Histoire d'un crime

est intéressant de revenir sur la déclaration de l’auteur : « D’autres ont dit que je l’avais fait trop bon. J’avoue que je ne m’étais pas formé l’idée d’un bon homme en la personne de Néron. Je l’ai toujours regardé comme un monstre. Mais c’est ici un monstre naissant. ». L’opinion publique est divisée. En effet, Racine a choisi un sujet-histoire compliqué car ses contemporains connaissent les épisodes de la vie de Néron et se sont déjà fait une image du tyran, ils sont donc exigeants. Les sources

commentaire : une histoire sans nom Introduction : C’est à une scène d’horreur sanglante digne de figurer dans le scénario d’un film d’Hitchcock (Psychose) à laquelle Jules Barbey d’Aurevilly, nous convie, dans l’extrait p96 à p98 d’une « Histoire sans nom » (Edition G-F 12714 - septembre 1990). Le romancier aux idées monarchistes, de surcroît très catholique, nous conte une histoire se situant aux tous débuts de la Révolution française. Il s’agit d’un relation quasiment en tête-à-tête,

décousue ne suit pas l’ordre chronologique des évènements mais le flux des pensées et des souvenirs d’Angèle. A la 2ème lecture, il appartient au lecteur de reconstituer la vie d’Angèle à partir des souvenirs évoqués afin d’expliquer ce crime. II LA CONSTRUCTION D’UN SENS GRACE A LA FOCALISATION INTERNE 1. Le récit cadre : la situation finale a) le retour du cimetière La première phrase est un aveu d’Angèle qui apparaît anodin à la première lecture mais qui prend tout son sens à la deuxième

subi, ni celui que j’ai causé » (Œdipe Roi, Sophocle) et avoir fini ses jours loin de Thèbes, exilé par sa propre volonté, arrive aux Champs d’Asphodèle où il retrouve son père, Laïos. ŒDIPE : Ô dieux, pourquoi m’avoir épargné les Châtiments ? Mon crime est innommable, mélange de meurtre, de parricide et d’inceste ; je les mérite. Ou peut-être que ceci est mon châtiment, de rester aveugle jusque dans les Enfers, pour l’éternité…(Laïos s’approche, hésitant) Et mes enfants que je n’ai pas pu revoir

rapport à l’individu, la faute réitérée est moins grave car habituelle, mais c’est le contraire pour la société. Après avoir donné des exemples de ces différentes sanctions, Nietzsche conclue que si on doit juger le passé d’un individu, il faut aussi pouvoir juger son histoire et ceux qui l’ont créé tel qu’il est, qui l’ont construit. Le texte commence par un aphorisme quelque peu ironique, lorsqu’on resitue le texte dans son époque, où il n’y avait pas de contraception. « Dix fois, cent fois »

tranche l’échine sans chercher la jointure, / et il l’abat raide mort dans le pré sur l’herbe drue. » – La Chanson de Roland (laisses 111 et 104) Ironie L’ironie consiste à dire l’inverse de ce que l’on pense afin de se moquer d’une situation ou d’un individu. Certains indices du message permettent au lecteur de saisir, à travers la contre-vérité exprimée par l’auteur, sa réelle intention. Exemple : « Après le tremblement de terre qui avait détruit les trois quarts de Lisbonne, les sages du pays

puis nous demander comment les trois textes peuvent être comparais. Le texte de Pierre Corneille « Horace » nous raconte l’histoire de deux familles qui sont en guerre, Les Horaces tuent les Curiaces mais Camille sœur d’un Horace est follement amoureuse d’un Curiace qui a était assassiné maintenant Camille est désespérée et a bord du suicide a cause de l’amour impossible. (L13) « Rend –moi mon Curiace, ou laisse agir ma flamme » (L15) « Je l’adorais vivant et je le pleure mort » nous

récit est un narrateur enquêteur, présent d'un bout à l'autre du texte, et un personnage à part entière qui a sa propre histoire : « le fournisseur leva les yeux sur moi » De plus, un banquier allemand nommé Hermann joue dans ce livre le rôle de narrateur relais : Il dine en compagnie de quelques hommes issus de la haute société française à Paris. A la fin de ce diner, il raconte un histoire, qu’il a entendu lors de son emprisonnement. Il s’agit d’un assassinat commis en 1799. Ce récit introduit

intervenants……………………..…………………………………………………………….………………..…..………….………..…19 2.12. Les organismes d’aides aux victimes………………………………..…………………………………………………..……….......20 3.NIVEAU HISTORIQUE……………………………………………………………………………………………………………….………......22 3.1. ‘’ Histoire du viol ‘’ par Georges Vigarello………………………………..…………………..………….……………….............22 4.NIVEAU JUDICIAIRE………………………………………………………………………………………………..……………..…….……….25 4.1. Le code pénal………………………………..……………………………………………………………..………………………………...……25 4.2. Les

Bogota. Hilary a décidé de dénoncer son agresseur, mais a vu sa demande de poursuite refusée à plusieurs reprises par les forces de l’ordre, prétextant qu’il ne s’agissait pas d’un « cas urgent ». La jeune fille décide alors de poster une vidéo sur les réseaux sociaux, demandant aux autorités de réagir. Une fois son histoire devenue virale, la justice se résout à intervenir. L’agresseur d’Hilary avait déjà été libéré auparavant, malgré plusieurs détentions pour des faits similaire. Cependant, cette