Hippolyte et Aricie

elle blesse Hippolyte (vv38-47) le fils de Thésée. Phèdre est contrainte d’être amoureuse d’Hippolyte (vv276-277 ; vv257-258 ; v286) à cause de Vénus qui a aussi victimisée sa mère (v250 ; vv1150-1151) puisqu’elle a donné naissance au Minotaure en tombant amoureuse d’un taureau. Contrairement à sa soeur Arianne abandonnée sur un rocher où elle mourrut (v89 ; vv253-254), Phèdre a eu plus de chances (v90), elle s’est mariée a Thésée et en a eu des enfants (vv198-199). Elle voit Hippolyte pour la première

descendante du Soleil par sa mère et de Zeus par son père. Épouse de Thésée, roi d'Athènes, (ou, selon d'autres, fut enlevée par lui) et mère d'Acamas et Démophon. Son amour coupable pour Hippolyte causa à la fois sa perte et celle du jeune héros. Méprisée de lui et d'elle-même, elle se pendit de désespoir. Hippolyte, fils d'Antiope mère des Amazones et de Thésée. Le jeune prince, uniquement occupé de l'étude et de la sagesse, et des amusements de la chasse, s'attira l'indignation de Vénus qui, pour

Le passage présenté se situe à la fin de la scène 5 de l’acte II, qui voit Phèdre et Hippolyte se rencontrer suite à l’annonce de la mort de Thésée. Hippolyte vient de déclarer sa flamme à son amour, Aricie, et Phèdre dans l’extrait lui avoue sa passion. L’extrait constitue l’aveu terrible de Phèdre par une tirade, et marque un rebondissement dans le drame de la pièce. (présentation de l’extraitcruel » est employé trois fois v. 671 v. 681 v. 684. → Phèdre essaye de trouver des excuses sans y arriver

eternal ennemies through the mortals that they protect. The other two gods named in the tragedy are the Sun and Diane, inactive or apparently impotent protectors respectly of Phèdre, as the Sun is her grandfather – but we’ll explain that later, and of Hippolyte who preferred Diane to Venus. She is sister of the Sun and the goddess of light, and a pure and innocent virgin who has never known anything like passion and seduction. These two gods are often invoked by the mortals they protect in the play but

puis souffir un bonheur qui m’outrage»). Elle se veut impitoyable. Mais qui pourrait la venger? Thésée qui en veut à ce «sang odieux» qui coule en Aricie? mais comment peut-elle y penser : elle l’a trahi par son «inceste» et son «imposture», la tromperie par laquelle elle a fait accuser Hippolyte que son père a déjà décidé de châtier ! Il reste donc Aricie qu’elle veut «perdre» (c’est-à-dire «faire périr») avant de se rendre compte qu’elle n’est tout de même pas coupable d’être aimée d’Hippolyte ! En

disparu depuis 6mois. Hippolyte, fils de Thésée et Antiope (Amazone) est inquiet et veut partir à la recherche de son père. Mais il veut également fuir l’hostilité de Phèdre. La première fois qu’il parle de sa belle-mère, Phèdre, il utilise une périphrase qui accentue le côté monstrueux de Phèdre en rappelant le côté inhumain de la mère de Phèdre, de sa lignée. Phèdre au début de la pièce est entrain de mourir, car elle résiste de toutes ses forces à sa passion pour Hippolyte, ce qui permet de nuancer

scène 6 (extrait). Phèdre Oenone, qui l’eût cru ? j’avais une rivale ! Oenone Comment ? Phèdre Hippolyte aime, et je n’en puis douter. Ce farouche ennemi qu’on ne pouvait dompter, Qu’offensait le respect, qu’importunait la plainte, Ce tigre, que jamais je n’abordai sans crainte, Soumis, apprivoisé, reconnaît un vainqueur ; Aricie a trouvé le chemin de son cœur. Oenone Aricie ? Phèdre Ah ! douleur non encore éprouvée ! A quel nouveau tourment je me suis réservée ! Tout ce que

personnage éponyme a déjà avoué son amour incestueux pour Hippolyte à Œnone, sa nourrice et confidente. On apprend aussi dans l’acte 2, peu de temps avant l’aveu de Phèdre à Hippolyte, l’amour réciproque mais interdit, car les familles sont ennemies, qu’éprouve Aricie et Hippolyte l’un en vers l’autre. Ce texte est un extrait de la scène 5 de l’acte 2 de Phèdre, et c’est donc dans ce contexte que s’ouvre le dialogue entre Phèdre et Hippolyte, un dialogue dominé par les registres tragique et pathétique

Thésée: fils d’Egée et roi d’Athènes. Hippolyte: fils de Thésée et d’Antiope, amoureux d’Aricie. Oenone: nourrice er confidente de Phèdre. Aricie: princesse de sang royal d’Athènes, amoureuse d’Hippolyte. b. Les secondaires: Théraméne: confident et ami d’Hippolyte. Isméne: confidente d’Aricie. Panope: femme de la suite de Phèdre. 5.Les mouvements de l’œuvre: -Acte I, scène 3: L’aveu de Phèdre a Oenone pour son amour pour Hippolyte. scène 4:

paradoxalement sur un désir de fuite. Au-delà de la dimension informative que doit avoir une scène d’exposition on s’intéressera aux enjeux essentiels de la pièce : le statut accordé à la parole la position par rapport à la loi Les personnages et Hippolyte au premier chef, sont essentiellement soumis à la famille et à la présence de la généalogie. Cette pression détermine chez les héros une stratégie du détour, de la fuite qui symbolise un accès difficile voire impossible au bonheur. I. Le personnage