Histoires comme ça

un panaris mal placé Hugues-Jean ? Lui : Je l'ignore Lucianne ! Probablement comme on peut avoir une oreille mal placée, ou une narine mal placée. Elle : Non. Lui : Bon ! comme une voiture mal placée, cela vous va ? Elle : Hugues-jean, je comprends parfaitement qu'une voiture puisse être mal placée, par exemple devant une porte cochère, mais un panaris, c'est impossible ! Lui : Ah bon ! … c'est nouveau ça. Elle : Non c'est très vieux ! Cela date de l'apparition du panaris. Lui :

Ce document numérique a été réalisé par Nord Compo.http://www.nordcompo.fr/Présentation de l’éditeur : //  C’est drôle, Sacha, comme en si peu de temps, tu as pris de la place dans ma tête. Parfois je me demande si tu existes vraiment, si tu n’es pas seulement dans mon imagination. // Derrière son ordinateur, Sacha envoie des mails à des destinataires imaginaires, comme autant de bouteilles à la mer. Jusqu’au jour où Macha répond. Un échange commence petit à petit, timide au début, puis les secrets

l’auteur nous emporte dans deux réalités temporelles différentes de la même histoire et d’un lieu partagé pour l’origine et la fin d’une histoire d’amour dans une grande ville, dans un appartement au quatrième étage. C’est l’histoire de Thomas(Serge) et de Marie(Louise) qui vieillissent ensemble. C’est l’histoire de Serge(Thomas) et de Louise(Marie) qui se rencontrent par chance et veulent vieillir ensemble, deux histoires entrecroisées. Thomas raconte et Marie l’écoute. Ce livre commence avec l’histoire

justement celle que le loup venait de poser à l’intérieur de sa tête : « Comment tu t’appelles ? » Et personne ne comprenait jamais la réponse du garçon. _ Je m’appelle Afrique. _ Afrique ? C’est pas un nom de personne, ça, c’est un nom de pays ! On riait. _ C’est pourtant comme ça que je m’appelle, Afrique. _ Sans blague ? Tu rigoles ? Tu te moques de nous ou quoi ? Le garçon choisissait un regard bien particulier et demandait calmement : _ Est-ce que j’ai l’air de rigoler ? Il n’en n’avait

derrière son bureau, rapide et silencieux comme une ombre d'oiseau. - Je saurai vous réveiller, moi ! Cette voix, dans tout ce silence ! Haut perchée, métallique, coupante, une lame qui nous fouillait le cœur. - D’ailleurs… Sa serviette s'ouvrait (pas le moindre cliquetis de métal, à croire que les serrures étaient de velours) et il en sortait nos copies sans un froissement de papier. - Si je ne m'abuse... Il prenait le temps de feuilleter le paquet, comme un jeu de cartes qui ne ferait pas de

définir. Les historiens sont inscrits dan le tissu de leur époque, ils produisent le fruit de leur temps. L’enjeu du cours est d’évoluer (se déplacer) au sein d’une question fondamentale, celle de l’histoire prise entre la réalité et la connaissance (comme dans un étau. Entre la réalité du passé et la connaissance du passé, il y a le fossé du temps. Les sources sont des passerelles. Ernest Renan (19 siècle) : La critique est contraire à la tendance de l’intelligence. La tendance de l’esprit est d’ajouter

derrière son bureau, rapide et silencieux comme une ombre d'oiseau. - Je saurai vous réveiller, moi ! Cette voix, dans tout ce silence ! Haut perchée, métallique, coupante, une lame qui nous fouillait le cœur. - D’ailleurs… Sa serviette s'ouvrait (pas le moindre cliquetis de métal, à croire que les serrures étaient de velours) et il en sortait nos copies sans un froissement de papier. - Si je ne m'abuse... Il prenait le temps de feuilleter le paquet, comme un jeu de cartes qui ne ferait pas de

ACTE I / SCENE 1 / Démarrage de l’histoire  VIDEO ciel/nuages et mots qui s’affichent VOIX NARRATEUR - Je vais vous raconter une histoire d’il y a très longtemps…. Tellement longtemps que je ne me rappelle plus si dans cette histoire c’est de moi dont il s’agit ou bien de quelqu’un d’autre. J’ai habité dans des pays tellement lointains qu’un jour j’ai même oublié la langue que ma mère m’avait apprise…. Ma vie a été tellement longue et je suis devenue tellement âgée que mon corps est devenu aussi

l'infini... Puis j'ai compris que c'était tout le but du film et je me suis vraiment concentré sur ce que ça pouvait raconter. Au début j'avais vraiment peur de m'ennuyer quand j'ai vu que le film durait plus d'une heure et demie, ensuite je me suis laissé prendre par l'histoire racontée et surtout avec la musique, qui pour moi, joue un rôle plus qu'important. J'ai trouvé ça très intéressant comme film, difficilement recommandable pour des gens qui ne s'intéressent pas spécialement au cinéma documentaire

Quand elles arrivent à l`hôpital, Alexandra entre dans la chambre de sa mère ; sa mère a plein des tuyaux et murmure des choses ; elle ouvre les yeux et dit a Alexandra de n`aimer personne. Quand Alexandra lui promet ça, sa mère lui dit qu`elle doit mourir. Alexandra ne peut pas croire ça, elles parlent de qui avait la faute et Alexandra la prend sur elle, parce que sa mère était allée chez Gérard pour reprendre sa liberté à cause d`elle. Elles commencent une discussion parce que Alexandra aime sa