Hippolyte fils de Thésée

de rejeter son amour pour Hippolyte, et donc par ce choix se condamne à son destin tragique ? trop lourd INTRODUCTION Mot de liaison RACINE Phèdre est une pièce de théâtre classique écrite par Racine en 1877. Dans cette pièce est mis en place une situation tragique basée sur l’adultère. En effet, Phèdre, personnage principal de la pièce, est l’épouse de Thésée, roi d’Athènes. C’est au début de la pièce que l’on apprend que Phèdre aime Hippolyte, qui est son beau-fils. Ligne + Alinéa ? C’est

une tirade de l'acte 2 scène 5, en vers régulier, qui s'adresse à son beau fils pour lui avouer son amour passionnelle, à l'occasion de la mort présumée de Thésée, son mari, à la fin de l'acte 1. Cette tirade nous fais réfléchir sur le catharsis et l' amour interdit. En quoi assiste-t-on à une tragédie amoureuse? En premier lieu, nous parlerons du choix du type de déclaration que Phèdre fait à son beau fils Hippolyte. En second lieu nous comprendrons pourquoi cette cette passion est tel en

poétique de la pièce et l’ harmonie des rythmes et les sonorités( parfois étranges (Minos et Pasiphaé )v36 Une autre question :cet Hippolyte se montre un jeune qui aime et admire son père malgré la mauvaise conduite(de celui-ci). Il le défend même contre les dires de Théramène et prêt à s’aventurer dans sa recherche. Mais Hippolyte aime Aricie emprisonnée par Thésée. Share on emailShare on favoritesMore Sharing Services15 Share on emailShare on favoritesMore Sharing Services15 le français

la chanson. La pièce est finalement jouée en 1775. La première riumphaltion déçoit par ses longueurs mais elle est élaguée en 5 jours et le Barbier de Séville connaît enfin un riumph riumphal. ON NE BADINE PAS AVEC L’AMOUR Acte I Perdican, fils du baron et jeune bachelier revient chez son père en compagnie de son précepteur, maître Blazius. Sa cousine Camille, accompagnée, elle de dame Pluche, sa gouvernante, rentre également au château. Le baron rêve d'unir Camille et Perdican et il confie

maléfique sur le destin de Phèdre en lui inspirant son amour pour Hippolyte), la fatalité de la présence des autres (comme affirmait Sartre, « l`enfer, c`est les autres »). Le retour de Thésée, le roi qu'on croyait mort, c'est le moyen d'un renversement de situation qui intervient juste au milieu de la pièce, provoquant une profonde souffrance à Phèdre. Une autre douleur éprouve la reine quand elle apprend que c`est Aricie qu`Hippolyte aime. Elle se sent harcelée, persécutée par leur présence. Comme

Quand Thésée, qui est athénien, vient pour tuer le minotaure (voir plus bas), Ariane, la 1ère fille de Pasiphaé, l’aide à entrer et surtout sortir du labyrinthe, une fois la bête tuée. Elle s’échappe avec lui, mais il l’abandonne sur la première ile grecque qu’ils croisent : l ile de Naxos. Ariane, qui est donc un traitre aux yeux de sa patrie à cause du service qu’elle a rendu à Thésée par amour, reste sur cette ile, abandonnée. Phèdre, qui est la sœur d’Ariane, a aussi été emmenée par Thésée. Mais

remarque une relation particulière entre les deux protagonistes. Le fils, Hippolyte, le vouvoie et l’apostrophe de façon respectueuse : «seigneur», « mon père». Quant à lui Thésée tutoie son fils et le traite de «traître». Ces deux personnages n’ont jamais eux de relation père-fils très proche, étant donné qu’il a retrouvé son père depuis peu et se retrouve d’ores et déjà accusé d’aimer sa belle-mère, donc de semer le trouble. 2) Hippolyte n’accuse pas Phèdre, tout d’abord il est un personnage au caractère

mesure que la pièce avance on verra une gradation des initiatives pour séduire Hippolyte ce qui peu a peu nous détache de l'idée d'une fatalité.Tout d’abord Phèdre fait son aveu à Œnone débutant offensive en l'avouant à Œnone mais aussi a elle même «J'adorais Hippolyte» (Acte I scène 3) prononçant son nom pour la première fois.Ça prochaine initiative sera son aveu Hippolyte après qu'elle apprend de la mort de son mari, Thésée, la déliant de tout liens incestueux. Ici Phèdre fait le choix de suivre l’influence

le plus grand succès de Racine, ainsi que le dernier. -Les personnages : Thésée : fils d’Egée, roi de Trézène et d’Athènes, homme mûr, au passé galant et héroïque. Il est crédule et imprudent. « Quel œil ne serait pas trompé comme le mien ? » (Acte IV, scène 2, vers 2). « J’ai peut-être trop cru des témoins peu fidèles » (Acte V, scène 5, vers 26). Phèdre : fille de Minos et de Pasiphaé, épouse déçue et trompée de Thésée, amoureuse d’Hippolyte, poursuivie par la haine ancestrale de la déesse Vénus

envers son beau-fils Hyppolite pendant que son mari, le roi Thésée, est cru mort. Au retour de Thésée, Œnone, qui craint que sa maîtresse ne se donne la mort, déclare à Thésée qu’Hippolyte a tenté de séduire Phèdre. Thésée bannit Hippolyte et prie Neptune, dieu de la mer, de le tuer.   Hippolyte part après avoir promis à Aricie de l’épouser hors de la ville. Thésée commence à avoir des doutes sur la culpabilité de son fils, mais la nouvelle de sa mort survient. Phèdre avoue tout à Thésée, après avoir