Histoire de la photographie

considérée comme non désintéressé : cette nudité étant pure, l’ambiguïté viendrait de l’œil du spectateur. Comme par le passé, l’image de la femme est essentiellement un produit masculin. La grande majorité des modèles ont été dessinés, peints ou photographiés par des hommes qui appliquent leur vision, déjà en choisissant la pose et ensuite, en déterminant sa situation, c’est-à-dire le sujet. Les images de la femme sont très séduisantes et la plastique du corps avantageuse, toujours pâle, avec des formes

firme, mais aussi, par son assonance, un signifié supplémentaire qui est, si l'on veut, l’« italianité » ; le message linguistique est donc double (du moins dans cette 1 La description de la photographie est donnée ici avec prudence, car elle constitue déjà un méta-langage. Roland Barthes, Rhétorique de l’image 2 image) : de dénotation et de connotation ; toutefois, comme il n'y a ici qu'un seul signe typique2, à savoir celui du langage articulé

historique - un mouvement littéraire et culturel Approfondir les caractéristiques du genre narratif et dégager la singularité du récit réaliste ou naturaliste Approche de la lecture analytique et du commentaire ; analyse d’images (peinture et photographie) Séance 1 : présenter la notion de mouvement littéraire et culturel et introduire le réalisme Séance 2 : Une nouvelle réaliste, La parure  de Maupassant Vérifier des notions : discours narratif, fonctions de la description, caractéristiques

premières photographies "sans vocation" : des tombes portant l'inscription "Father" et "Mother". Elle vient de découvrir ce qui pourrait "plaire à son père". La photographie sera donc son futur métier . avoir voyagé sept ans à travers le monde, Sophie Calle rentre à Paris. Perdue, sans projet professionnel, sans capacité précise, sans amis, elle décide de suivre des inconnus dans la rue, comme pour retrouver Paris à travers les trajets des autres. Elle se prend au jeu, photographie, note ses déplacements

signe Panzani ne livre pas seulement le nom de la firme, mais aussi, par son assonance, un signifié supplémentaire qui est, si l'on veut, l’« italianité » ; le message linguistique est donc double (du moins dans cette 1 La description de la photographie est donnée ici avec prudence, car elle constitue déjà un méta-langage. Roland Barthes, Rhétorique de l’image 1 image) : de dénotation et de connotation ; toutefois, comme il n'y a ici qu'un seul signe typique2, à savoir celui du langage

le signe Panzani ne livre pas seulement le nom de la firme, mais aussi, par son assonance, un signifié supplémentaire qui est, si l'on veut, l’« italianité » ; le message linguistique est donc double (du moins dans cette 1 La description de la photographie est donnée ici avec prudence, car elle constitue déjà un méta-langage. Roland Barthes, Rhétorique de l’image 1 image) : de dénotation et de connotation ; toutefois, comme il n'y a ici qu'un seul signe typique2, à savoir celui du langage articulé

moments privilégiés, des activités ludiques comme la cuisine, le jardinage, la pêche ou la peinture. Les grands-parents sont pour eux non seulement des partenaires de jeux, mais aussi des confidents, des « transmetteurs » de valeurs, des témoins d’une histoire… et parfois même des médiateurs entre eux et leurs parents. Pour autant, tous les grands-parents n’ont pas la possibilité d’exercer pleinement leur rôle, parce qu’ils n’habitent pas à proximité de leurs proches. Ou parce qu’après une séparation

 HISTOIRE DES ARTS DOSSIER 2 INTRODUCTION TITRE : La Piéta sud africaine AUTEUR : Ernest Pignon-Ernest (1942 , quelques autres œuvres : Cathédrale de Montauban 2009 ; Extases 2008 ) DATE DE CRÉATION : 2002 DOMAINE : Artistique Ernest Pignon-Ernest réalise son œuvre appelée La Piéta sud africaine pendant son séjour en Afrique du sud en 2002 . Cette œuvre est né de la rencontre entre Pignon-Ernest et la population sud africaine qui soulève

de la source est alors la première étape du travail1. Histoire de l'utilisation des témoignages oraux Hérodote (484-425 av. JC) considère le témoignage oral comme un instrument de la connaissance. Il l'utilise dans ses Histoires pour les guerres médiques (il raconte des faits, la vie quotidienne et les légendes). Beaucoup plus près de nous, dans les années 1920, les sociologues de l'école de Chicago accumulent les témoignages, des « histoires de vies » pour analyser l'émigration, la criminalité…

qu'il cherche le surgissement de la pensée de façon naturelle. Il écrit ses pensées, ses réflexions, telles qu'elles viennent à l'esprit. Ses pensées sont écrites sans ordre, ce qui rend l'histoire confuse et obscure. En outre, Nadja invente des histoires qu'elle-même applique dans sa vie et elle pense qu'elle est le double de Breton. La folie de Nadja se fait évidente surtout quand elle est internée. Bien que nous puissions penser à Nadja comme l'héroïne de l'histoire, elle n'est pas le personnage