratie et ces combats permettront la disparition des inégalités, entraînant ainsi la fin des classes sociales. Pour autant, ces inégalités n’ont pas disparu puisqu’on continue, de nos jours, à en observer. Les frontières entre les classes sont toujours distinctes. Selon Pierre Bourdieu, la moyennisation engendre la création de stratégies

Introduction hypothético-problématique p 5 CHAPITRE I — HISTOIRE PAYSANNE ET MILIEU RURAL I Les sociétés paysannes : un espace de petite production marchande p 19 1 Production et consommation p 20 2 Les relations avec l’économie englobante p 22 3 Le rôle du groupe domestique p 23 4 La régulation sociale p 24 5 Un monde dans le monde p 26 6 Une vie locale intense p 27 II La fin des paysans, l’avènement des agriculteurs p 30 1 La première guerre

intensives et des rendements élevés , tout en les conciliant avec le respect de l’environnement et la préservation des ressources naturelles Campagnes : univers clos, enracinés dans communauté agraire qui donne sens au groupe. Espace rurale : marque la fin de la préeminence agricole dans les fonctions de ces espaces => correspond à l’espace non urbanisé de l’oekoumène (ensemble des terres anthropisées) Un système agro-alimentaire désigne la façon dont les hommes s’organisent et organisent l’espace

cette période difficile. Après l’aide Américaine notamment grâce au plan Marshall la France se relève petit à petit et connaît une mutation étonnante. La population française est passée de 40 millions en 1945 à 62 millions aujourd'hui. Depuis la fin de la seconde guerre mondiale jusqu’au milieu des années 60, la baisse démographique de la France s’interrompt avec le "baby-boom" qui se caractérise par une très forte augmentation de la fécondité et une moyenne de 3 enfants par femme. Pendant environ

la modernisation. • C. Et la modernisation un coût élevé. -Certaines évolutions sont diversement acceptées. -La modernisation s'est accompagnée de déséquilibres. -Les mutations agricoles sont passées par un endettement important des paysans. Conclusion. I. Les bases de la modernisation : la France redessine profondement son architecture après la Libération. A. Les impératifs de la reconstruction. -Le poids de la guerre. Destruct° de guerre + pénuries + forte inflat°