Heros Tragique Victime Ou Coupable

Problématique : En quoi la mise en scène tragique de la mort de l'hérïne permet-elle une fin morale ? Introduction : -dernière scène : aveu et dénouement. -Phèdre avoue a Thésée le crime dont elle est coupable, celui d'Hyppolyte car il a rejeté son amour. -Phèdre s'empoisonne → mort sur scène alors qu ela règle de la bienséance l'interdit + mort nécéssaire car elle est meurtière. -texte en vers → alexandrins. Lecture analytique : Un dénouement tragique. Un dénouement hors du commun. L'aveu de

perfection de la tragédie classique ; parfaitement à l’aise dans cadre rigoureux des règles théâtrales ; historiographe du roi (1677) et Académicien (1673). S’est imposé face à Corneille. Cherche à émouvoir les spectateurs par violences des passions des héros. Cette violence s’illustre dans des œuvres comme Iphigénie, Britannicus, ou encore Phèdre. Dernière tragédie (1677) qui met en scène le personnage éponyme, amoureuse de son beau-fils Hippolyte alors qu’elle est mariée à Thésée. Issue d’une lignée

soulignée à plusieurs reprises l’importance du jour qui commence : « Mais aujourd’hui qu’il faut que l’une ou l’autre tombe/Qu’Albe devienne esclave, ou que Rome succombe… » (v. 79-80) (Voir aussi les vers 107, 108, 210). C’est le jour décisif – le jour tragique par excellence. ● Déterminer à quelle période de l’histoire de Rome l’action se réfère. La longue tirade de Sabine (I, 1, v. 39-56) indique que Rome n’est pas encore une ville puissante, ni même la capitale de l’Italie. C’est une ville encore naissante

sert de Thésée pour avouer son amour à son bien-aimé. Phèdre a conscience du caractère criminel de son acte ; elle confie : « J’ai conçu pour mon crime une juste terreur » v.307. Ce terme de « crime » renvoie à l’idée que son amour est un amour coupable et que sa révélation la fait souffrir ; le fait que la terreur qu’elle ressent soit qualifiée par l’adjectif « juste » oppose au caractère impie et illégal de son amour la justice de son châtiment moral. Or, cette « terreur » dont elle parle,

3°-2nde) 1) Le vocabulaire de l’odorat 2) La puanteur : pistes pour un commentaire de texte 3) Le parfum : pistes pour un commentaire comparé II – Histoire d’un meurtrier. (Niveau 3°-2nde) 1) Le meurtrier. Dissertation : Grenouille héros ou anti-héros ? 2) Les victimes 3) Du roman au film III – Une histoire au XVIII° siècle : des Lumières à Sade (Niveau 1ère) 1) Une histoire au temps des Lumières 2) La ville au XVIII° siècle 3) Libertinage et révolution IV – Documents I. Deux œuvres d’odeurs

dans le registre tragique par le caractère de Phèdre a inspiré terreur mais aussi pitié (registre pathétique, on parle de catharsis, ou purgation des passions), accablée par le poids de l’hérédité qui la condamne dès l’acte I. Contexte historique[modifier] Phèdre est la dernière tragédie profane de Racine avant un long silence de douze ans au cours duquel il se consacrera au service du roi et à la religion. Une nouvelle fois, il choisit un sujet déjà traité par les poètes tragiques grecs et romains

Corneille) lorsqu’il fut représenté. II-/ Analyse du titre : Le titre Andromaque pourrait prêter à penser que celle-ci est bien le personnage principal, l'héroïne de cette pièce. Rien que part le titre on peut suggérer qu’elle est un peu le rouage tragique autour duquel tout se noue. Cependant après lecture tout prend son sens. On pourrait même résumer tout cela sous forme mathématique : Andromaque aime Hector. Pyrus aime Andromaque Hermione aime Pyrus. Oreste aime Hermione. Finalement, si Andromaque

Louis XIV règne sur la France. Le roi organise une nouvelle vie à la cour, une vie en apparence plus parfaite et change la définition d’Honnête Homme. Dans la première moitié du XVIIème siècle, la définition d’Honnête Homme est associée à celle du héros, c’est-à-dire un homme courageux, droit et qui cherche à maîtriser ses instincts ; alors que l’Honnête Homme de la deuxième moitié du XVIIème siècle se définit par une personne qui maîtrise l’art de plaire, favorisant l’amour propre et donc l’individualisme

 Commentaire de texte : Cet extrait de Phèdre, pièce écrite par Jean Racine en 1677, montre l’héroïne prise au piège d’une violente passion qui l’anime pour Hippolyte, fils du héros Thésée, son mari. Cette œuvre est la tragédie la plus reconnue de l’auteur. Dans cet acte qui met en place l’intrigue et les conditions de naissance de cet amour Phèdre après un long questionnement d’Oenone, sa nourrice et servante va lui révéler son secret. Ainsi, dans cet acte

Le passage évoque la dernière entre vue du Prince et sa femme. Entre vue pathétique et tragique puisqu’il accuse injustement sa femme d’être la cause de sa mort. Nous allons donc voir cet extrait. Quelle vision de l’homme et du monde est donnée à travers la mort de Monsieur de Clèves ? Nous verrons dans un premier temps que le récit est pathétique. Ensuite nous étudierons si le héros est tragique. Nous terminerons par une mort exemplaire. LECTURE DU PASSAGE I. Un récit pathétique