Hirondelle de fenêtre

un morceau de chaque pays en moi : Une peau bronzée, des yeux bridés, une autre vie. Et, à chaque arrivée, un grand moment de joie, Qui fait disparaître ma tristesse et mes soucis. Victor V. Un jour, un tortue qui se trouvait très belle Vit une hirondelle encore plus belle que celle-ci La tortue jalouse d’être rabaissée à elle La regarda fixement, rit et puis dit : "Je suis une tortue, qui fait des ritournelles, Dans la mer, je plonge ; en vitesse, je remonte. Il me manque seulement une paire d’ailes

du ver, Il contourne sa branche torse Comme un serpent frappé du fer. Autrefois, ses pampres sans nombre S'entrelaçaient autour du puits, Père et mère goûtaient son ombre, Enfants, oiseaux, rongeaient ses fruits. Il grimpait jusqu'à la fenêtre, Il s'arrondissait en arceau; Il semble encor nous reconnaître Comme un chien gardien d'un berceau. Sur cette mousse des allées Où rougit son pampre vermeil, Un bouquet de feuilles gelées Nous abrite encor du soleil. Vives glaneuses de

Nouvelles orientales, Marguerite Yourcenar. « Comment Wang-Fô fut sauvé » ; « Le Sourire de Marko » ; « Le Lait de la mort » ; « Le dernier amour du prince Genghi » ; « L'Homme qui a aimé les Néréides » ; « Notre-Dame-des-Hirondelles » ; « La Veuve Aphrodissia » ; « Kâli décapitée » ; « La Fin de Marko Kraliévitch » ; « La Tristesse de Cornélius Berg ». « Comment Wang-Fô fut sauvé ». Dans la Chine du Moyen Âge, un vieux peintre du nom de Wang-Fô erre de village en village, vivant

connu--mots faciles à compren- dre mais pleins de connotations évidentes à pres- que tout lecteur. Le poème est la narration d'un événement assez simple: un martre d'école fait répéter l 'addi tian dans une salle de classe. Un oiseau entre par la fenêtre et commence à chanter, et les enfants sont distraits par la chanson. L'oiseau, un oiseau-lyre, constitue ainsi une opposition au "martre" et à l'ordre qu'il repré- sente. Quand les enfants arr~tent d'écouter le professeur et commencent à écouter

jour où cette dernière rate la cuisson du repas, Marko, qui avait bu, perd patience et insulte la jeune femme. Le lendemain, les Turcs, prévenus par la veuve, le surprennent dans la maison de sa maîtresse. Marko, pour leur échapper, saute par la fenêtre et atterrit dans la mer. Luttant contre les flots, il est repêché par les Turcs. Se faisant passer pour mort, il subit toutes sortes de tortures, mais ne réagit point, parvenant à contenir sa douleur. Le dernier essai pour vérifier sa mort est de

choses, Vivre sans reprocher les épines aux roses, Être enfin un bonhomme acceptant le bon Dieu. Ô printemps ! bois sacrés ! ciel profondément bleu ! On sent un souffle d'air vivant qui vous pénètre, Et l'ouverture au loin d'une blanche fenêtre ; On mêle sa pensée au clair-obscur des eaux ; On a le doux bonheur d'être avec les oiseaux Et de voir, sous l'abri des branches printanières, Ces messieurs faire avec ces dames des manières. 26 juin 1878. Victor hugo (1802-1885)

d’accueil à la course. Vers 5: « aurait fallu » conditionnel passé qui montre que la course est inarrêtable. Vers 8: métaphore le ciel devient semblable à la mer, confusion des espaces. Vers 9: « les fenêtres » renvoie aux personnes qui regardent la course, « l’ombre de  leur clarté » oxymore la fenêtre rompt l’obscurité de la nuit. Vers 11 et 12: « fers  lunaires »;  « croissants  de  leurs  pieds » donne une image puissante de la chevauchée. Changement de point de vue pour le bas, vers les spectateurs

phrases de façon à rendre les relations logiques explicites. 1. Les hirondelles fuient les grandes villes ; les déchets polluent l’air. …………………………………………………………………………………………………. 2. L’élève, qui venait souvent en retard, a été renvoyé. …………………………………………………………………………………………… 3. En persévérant, il est arrivé à ses fins. ................................................................................... 4. Il fait chaud ; j’ouvre les fenêtres. ……………………………………………………………………………………………… 5. Ma petite sœur fait tomber

cages ? De quel droit ôtez-vous ces chanteurs aux bocages, Aux sources, à l'aurore, à la nuée, aux vents ? De quel droit volez-vous la vie à ces vivants ? Homme, crois-tu que Dieu, ce père, fasse naître L'aile pour l'accrocher au clou de ta fenêtre ? Ne peux-tu vivre heureux et content sans cela ? Qu'est-ce qu'ils ont donc fait tous ces innocents-là Pour être au bagne avec leur nid et leur femelle ? Qui sait comment leur sort à notre sort se mêle ? Qui sait si le verdier qu'on dérobe

rétrospective suggestive et variée de ses thèmes de prédilection : dépouillement des ruines romaines de Tarragone, majesté des sites naturels aragonais, fugacité des paysages aperçus depuis la fenêtre d’un train, « cubisme » des juxtapositions urbaines, instantanés de la plage à contre-jour, charmes des hirondelles andalouses… Les photographies de Bernard Plossu nous touchent par leur dimension affective authentique, en nous livrant l’expérience personnelle d’une terre qu’il dit connaître « tant par les