Honnête homme

les aventures parisiennes du poète, ce qui lui posera de gros problèmes financiers par la suite. Après son mariage avec Ève, il laisse le contrôle de l’imprimerie à sa femme pour s’adonner à plein temps à ses recherches sur le papier. Foncièrement honnête et gentil, il est très apprécié par son personnel. Peu intéressé par l’argent, il préfère abandonner les brevets de son invention pour favoriser sa tranquillité familiale. Ève Chardon Ève est la soeur de Lucien. Elle est l’image même à la fois de

titre évoque le personnage principal qui s’appelle donc Tartuffe. Elle a été réadaptée le 5 août 1667 puis le 5 février 1669 qui fut la version finale car seule celle-ci a été autorisée de jouer. Tartuffe, un personnage accueillit par une famille honnête et paisible, qui s’est emparé de l’esprit de Mme Pernelle, la grand-mère, et de son fils Orgon ; est un étranger hypocrite et faux dévot (quelqu’un d’attaché à la religion), considéré comme pieux et respectable selon Mme Pernelle. Il manipule Orgon

et sa mère sont des peintres de talent. Elevé dans un milieu bourgeois et artistique, Prosper Mérimée suit ses études au lycée Henri-IV, puis fait son droit, tout en fréquentant les salons littéraires de l’époque. Il fait bientôt figure de jeune homme cynique et libertin. En 1828, il se bat en duel avec le mari de sa maîtresse, Mme Lacoste, puis connaît une éphémère aventure avec Georges Sand, avant de tomber amoureux de la charmante Valentine Delessert, nièce de Natalie de Noailles. Il voyage en

de gens intelligents déchus, qui est entre la classe dite moyenne et la classe dite inférieure, et qui combine quelques-uns des défauts de la seconde avec presque tous les vices de la première, sans avoir le généreux élan de l'ouvrier ni l'ordre honnête du bourgeois. C'étaient de ces natures naines qui, si quelque feu sombre les chauffe par hasard, deviennent facilement monstrueuses. Il y avait dans la femme le fond d'une brute et dans l'homme l'étoffe d'un gueux. Tous deux étaient au plus haut

Charles Baudelaire ( 1821-1863 ) Il a aussi un problème avec sa mère : elles s'est remariés avec un sale type, bourgeois. Il va donc détester toutes les femmes, ce ne sont que des objets de ménages et de luxure. Son beau-père est un homme qui réussit tout et qui touche beaucoup de domaine différents. Baudelaire déteste tout ce qui touche de près ou de loin à son beau-père, il ne veut surtout pas faire comme lui. Il ne lance donc dans un domaine où son père n'a pas de place importante : l'art.

mauvaises langues, car elle boite. Ce personnage subi de nombreux désespoirs ; son amant la trompe et la quitte la laissant avec deux enfants et sans argent ; elle se marie avec Coupeau, un ouvrier qui lui fait des avances, puis il devient un ivrogne ; un homme bon, Goujet, l’aime mais elle ne peut pas quitter son mari… On remarque un énorme changement dans la mentalité de Gervaise entre le début et la fin de son histoire. Par exemple, son idéal est « travailler, manger du pain, avoir un trou pour soi, élever

la mesure ou l’homme s’intéresse à elle.En effet , elle dit la chose suivante : «  Dans les soins éternels de ne plaire qu’à lui cent plus honnêtes gens nous donnent de l’ennui ».Elle veut dire ici que ce qui compte c’est de plaire à un homme .D’autre part, Phylis dit de la femme qui n’aime qu’un homme à la fois qui réserve ses charmes que pour un seul homme , qu’elle vit dans la contrainte , qu’elle se voie obliger de supporter ses humeurs sa jalousie et bien d’autres choses vers 53 : «  il nous

hypocrite, Elmire est dépensière et séductrice, Cléante est donneuse de leçon et Tartuffe est "un homme bien" Cette description montre à quel point la famille est divisée.—> Clan de Mme Pernelle (+ Tartuffe + Orgon)—> les autres qui partagent les valeurs de l'honnête homme. Mme Pernelle n'est pas crédible. Tartuffe est absent alors qu'il est l'objet d'un conflit. On ne sais pas si c'est un homme de bien ou s'il n'est qu'un faut dévot. Acte 1 Scène 4 amour exagère voir obsession. Acte I

ALCESTE Allez, vous devriez mourir de pure honte, 15 Une telle action ne saurait s’excuser, Et tout homme d’honneur s’en doit scandaliser. Je vous vois accabler un homme de caresses, Et témoigner, pour lui, les dernières tendresses ; De protestations, d’offres, et de serments, 20 Vous chargez la fureur de vos embrassements : Et quand je vous demande après, quel est cet homme, À peine pouvez-vous dire comme il se nomme, Votre chaleur, pour lui, tombe en vous séparant, Et vous me le

échange serré à base de reprises verbales, qui noue et dénoue les intentions des protagonistes. On découvrira ici Lisette (aux ordres de Flaminia), arriver avec l’intention de séduire Arlequin, et se voir démonter ou retourner ses arguments par le jeune homme. Celui-ci en effet décèle vite son insincérité et surtout ses préjugés de classe, sur la seule base d’un langage maladroit et chargé de sous-entendus. Précisons que la scène précédente (I, 5, parfois intégrée à la scène 6 selon les éditions), a pu