Hillary Clinton

du Président Obama, qui, lors d’une conférence bilatérale en juillet dernier, avait indiqué que « les relations entre la Chine et les États-Unis dessineraient le vingt-et-unième siècle ». L’année 2009 a été marquée par la visite à Pékin d’Hillary Clinton, dès le mois de février, destinée à « élargir » le dialogue entre les deux pays et à mener des coopérations notamment dans les domaines de l’économie, de la sécurité régionale, de la lutte contre le réchauffement climatique et des maladies pandémiques

Germany and Britain. Great powers not in the classical sense of Britain under Qeen Victoria, Bismarck's Germany or France under Louis XIV. Hubert Védrine (ministre français des Afaires étrangères), 1998. Sous les deux mandats présidentiels de Bill Clinton de 1992 à 2000, les États-Unis réduisent leurs forces militaires54 comme toutes les autres puissances, favorisent le commerce international (fondation de l’ALÉNA55 en 1994 et de l’OMC56 en 1995) et interviennent sous couvert de l’ONU (Somalie 1992-1994

Sénateur de Illinois en 2004, c'est le candidat du changement sur le terrain avec sa femme et ses deux fille gagne en popularité. Fort de son slogan désormais célèbre "Yes we can", Barack Obama sort victorieux des primaires démocrates face à Hillary Clinton. Quatre ans plus tard, réélu avec un bilan mitigé sur le plan économique (le chômage a continué d'augmenter pendant son mandat et la crise est loin d'être résolue), il est candidat à sa propre succession. Il est alors opposé à Mitt Romney, sorti

le monde ? Il est trop tôt pour le dire. Mais soyons clairs : Obama et son équipe ne sont pas des colombes. Ils vont garder quatre bases permanentes en Irak, et ils veulent envoyer 30 000 hommes supplémentaires en Afghanistan. Robert Gates et Hillary Clinton sont des faucons. Joe Biden, vice-président, a même facilité la guerre en Irak et, avant, les bombardements contre l’ex-Yougoslavie. Le reste du cabinet de guerre a également de quoi susciter l’inquiétude. Il comprend nombre de soutiens aveugles

compte de la présomption d’innocence. » Lorsque nos droits d’accès au réseau sont violés, un tollé général est déterminant. Les citoyens du monde entier se sont opposés aux exigences de la Chine envers Google, à tel point que la Secrétaire d’état Hillary Clinton a déclaré que le gouvernement des États-Unis soutenait la résistance de Google et que la liberté de l’Internet — et avec elle celle du Web — allait devenir une pièce maîtresse de la politique étrangère américaine. En octobre, la Finlande a fait

main pour mieux adapter leur discours aux cibles à qui ils désirent s’adresser. Pour la préparation des élections de 2008, certaines études auraient même analysé l’effet des discours de différents candidats potentiels, comme Barack Obama ou Hillary Clinton sur le peuple américain. Ces études étaient destinées à mesurer l’impact de leur personnalité sur les votants. Les conclusions de ces études devaient déterminer par exemple si un homme noir ou une femme pourraient devenir président des états unis

des voix. EN 2007, à Springfield, Barack Obama annonce sa candidature à la Présidence des Etats-Unis. « Yes, We Can » devient alors son slogan de campagne ; une citation représentant sa situation. Au terme d’un long duel, parfois cruel, avec Hillary Clinton, il remporte finalement en juin 2008 les primaires du partie démocrate. Il deviendra ainsi le premier homme noir de l’Histoire Américaine à atteindre le poste le plus haut du pays : Président des États-Unis d’Amérique. Mutations économiques

le bon sens. Aucune règle fondamentale n'est bonne si elle ne souffre pas d'exception. Malgré de nombreuses critiques, à New York, un lycée réservé aux jeunes homosexuels va ouvrir ses portes, financé par la ville et soutenu par la démocrate Hillary Clinton. Si cela permet à ces lycéens, victimes de railleries et de harcèlement dans les autres établissements, d'étudier tranquilles et de progresser, pourquoi ne pas s'en réjouir." Il n’est pas pour le retour obligatoire au classes non mixte mais n'est

Nous avons besoin de femmes instruites si nous voulons que le Bangladesh devienne un pays développé. À eux seuls, les hommes ne peuvent pas construire le Bangladesh. » Les remarques faites par la Ministre des Affaires étrangères américaine Hillary Clinton lors de la session plénière de la Quatrième Conférence mondiale sur les femmes à Beijing en 1995, continuent de résonner aujourd’hui : « Nous réalisons partout dans le monde que si les femmes jouissent d’une bonne santé et d’une bonne éducation

en Asie début juillet, la secrétaire d’Etat Hillary Clinton avait dit ne pas souscrire aux arguments selon lesquels la démocratie serait inadaptée aux États asiatiques, dans un message depuis la Mongolie adressé sans la nommer à destination de la Chine voisine. Le Quotidien du peuple chinois avait répliqué en demandant "qui a donné le droit aux ÉtatsUnis de critiquer de manière arrogante l’état de la démocratie en Asie ?". Pour le journal, Mme Clinton est une "prêtresse des Droits de l’Homme". Egalement