Hiroshima Introduction

supérieures à 1 000 hab/km² (localement 3 000) alors que densité moyenne au Japon = 350 h/km² mégalopole : vaste réseau urbain reliant sur plus de 1 000 km les 3 mégapoles de Tokyo ( 30M), Nagoya (8.5M) , Osaka (16M) + métropoles intermédiaires(> 1M) : Hiroshima et Fukuoka l'ensemble se complète par des espaces ruraux à forte densité de pop photo 2 p 233 est interrompu par des collines et des promontoires qui séparent les baies autour –et à cause- desquelles des métropoles se sont construites (

La seconde par les victoires des alliés, qui se constitue de tous les pays en guerre contre les pays de l’Axe, de 1942 à 1945. L’Allemagne capitule le 8 mai 1945. Le Japon capitule le 2 septembre 1945 après les bombardements américains sur Hiroshima et Nagasaki en août 1945. La guerre met en œuvre des moyens de destruction de plus en plus puissants, chars, avions bombardiers, navires porte-avions, et une arme de destruction massive. Les bombardements massifs anéantissent les forces militaires

commandant Paul Tibbets lâchait sur la ville japonaise de Hiroshima la première bombe atomique de l’histoire. C’était la fin de la seconde guerre mondiale, et le début de l’ère nucléaire. La bombe allait tuer, d’un coup, 100 000 personnes, et provoquer des formes inédites de souffrance humaine. Analyse de l'oeuvre : Description: -Titre: Hiroshima. -Elle a été réalisée: en 1961 soit 16 ans après Hiroshima. -Elle mesure: 1m40 de haut par 2m80 de long. -Elle est faite

Kantara Suzuki prononce une déclaration indiquant qu'il entendait ignorer cet avertissement. La première bombe atomique est alors larguée sur Hiroshima le 6 août, puis la seconde le 9 sur Nagasaki, faisant 250 000 victimes au total. Dans cette œuvre, Penderecki évoque le largage par les Américains de la 1ère bombe atomique sur Hiroshima (Japon) le 6 août 1945. Le sujet de la IIème guerre mondiale tient beaucoup à cœur à Krzysztof Penderecki qui fit d’autres œuvres sur ce

l'époque où elle sort, son son est très moderne, presque d'avant-garde en tout cas vis-à-vis du grand public. Le titre de la chanson fait référence à l'Enola Gay, l'avion Boeing B-29 Superfortress qui, le 6 août 1945, a largué sur la ville de Hiroshima la première Bombe Atomique à être testée sur une population. Les paroles de la chanson parlent de « Little Boy » et de « 8 h 15 ». Une allusion à Mme Tibbets (Enola Gay Hazard Tibbets, la mère du pilote) apparaîtra dans la chanson d'OMD : Enola

qui suivent, à cause des radiations. Penderecki a composé cette œuvre pour rendre hommage aux victimes. Cette œuvre dénonce un des plus grands drames humains du XXème siècle. A l’origine Penderecki l’avait intitulée 8’37(la durée de l’attaque sur Hiroshima), mais l’a ensuite renommée pour meilleure compréhension du public. D/Mon regard a changé. Cette œuvre d’art m’a permit de mieux comprendre le monde. Tous ces sons suraigus et ces dissonances nous fait comprendre la souffrance qu’il on endurait

procurant des sensations sonores inédites. Il n’y a pas de pulsation rythmique. Il n’y a pas non plus de mélodies mais uniquement des atmosphères, des climats. Durée : environ 10' Thème : Largage par les Américains de la 1ère bombe atomique sur Hiroshima (Japon) le 6 août 1945. Structure de l'œuvre — 1ère partie : de 0 à 1’25 début : entrées décalées des groupes de cordes sur les notes les + aiguës possibles, sons tenus, stridents, registre suraigu cris, hurlements. Ensuite, les sons tenus se

l'URSS apparaissent comme les deux grandes puissance victorieuses. Alliés contre le nazisme, elles proposent au monde deux modèles économiques, sociaux, et politiques très différents. Leur rivalité s'exprime dès 1945, alors que le monde découvre à Hiroshima et à Nagasaki l'angoisse face à l'arme atomique.

l’Allemagne et son peuple. Elle leur est revenue dans toute sa terreur, celle-là même avec laquelle les dirigeants allemands avaient déclaré et mené la guerre. » Les américains, eux, ont utilisé les « grands » moyens en employant la bombe atomique à Hiroshima (6 août 1945) et à Nagasaki (9 août 1945). Le président Truman se justifie en expliquant qu’ils ont été attaqués sans prévention à Pearl Harbor, que des prisonniers de guerre américains ont été battus à mort et exécutés, et qu’ils ont voulu « écourter

des pertes humaines et surtout la découverte des camps de concentration et d'extermination provoquent l'horreur, l'angoisse et des interrogations philosophiques sur le sens de l'existence humaine. Un éditorial d'Albert Camus le 8 août 1945, après Hiroshima, résume bien cet effroi : « la civilisation mécanique vient de parvenir à son dernier degré de sauvagerie ». Le courant existentialiste trouve quelques unes de ses racines dans ce traumatisme moral : on ne croit plus à un homme gouverné par des valeurs