Héphaïstos

j'avais imaginé un halle de palais avec : faisant office de murs porteurs 12 Colosses représentant les 3 dieux Grec majeurs : ZEUS, POSEIDON, HADES et 9 autres dieux et demi-dieux qui sont: Arès, Athéna, Hermès, Aphrodite, Dionysos, Artémis, Apollon, Héphaïstos et Héra. Ils donnent une impression de gigantisme sur scène ce qui la rend plus impressionnante et transporte le public à l'époque de la Grèce Antique. Un long chemin pavé, qui a pour point de départ un grand portail en briques, avec des barreaux

ciel pour en faire présent aux hommes. Afin de se venger et de punir la race trop puissante et trop envahissante des mortels, Zeus ordonna de créer la première femme pour les mener à leur perte. Elle fut ainsi fabriquée dans l'argile et l'eau par Héphaïstos à l’image des déesses immortelles puis chaque olympien lui conféra un don; Athéna lui donna la vie et lui apprit les arts manuels comme le tissage puis l'habilla, Aphrodite lui donna la beauté et l'art de la séduction, Peitho, la déesse de la Persuasion

armes et des casques chevelus. Antistrophe I. Plus haut que nos demeures, il était là, dévorant, de toute part, avec ses lances avides de meurtre, autour des sept portes ; et il s’en est allé avant de s’être rassasié de notre sang, et avant que Hèphaistos résineux ait saisi nos tours crénelées ; tant a éclaté derrière lui le ressentiment d’Arès, invincible pour le Drakôn ennemi. Car Zeus hait l’impudence d’une langue orgueilleuse, et, les ayant vus se ruer impétueusement, très fiers de leur or strident

artistique d'ensemble, et qui se charge de mettre en valeur et d'entourer l'évènement principal : la naissance d'Athéna. - Zeus est assis au centre, tandis que sa fille Athéna adulte et armée vient juste d'être délivrée de la tête de son père, grâce à Héphaïstos, juste sur la droite avec sa hache, en train de reculer. À la gauche de Zeus, les trois Moires, qui sont en train de tisser le destin d'Athéna. - Si l'on veut étudier l'unité : à noter le caractère cyclique de l'évènement, bien qu'il soit figé

l’enfant infatigable de ce siècle ». Ici, le déterminant LE signale la typification (déjà présente dans LE forgeron). A la fin, le forgeron apparaît quasiment comme une figure de dieu antique : il joue et rie avec ses marteaux dans ses forges, comme Héphaïstos, et peut provoquer le tonnerre, comme Zeus.
D’abord à travers l’évocation d’un lieu défini par sa puissance sonore (qui peut évoquer les forges d’Héphaïstos, nombre de lieux mythiques), puis par un jeu de métaphores qui grandissent le forgeron,

cou pareil à une colonne » « des épaules et des bras sculptés qui paraissaient copiés sur ceux d'un géant, dans un musée. ». Goujet est donc assez beau pour en devenir une œuvre d'art. Implicitement, ce passage compare donc Goujet à un dieu grec : Héphaïstos, le dieu de la forge, pour sa force, Zeus, le roi des dieux, pour sa puissance, sa blondeur et sa beauté. La description évoque aussi un Christ, par ses jeux de lumière : « s'allumaient, lui éclairaient toute la figure de leur fils d'or » la lumière

viande cuite pourra protéger les Hommes de certaines maladies contenues dans la viande crue des animaux et ainsi potentiellement rallonger leur espérance de vie et leur conférer une meilleure santé. Zeus se venge une seconde fois. Il demande à Héphaïstos de créer la femme, du nom de Pandore. Il offrit ensuite la main de Pandore à Épiméthée, frère de Prométhée. Bien qu'il eût promis à Prométhée de refuser les cadeaux venant de Zeus, Épiméthée accepta Pandore. Celle-ci apporta dans ses bagages une

maux. Amoureuses des dieux, mais généralement simples mortelles vivant des milliers d’années, les nymphes insouciantes chantent dans des lieux qu’elles occupent. De leur union avec les mortels sont nés des héros, les demi-dieux. 2) Les fils Héphaïstos (ligne 28) : Fils de Zeus et d’Héra, il est surnommé le « boiteux » : un jour qu’il prenait la défense de sa mère dans une dispute avec Zeus, ce dernier le jette du haut de l’Olympe. Dieu du feu et des volcans, il réside souvent sur le mont Ida

fut ainsi nommé du nom de Phoibè. Ayant abandonné le marais et les rochers Dèliens, il poussa jusqu’aux rivages de Pallas, fréquentés des marins, et il arriva dans cette terre du Parnèsos. Pleins d’une grande vénération pour le dieu, les fils de Hèphaistos l’accompagnèrent, lui frayant la route et aplanissant la contrée sauvage. Dès qu’il fut arrivé ici, le peuple, et Delphos qui régnait sur cette terre, le reçurent avec de grands honneurs. Zeus lui donna la science divine et le plaça, lui quatrième

___________________________________________________________________ Thésée (Ariane, p.22) : _____________________________________________________________________ Icare (Ariane, p.30) : _______________________________________________________________________ Héphaïstos (Ariane, p.38) : __________________________________________________________________ Athéna (Ariane, p.44) : _____________________________________________________________________ Dionysos (Ariane, p.103) : ___________________________________________________________________