Hongrois

aux autres essayant d’être toujours d’être supérieurs à leur voisin sur tous les plans, économique, culturel, politique, diplomatique ; les tensions en Europe entre nationalismes et nationalités sont donc a leur paroxysme en 1914. L’Empire austro-hongrois était rayonnant au lendemain du Congrès de Vienne de 1815 ; ce congrès faisait de lui un chef de file de la diplomatie européenne et une force menaçante face aux nations en construction. Un siècle plus tard, cet ensemble paraît désuet et trop fragile

L'Autriche-Hongrie est le nom d'un État d'Europe centrale, constitué de 1867 à 1918 de l'Empire d'Autriche et du Royaume de Hongrie, unis par la famille des Habsbourg-Lorraine. La "double-monarchie" est créée par le « compromis austro-hongrois » .C’était une entité politique qui a regroupé, au centre de l'Europe, à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle l'Autriche et la Hongrie, sous l'autorité de l'empereur d'Autriche. Il a été dissous après la Première Guerre mondiale. Les empereurs d'Autriche

traité a néanmoins réveiller les rivalités et un nationalisme prégnant au sein de l’Empire austro-hongrois. En effet, à une cohabitation impérative entre l’Autriche et la Hongrie, des peuples tels que les Allemands, les Slovaques, les Polonais (en Cisleithanie) ou encore les Magyars, les serbo-Croates ou les Roumains (en Transleithanie) se voient dans la nécessité de vivre ensemble. L’empire austro-hongrois constituerait un carcan pour l’émancipation de ces peuples qu’il cloître dans des espaces territoriaux

par l'homme politique hongrois Mátyás Rákosi, chef du Parti communiste hongrois, pour décrire l'élimination progressive des pouvoirs extérieurs au communisme (Église, autres partis...), « tranche après tranche, jusqu'à ce qu'il ne reste plus rien ». Cette stratégie est assurée au lendemain de la Seconde Guerre mondiale au moment du processus de prise de pouvoir par les communistes, qui aboutit à la formation de la République populaire de Hongrie. Le Parti communiste hongrois subit un échec aux élections

soviétique au moment des Jeux olympiques d’été de 1956. Le mouvement hongrois d’octobre 1956 fut une insurrection, voire une révolution. Ce fut un soulèvement spontané, sans dirigeant, authentique mouvement de masse uni par la haine du régime stalinien et par une volonté d’améliorer la situation sociale. L’enquête menée par le Comité spécial de l’ONU sur la Hongrie en 1957 conclut son rapport en disant que le « soulèvement hongrois a eu un caractère non seulement national, mais aussi spontané ». L’agitation

Définition [modifier] L'expression de « démocratie populaire » fait rapidement partie du vocabulaire des mouvements communistes, mais n'est pas immédiatement défini Mátyás Rákosi, secrétaire général du Parti des travailleurs hongrois et dirigeant de la République populaire de Hongrie, a avoué qu'il ignorait initialement ce que signifiait au juste le terme1. En décembre 1948, Georgi Mikhailov Dimitrov, dirigeant du Parti communiste bulgare, donne la définition de la démocratie populaire comme un

Le nom de la ville apparaît pour la première fois dans un document de l'empereur Othon III, où elle s'écrivait « Goritia », qui donnait au comte de Frioul la ville ainsi que le château de Salcano. Gorizia est érigé en comté par Henri IV du Saint-Empire ou son fils Henri V. La famille comtale est issue d'Otwin de Lauenfeld-Heimföls (vers 970-1012) dont les arrières petits-fils Engelbert III/Ier (mort en 1150) et Meinhard II/Ier (mort en 1139) deviennent comtes de Goritz en 1121. Ces comtes acquirent

Marcel Bich (1914-1994)est un baron d'industrie française originaire du val d'Aoste , en Italie, où son nom se prononce "bic". Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, installé à Clichy, en banlieue parisienne, il rachète l'invention d'un Hongrois, Laslo Biro : un stylo à bille bon marché jetable.Marcel Bich en modifie légèremnt le stylisme et se lance dans sa fabrication en 1950. Le succès est total. Il rachète ensuite les sociétés Swan et Waterman. Fort de sa réussite, Marcel Bich se fait désormais

universités, c’est «l’octobre Polonais». Malgré cela le pays reste communiste. Les Hongrois ont toujours été réticents quant aux décisions de Staline et décident de suivre l’exemple Polonais de façon plus radicale, ainsi, Imre Nagy, le premier ministre Hongrois, dénonce le pacte de Varsovie, déclare la neutralité du pays et surtout, il réinstaure le pluralisme politique, et à partir du 23 octobre 1956, le peuple hongrois déclenche une insurrection à Budapest, Bratislava et dans d’autres villes. N.K

sous le signe de Dieu Après avoir fait adopter des textes de loi liberticides, le gouvernement magyar fait voter lundi une nouvelle Constitution, d’inspiration libérale et ultraréactionnaire. Budapest (Hongrie), envoyé spécial. «Dieu bénisse les Hongrois », veut croire la première phrase du projet de Constitution hongroise. Fort d’une confortable majorité au Parlement, le Fidesz, le parti du premier ministre, Viktor Orban, entend faire adopter une nouvelle loi fondamentale, d’inspiration ultraréactionnaire