Hosni Moubarak

24. Macky sall a d’ailleurs démissionné de tous mandats électifs auxquels il avait accédé grâce à l’investiture du parti du président Wade après avoir été obligé par ce dernier à quitter la présidence de l’Assemblée. 25. on prête aux présidents Hosni Moubarak, omar Bongo, Abdoulaye Wade et Blaise Compaoré l’intention de se faire remplacer par leurs fils pour les trois premiers et par son frère pour le dernier. D É M o C r A T i E E N A F r i Q u E : s u C C è s E T r É s i s T

président Ben Ali qui était au pouvoir depuis 1987. La révolution tunisienne – appelée aussi « révolution de Jasmin » – marque le début d’une série de soulèvements populaires contre les pouvoirs en place dans le monde arabe. En février 2011, Hosni Moubarak est destitué en Égypte après plus de 30 ans au pouvoir. En Libye, Mouammar Kadhafi est destitué à l’été 2011. Par analogie avec l’année 1848, ce phénomène a été appelé le « prin- temps arabe ». La Tunisie ayant déclenché cet effet domino,

pays autre que ceux appartenant à la Francophonie (ex-colonies françaises). Ainsi, le 25ième sommet France-Afrique s’est ouvert à Nice sur la Côte d’Azur française, co-présidé par le président français Nicolas Sarkozy et son homologue égyptien Hosni Moubarak. Trente huit dirigeants ont participé à ce sommet dit de la « normalisation » où la question de la nouvelle orientation de la politique française en Afrique a fait l’ordre du jour. La France à travers ce sommet avait souhaité en effet développer

le nid du terrorisme international par l’Occident. Cette perception résulte d’une succession d’actes terroristes dans lesquels le Soudan serait impliqué : l’attentat contre le World Trade Center en 1993, la tentative d’assassinat du président Hosni Moubarak en juin 1995 et les attentats contre les ambassades américaines de Nairobi et Dar Es Salam. C’est ainsi que depuis 1993, il est inscrit sur la liste des pays soutenant le terrorisme et depuis 1996 il fait l’objet de sanctions par les Nations Unies

polarisation excessive du développement, une attraction vidant les campagnes environnantes. Mais faut-il pour autant condamner la mondialisation ou les tentatives d'aménagement du territoire ? Peut-on rester insensible aux discours de Mohammad Hosni Moubarak, président égyptien, qui dans une publicité racoleuse pour les investisseurs étrangers qualifiait l'Égypte de premier pays émergent et proclamait en 1998 : “ l'Égypte a rejoint l'économie mondiale, elle en respectera les règles et en partagera

l’ancien chef du gouvernement. Désormais, c’est Essam Sharaf, ancien ministre des Transports, qui a fait ses études aux États-Unis, qui est chargé de former un nouveau gouvernement. Cet homme pourrait faire le consensus, lui qui avaient démissionné sous Moubarak pour rejoindre les manifestants. C’est en août que les militaires devront remettre le pouvoir à un président civil, démocratiquement élu. Le Guardian de Sharm El Cheick. Mais à se fier aux écrits du Telegraph, l’ancien raïs est en Arabie saoudite

bêtises commises ; eu moment ou ils reçoivent la bastonnade, ils y renoncent. Mais bientôt ils reprennent les mêmes ‘gaffes’ .En outre, la violence aggrave et complice la situation entre les protagonistes. A titre d’exemple, le président déchu ‘MOUBARAK’, avait utilisé de la violence excessive pour étouffer la protestation pourtant la réaction était torrentielle et démesurée si bien que le président a été chuté. Un autre exemple qui témoigne de la non efficacité de la violence est le cas d’un professeur

développement de l’Afrique. M. Ibrahim Assane Mayaki a été désigné comme chef de la direction. Les présidents du Sénégal, Abdoulaye Wade ; d’Algérie, Abd El-Aziz Bouteflika ; du Nigeria Olusegun Obasanjo, d’Afrique du Sud Thabo Mbeki et d’Egypte Hosni Moubarak sont à l’origine de ce projet. Il a pour but de rattraper le retard en matière économique, sociale et politique du continent africain et ainsi d’affirmer mais également d’assurer à l’Afrique une place définitive dans la mondialisation. Le but

de nombreux efforts et de longues discussions, ce dernier était parvenu à réinstaurer la paix avec Israël. Durant les quelques jours qui suivront sa mort, le peuple égyptien craindra sérieusement que les conflits éclatent de nouveau. Toutefois, Hosni Moubarak, qui succèdera au défunt, poursuivra la même voie pacifique. * 13 decembre : Dissolution forcée de Solidarnosc en Pologne. Le général Jaruzelski, chef de l'état polonais et chef du parti communiste, proclame l'état de guerre en Pologne. Un

|(1990-1996) | | | | |Afrique Nilotique|Egypte |Royaume-Uni |Gamal Nasser | | |Hosni Moubarak | | | |(1882-1922) |(1952-1954) | | |1981 | | |Soudan |Royaume-Uni |Jafar Nimerie