Hernan Cortes

racontant les premiers contacts entre le Conquistador espagnol Hernan Cortes et les Aztèques. Préalablement à la présente séquence, les quatre groupes ont travaillé séparément sur une partie du poème. TRANSCRIPTION ORIGINALE français L1, espagnol L2 TRADUCTION A. – En este poema de Gabino Palomares, en la primera estrofa, los aztecas son los hermanos emplumados, y los hombres de la tripulación de Cortes son los hombres barbados. Cortes y su tripulación llegaron por el mar con la intención

(Afrique australe) à Macao (Chine), les Portugais ne disposent jamais de plus de 10.000 hommes, y compris les auxiliaires indigènes, et ne peuvent aligner que 1.000 à 3.000 hommes lors de chacune de leur expédition en Afrique et dans l’océan indien. Cortès et Pizzaro, eux, conquéront les empires aztèques et incas à la tête de quelques centaines d’Espagnols. Espagne et Portugal ne peuvent donc espérer s’imposer face à une puissance comme la Chine, dont l’empire couvre 3 M de kilomètres2 et compte

un dominio de 24 miliones de kilómetros cuadrados, cuyos límites fueron poco a poco marcados : "Prodigieuse rapidité de cette merveilleuse aventure réalisée avec des moyens insignifiants", apunta el historiador francés Pierre Chaunu. En 1519, Hernán Cortès (1485-1547), conquistador de México, sale con 700 hombres a la conquista del Imperio azteca ; en 1524, Francisco Pizarro (1478-1541) se lanza al asalto del Imperio incáico con 112 hombres. Sólo la alianza con las naciones indígenas que vivían bajo

découverte de l’Amérique par Christophe Colomb, qui est au service la reine Isabelle. A partir de cette période le pays devient un véritable empire colonial, les expéditions vers ce continent sont nombreuses, la plus significative est celle du conquistador Hernán Cortés46. Les espagnols vont exploiter les richesses de ce « nouveau monde », ce qui va leur permettre d’asseoir leur puissance sur le vieux continent. Au XVIe siècle, le pays connaît ainsi son « siècle d’or », il marque l’avènement des Habsbourgs

à la place de la Ribeira, nouveau centre névralgique de la ville. Pages 162-163 étude De Tenochtitlan à Mexico Ce dossier présente l’effondrement de la civilisation aztèque, victime de la conquête fulgurante des conquistadores conduite par Hernan Cortès. Pourtant, Tenochtitlan, la capitale de l’Empire aztèque, rayonnait sur tout l’actuel Mexique depuis 1450. Mais la terreur de la politique impériale, fondée sur une religion sacrificielle aux dépens des tribus soumises et l’habilité des Espagnols

D’après cette traduction a paru, la même année, une version espagnole, d’abord dans El Socialista, de Madrid, et ensuite en brochure : Manifesto del Partido Comunista, por Carlos Marx y F. Engels, Madrid, Administracion de «El Socialista», Hernan Cortès. A titre de curiosité, je dirai qu’en 1887 le manuscrit d’une traduction arménienne a été offert à un éditeur de Constantinople ; l’excellent homme n’eut cependant pas le courage d’imprimer une brochure qui portait le nom de Marx et estima que

l’est sera au Portugal, l’ouest sera Espagnol. Est resté la physionomie de l’Amérique latine. La conquête de l’Amérique latine est faite par trois hommes (catholique et pensant avoir une mission religieuse, militaires, sanguinaires) : * Hernan CORTES : Espagnol, militaire aguerri qui a mené des combats contre les Musulmans. Décide de partir à la conquête du Mexique avec 400 hommes. Vont avoir le sentiment de tomber face à une civilisation diabolique. * PIZARRO : a entamé la conquête le

doc. 1) et compassion (cf. la controverse de Valladolid, doc. 4) : pour Sepulveda, la barbarie supposée des Indiens justifie leur sujétion totale, tandis que Las Casas y voit des égaux dans une perspective humaniste chrétienne. ÉTUDE Cortés, fils de Hernán Cortés et de Marina, est rendu possible par le désir d’une partie des élites aztèques de s’adapter aux nouveaux maîtres (doc. 2). BILAN Pour expliquer la chute de Tenochtitlán, il faut souligner le rôle joué par des intermédiaires locaux gagnés

même année, il a été donné de cette traduction une version espagnole publiée d’abord dans El Socialista, (le Madrid, et ensuite mie brochure: Manifesto del Partido comunista, por Carlos Marx y F. Engels, Madrid, Administration de El Socialista, Hernan Cortés, 8. À titre de curiosité, je mentionnerai le manuscrit d’une traduction arménienne proposé en 1887 à un éditeur de Constantinople; le brave homme n'eut cependant pas le courage d'imprimer un écrit qui portait le nom de Marx et estima que le traducteur

version espagnole publiée d’abord dans El Socialista, (le Madrid, et ensuite mie brochure: M anifesto del Partido comunista, por Carlos Marx y F. Engels, Madrid, Administration de El Socialista, Hernan Cortés, 8. À titre de curiosité, je mentionnerai le manuscrit d’une traduction arménienne proposé en 1887 à un éditeur de Constantinople; le brave homme n'eut cependant pas le courage d'imprimer un écrit qui portait le nom de Marx et estima que