Henri Michaux Sisyphe

non autonome ni amovible Le dernier § de l’article « guerre » de Voltaire : on ne peut le déplacer Parembole Parenthèse ayant un lien syntaxique avec ce qui précède Perdu en un endroit lointain (ou même pas), sans nom, sans identité (Michaux, « Clown » in Peintures) Figures portant sur la composante sémantique du discours : Antithèse Opposition terme à terme « aux uns portant la paix, aux autres le souci » (Baudelaire, Recueillement) Épanorthose Correction, souvent à effet

qui est plus jeune que jamais, parce que son Europe à lui n’existe pas encore.34 Le civilisé se « colonise », déterritorialise l’identique qu’il est, le désidentifie. L’identique n’est alors que distance intériorisée, « lointain intérieur » (H. Michaux), absence-présence de l’étranger en soi : « la distance à l’intérieur de la relation signifie que le proche est lointain, mais le fait même de l’altérité signifie que le lointain est proche. »35 Faux abri de l’être, l’insouciance de la raison ne

there […] All around, within, beneath. Above is death - and we are death ». (« La mort est ici et la mort est là […]. Tout à l’entour, dedans, dessous. Au-dessus est la mort - et nous sommes la mort »). Qu’est-ce donc qu’Une vie ? A cette question, Henri Mitterand, dans sa préface pour Une vie, évoque la biographie d'une femme dont la destinée suit une courbe en creux, une existence qui se résume à « déraper le long d'une pente où s'accumulent les humiliations et les drames et au terme de laquelle

heureuse, dabord chez son grand-pre, Philippe de Coulanges, puis, lorsquil mourut en 1636, chez le fils ain de celui-ci.Une solide ducation lui valut une connaissance parfaite de litalien, assez bonne du latin, et des notions despagnol.Elle pousa Henri de Svign (1623-1651) en 1644. Elle devient veuve en 1651 vingt-cinq ans quand son poux fut tu en duel par Miossens, chevalier dAlbret pour les beaux yeux de Madame de Gondran, sa matresse.Sa grand-mre paternelle tait Jeanne de Chantal, fondatrice

***7. Formuler une définition de la tragédie vers la dissertation Tragique Crier (l. 40) ; gueuler à pleine voix (l. 41) ➞ Synthèse Réflexion d’ordre dramatique mais aussi philosophique : elle est proche de la pensée de Camus dans Le Mythe de Sisyphe et révèle la prise de conscience de l’absurdité de l’existence (l. 8-10), de l’impossibilité à atteindre la perfection (envie d’honneur) que l’homme recherche mais sait inaccessible, sauf à mourir. VERS LA DISSERTATION ➞ Le présentatif c’est (l

sans changement notable. Tel sera le sujet du chapitre premier de cette partie. Dans cet engluement qui frappe Annie faute de progression, comment apparaît son être aux points de vue physique et moral? Est-elle toujours figée, condamnée comme Sisyphe à revivre le même état de fait? Une éclosion n’est-elle point possible? Qu’en est-il de sa mère, ambitieuse et forte durant la jeunesse, puis douloureusement rongée par la maladie? Sans oublier le père résigné et n’aspirant guère à progresser par