Hollywood Bollywood

nuancer car comme dans lecture géo-éco et géopol, plutôt polycentrisme (plusieurs poles diffusent leur culture de l’échelle régionale à mondiale). Cas cinéma: EU (Hollywood et ses blockbusters), Europe (tradition ancienne avec Fr, Ita et GB), Asie autour duopôle Japon (mangas, dessins animés type Gibli/ Myazaki) – Inde (succès Bollywood) et Afrique avec poinds cinéma égyptien….plus que d’uniformisation ne devrait-on pas parler de métissage? Production et circulation de produits à travers le monde

télécommunication en Inde est un des marchés de télécommunication qui connaissent la croissance la plus rapide dans le monde. L’industrie indienne du ciment est très intensive en énergie. L’industrie cinématographique indienne est en plein essor Bollywood réfère à Hollywood mais avec l’initiale « B » de Bombay, centre indien pour production de cinématographique. L’Inde a renforcé l’industrie des biens afin de satisfaire les nécessités de divers secteurs : automobiles, bateaux, avions, l’industrie minière,

porta un coup de grâce et le triomphe du spectacle individuelle au profit du cinéma de masse des salles de projection. III. Les Courants Cinématographique du XXème Siècle. * C’est sur les coteaux des plus célèbres collines du monde, à Hollywood, en Californie, que le cinéma rentre pleinement dans l’âge moderne. Durant l’entre deux guerres, le cinéma sous l’impulsion des patrons des grands studios, épouse définitivement les affaires. C’est époque marque l’apparition du star system, qui

loisirs  parcs d’attractions(Disneyland), le skate board, le roller… * Les jouets Barbie, polly pocket, les bratzs … * Le cinéma les supers productions produites par 6 grands groupes multimédia (formés autour de six majors du cinéma de Hollywood) appelés BIG SIX : The News Corporation Limited (Fox Entertainment Group), AOL-Time Warner (Warner Bros), Walt Disney Company (Buena Vista International), Vivendi-Universal (Universal Studios), Sony Corporation (Colombia Tristar Fillms) et Viacom

une autre justification dans la politique menée ici ou là contre ou, en tout cas, sans aide à certaines langues menacées. • Certaines grandes firmes (Disney, Sony, Times Warner, Universal…). • Certains lieux à la fois symboliques et actifs, comme Hollywood. m 4. Si l’on s’en tient aux éléments soulignés dans la légende, on peut considérer que Samuel Huntington s’appuie sur trois ou quatre critères : – le critère religieux quand, par exemple, il distingue une civilisation de l’islam ; – le critère linguistique

musicale ; nous nous arrêterons donc sur une hypothèse, celle de la possibilité d’une popularisation nouvelle du genre, venue de l’Asie et plus précisément de l’Inde. En effet, l’Inde et en particulier la fameuse Bollywood, contraction au départ ironique de « Bombay » et de « Hollywood », montre à travers la quasi-totalité des œuvres qu’elle produit un goût très prononcé pour les numéros chantés et dansés. Cela provient du fait que l’Inde utilise le cinéma comme un nouveau mode d’expression pour

réalisateurs du cinéma alternatif tels que Lawrence Ah Mon, et Wong Kar-Wai, dont les oeuvres des années 1990 font de lui le réalisateur le plus acclamé et récompensé de Hong-Kong. Devenu 3 ème producteur de Cinéma dans le Monde, après Hollywood et Bollywood ( mais deuxième en terme d'exportation ), le Cinéma Hong-Kongais a pu bénéficier d'une liberté économique et politique que n'avait pas la Chine Continentale. Hong-Kong est ainsi devenu un immense centre de production cinématographique asiatique

a longtemps profité de ses particularités politiques et économiques pour devenir un pôle cinématographique en Asie. Hong Kong a ainsi été pendant plusieurs décennies le 3e grand centre mondial en termes de quantité de productions derrière Hollywood et Bollywood. Le cinéma taïwanais Longtemps influencé par le Japon, qui occupa l'île jusqu'à 1937, le cinéma taïwanais est intimement lié aux différents contextes politiques de l'histoire taïwanaise. Caractérisé par des fresques historiques et mélodrames

populations qui tend a s’uniformiser sur le modèle anglo-saxon. On parle aujourd’hui de mondialisation culturelle. Le terme qui désigne la production de films indiens (qui tendent a suivre les même règles que les films américains) est « Bollywood » (Bombay/Hollywood). On parle aussi de la « world music », qui désigne les musiques qui sont issues de toutes les cultures. On parle du coup de « village planétaire » ou de « global village », expression crée par le sociologue Mc Luhan, qui désigne un monde

patriarcale. • ART Bollywood Il est important de mentionner cette partie, « Bollywood » car l’Inde est le premier producteur de cinéma au monde avec plus de 800 films par an. Bollywood est le nom donné à l'industrie cinématographique indienne basée à Mumbai (Bombay) et dont les films sont réalisés en hindî (et en ourdou). Il s'agit de la composante la plus populaire du cinéma indien, le plus important au monde en nombre de films tournés. Les films de Bollywood, diffusés dans toute l’Inde